• L’obsession dans laquelle on veut nous faire vivre de l’éclairage, des lumères à éteindre sans cesse, et des économies à faire dessus – alors que c’était dès le départ une dépense en énergie des plus mineures, c’est parce que c’est un conditionnement qui est SIGNE DE SOUMISSION, comme le masque (comme le salut Heil Hitler !) c’est une psy-op. C’est comme l’obligation autrefois des gens « inférieurs » de toujours enlever leur bonnet (le chapeau était réservé à la classe supérieure) et rester tête nue devant un gars de la classe supérieure.

    En effet d’un point de vue rationnel ça n’a pas de sens, si on vaut faire des économies d’énergie, l’éclairage est la dernière zone à aborder ! bien loin derrière l’automobile (et la mondialisation du commerce, les délocalisations spéculatives et les infinis coûts de transports engendrés). Et bien sûr, d’ailleurs, cette histoire de « climat », de réchauffement anthropique, c’est de la foutaise ! Le climat se réchauffe actuellement, comme il a toujours ondulé, mais ce n’est en rien du à l’activité humaine, mais comme toujours aux variations de l’activité solaire.

    Mais leur but étant de « dresser » le « troupeau » il est important que ça soit constamment dans la tête des bestiaux, des esclaves, il faut donc que ce soit un acte quotidien et toujours présent ! (il ne faut pas oublier qu’ils ont derrière eux des armées de psychologues, d’universitaires, de sociologues, de spécialistes du comportement, et de la manipulation, ce ne sont pas des cons ) donc comme le salut nazi, comme le bonnet des gens du peuple, comme la cigarette ! comme le masque (sauf qu’ils n’ont pas pu l’imposer ad vitam aeternam, sauf aux médecins et aux vendeuses des pharmacies ! )

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  • bien sûr il y a d'autres sujets de critiques, amplement (et de manière très bavarde et à rallonge) traités par Farida, mais je tiens à souligner cet aspect, qui comme toujours (....) est un aspect qu'on a soigneusement tenu caché et qu'on n'a que trop tendance à notre époque à refuser de voir ...
    (autre aspect ; ces méthodes permettent de décérébrer le peuple, ce qui permet 1° de justifier leur racisme de classe ! "le peuple c'est mal ! ils pensent mal , le "populisme",  donc le biaâân c'est les riches,  "diplômés de l'université" NOUS on détient le Vrai, le Bon, et le Bien, le  peuple c'est le mal ! c'est comme pour Voltaire "la Canaille qui n'est point faite pour penser", et tout ça, et puis 2° ça permet d'éviter qu'ils analysent et comprennent en profondeur les réalités et leur faire perdre leur sens critique et leur culture politique et syndicale, sinon ils risqueraient d'avoir une culture marxiste, ou républicaine (ce qui serait sain et constructif, n'en déplaise à Mme Belghoul ! petite crotte sur son nez ! comme dirait Dieudonné) et comme ça on les fait voter pour les "mauvais objets" comme les appelle Asselineau, qui neutralisent leur révolte, des "chiffon rouge" tels le père Le Pen, ou maintenant Zemmour, qui les emmène dans un cul-de sac qui ne risque pas de gagner ce qui permet de neutraliser leur révolte ! et le tour est joué, depuis 1983 on nous fait ça !


    le lien libre pour télécharger la vidéo et lire les commentaires :
    https://ruclip.com/video/VsHl4X038bA/les-mensonges-de-la-m%C3%A9thode-montessori.html

    Je sais, Farida professe des idées extrémement conservatrices, exactement comme celles des catholiques conservateurs de 1910 ! mais au moins elle est humaniste et courageuse ! et défend les parents menacés par l'infâme et totalitaire DDASS. Et elle aborde des sujets intéressants.

    et une fois de plus encore!!! je rererererererépète  : une petite remarque en passant et il y en aurait pleins d'autres : "dans la NOVLANGUE actuelle on appelle les vieux  des "seniors". Mais de appeler les vieux des "seniors" ça ne les fait pas vivre plus longtemps !!!! (Surtout si on les euthanasie au Rivotril !!! n'est-ce pas ..... )

    Autre critique  à Belghoul : pour moi ça ne me choque pas du tout qu'on dise l'enfant est une personne , au contraire j'ai toujours été une personne dès tout petit, je m'en souviens très bien ! (et ne comprend pas comment tant d'adultes ont l'air de l'avoir oublié !) ce que je leur reprocherait c'est l'HYPOCRISIE de ce discours, car apparemment être une personne ça ne vous donne pas le droit d'arborer son visage sans qu'il soit déshumanisé par un masque de rhinocéros (les personnes cultivés me comprendront !) ou si vous préférer par le port d'une couche-culotte nazie sur le visage, apparemment d'être une personne ça ne donne aucun droit à la différence, ni aucun autre, juste celui d'obéir, de se CONFORMER et de se taire et ne vous donne pas le droit de refuser les CAMERAS DE VIDEO-SURVEILLANCE ni les COOKIES ! ni celui d'avoir un esprit critique et ne pas suivre les "paroles d'Evangile" de not' bon Fuehrer et des journaputes de la télé !

    "sans effort" ! mais il faut fournir de terribles efforts pour obéir à la flicaille ! les innombrables "devoirs", "responsabilités", "citoyennetés" que ces gens veulent imposer à chaque seconde à tout le monde sont un effort, (et une aliénation et une somme d'humiliations et une déshumanisation) énorme, et ils osent vous vanter un monde "sans effort" ! D'ailleurs et c'est valable pour plein de choses, y compris d'actualité : "la liberté ne s'accorde pas elle se PREND !" de vive force parfois.

    (un autre penseur d'origine maghrebine Mohamed Tahiri nous rappelle les bases de la morale   https://www.francemediasnumerique.net/2021/12/le-comportement-des-convaincus-qui-se-font-piquouzer-me-laisse-perplexe/

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  • quelques questions  :  quelle sentiments avez-vous envers


    les femmes ? - beaucoup de méfiance

    les policiers ? - le mépris et le dégoût

    les bourgeois ? - un peu d’aversion

    les musulmans ? - aucune opinion générale ! Il y en a de toutes sortes.

    Les banquiers ? - ce sont les ennemis, c’est clair.

    Les publicitaires ? - beurk !

    Les journalistes ? - ce sont des "putes", et les agents de désinformation et de manipulation du régime comme autrefois en URSS

    Quelle valeur mettez-vous le plus haut ? - la tendresse

    Les choses que vous aimez ? - les caresses, la poésie, la philosophie, l’espéranto, l’histoire, les chats, les roses, les galaxies, les sciences, le rire, l’amitié

    qu’aimez-vous entendre ? - au hasard : un plénum de cloches, le chant d'une grive musicienne, la musique de Couperin, ou Geeta Chisti, France Gall, etc, etc

    Comment vous définissez-vous politiquement ? - lutte des classes !
    république, services publics, Bernard Friot, Asselineau bien entendu ! Et puis aussi le Pardem, et Etienne Chouard; humanisme et résistance.

    Croyez-vous en Dieu ? - si on ne peut répondre que par OUI ou NON, je dirais NON. Mais en fait c’est plus compliqué. Je ne sais pas. Je suis très intéressé par Rupert Sheldrake, les EMI, les témoignages de réincarnation, les apparitions de Zeitoun, etc, et comme Jean Rostand je suis stupéfait et ne comprend pas.

    Vous intéressez-vous à votre monde intérieur ? Pas du tout ! Le « monde intérieur » est de toutes façons toujours beaucoup moins intéressant que le monde extérieur. Lui, oui, est intéressant.

    Etes-vous pour ou contre l’avortement ? - Contre. Je suis athée, donc je suis contre la mort. Je suis contre la mort donc je suis contre l’avortement. CQFD

    Que pensez-vous du bouddhisme ? - J’ai horreur de ça ! Une façon de s’euthanasier déjà de son vivant. L’amour du Néant ! Sinistre, beaucoup plus que le Théatre de l’Absurde, les philosophes de l’Absurde eux ils refusent la mort de toutes leurs forces.

    Votre plus grand espoir ? - non; aucun espoir.

     

    Les scènes de films que j'ai le plus aimées et qui me hantent le plus (et qui me donnent les larmes aux yeux) :
        *
    la scène finale de "Manhattan" , de Woody Allen https://www.youtube.com/watch?v=ylZgG5kC6cI

        * la scène finale de "L"invitée de l'hiver", de Alan Rickman (bizarrement aucun descriptif de ce film ni critique n'en parle ! tout le monde se focalise sur le couple mère-fille, et rien sur ces enfants !!! (ni les chatons ... ) pourtant c'est selon moi la partie la plus tragique la plus profonde et la plus importante du film)

        * la scène finale de "Les joueurs d'échecs" ("Chatrandj ke Khilari") de Satyajit Ray. http://www.youtube.com/watch?v=8lvnl_W59IE

    * ET puis le dernier paragraphe du roman de Haruki Murakami: "La course au mouton sauvage"

    Autres films :
    * "La Strada"
    * "Central do Brasil"
    * "Mon oncle" (de Jacques Tati)

     

    Mes tableaux préférés:
        * "Le chant du rossignol à minuit et la pluie matinale" de Joan Miró
        * "Toutes les lumières" tableau de Paul Delvaux, peint en 1962

         *  "la voix du sang" de Magritte
        * (ce n'est pas un tableau au sens strict, c'est une tapisserie) : "Avant l'aube" de Manessier - 1967.

     

    Mon sculpteur préféré:
        *  Georges JEANCLOS
        *  Sabine Cherki aussi, mais il n'est plus possible de voir ses oeuvres sur internet, le féminisme est passé par là, de nos jours il n'est plus permis à aucun artiste, même si elle est elle-même une femme, de représenter une femme nue !
        

    interprêtes préférés:

        * Rosalyn Tureck


    Les espèces d'oiseaux pour lesquels j'ai une attirance particulère:
        * le rougequeue noir (Phoenicurus ochruros)https://www.hautetfort.com/admin/posts/post.php
        * et, bien sûr, les grues
        * Le merle, le plus beau, et le plus créatif, sans doute de la terre entière.
        * l'alouette, bien sûr
        * celui de la fauvette à tête noire!
        * le gazouilli des hirondelles (hirondelles de cheminée) entendu depuis chez soi perchées sur les fils électriques  pour les rares qui ont encore cette chance (y en a-t-il encore seulement? ou est-ce totalement disparu? alors que pourtant ça devrait être le B A ba dans toutes les villes !!!  seuls les sales cons fascistes intolérants et ennemis de la vie qui grouillent dans la France profonde se réjouissent de leur disparition)
        * le chant des martinets:mais attention à condition que ce soit dans le ciel au-dessus de villes de France ! et que ce soient de vraies villes, de vraies villes avec des églises (ouvertes) des hôtels (au choix pour toutes les bourses), des rues (sans caméras de vidéo-surveillance), des magasins, des cafés, des bancs, des vraies villes quoi ! dans un vrai pays,  qu'on peut sillonner toute la  journée d'une ville à l'autre sans problème par de vrais trains, dont on peut ouvrir les fenêtres, des trains qu'on prend dans des gares qui sont de vraies gares: commodes, conviviales  et à visage humain, tenus par une SNCF qui ne se foutrait pas du monde et ne serait pas stalinienne.
    Bref rien que des choses qui n'existent plus

    Mes races de chiens préférés:
        * Les colleys !!! sans hésitation. Je ne peux pas un voir un sans me sentir fondre et m'écrier "oh ! un beau gros toutou tout velu !"

    les poètes français que j'aime le plus :
        * Apollinaire
        * Prévert
        * Francis Jammes
        * Norge
        * Saint-John Perse
        * Verlaine
        * Jules Laforgue
        * Jean Tardieu

    et plein d'autres

    les poètes étrangers:
     *
    Xu Zhimo
     *Tagore
     *Trakl
     *Yeats
     *Juan Ramon Jimenez
     *J Ringelnatz
     *et Morgenstern

    en Espéranto: Marjorie Boulton  et Angel Arquillos

     

    les dramaturges :

    * Jean Giraudoux

    * Henry de Montherlant

     

    les romans : (voir in "livres recommandés")

    *Sed nur fragmento (Trevor Steele)

    *La course au mouton sauvage (Haruki Murakami)
    *La femme des sables (Kobo Abe)
    *En gagnant mon pain (Maxim Gorki)
    *Le Château (Franz Kafka)
    *Le facteur humain (Graham Greene)

    *les Chroniques martiennes (Ray Bradbury)

     

    les autobiographies:
    *en n°1 ! : "Le bonheur d'être suisse" (Jean Ziegler)
    ensuite:
    *"Les mémoires d'outre-tombe" (Chateaubriand)
    *"Mémoires d'un enfant" (Jean Dutour)


     Les peintres:
        * Le Lorrain
        * Daumier le plus extraordinaire original et intense peintre du XIXè siècle !
        * Miro
        * Giorgione
        * Delvaux
        * Magritte
        * Jesus de Perceval https://www.bing.com/images/search?q=j%C3%A9sus+de+perceval&qs=n&form=QBLH&scope=images&pq=j%C3%A9sus+de+perceval&sc=1-17&sp=-1&sk=&cvid=1CE680E74278456A9026A795E79C93C1
        * Feng Zi Kai
       
    et plein d'autres

     

    Journalistes:

        * Michel Collon

        * Thierry Meyssan

        * Marie-Monique Robin

        * Frédéric Lordon


    voix d'acteurs:
        * Fabrice Lucchini

        * Michel Bouquet
        * Claude Rich
        * Suzanne Flon
        * Claude Piéplu
       
    Chanteurs/euses:
        * Barbara
        * France Gall
        * Alain Souchon
        * Nicoletta
        * Aznavour

        * Pierre Vassiliu

        * Eddie Constantine

    Tous des "vieux" ? non, aussi:
        * Keny Arkana

        * El Matador

        * La Pafklik

        * Césaria Evora

        *Juliette
     
    les femmes que je trouve le plus séduisantes :

         * Annie Lacroix-Riz (si si ! absolument ! regardez-la sur ses vidéos) 

         * Martha Argerich

         * Giulietta Massina

         * Béatrice El-bèze quand elle appellait à la grève générale

         * Lydia Bourguignon (au passage voici la plus instructive conférence de Claude   https://www.youtube.com/watch?v=LmF06t-V13U

     

    ) 2019 : Quels sont les personnages français contemporains vivants, que vous

    considérez les plus éminents ?

    euh, Bernard Friot, François Asselineau bien sûr, Etienne Chouard,

    Claude Bourguignon, Jean-Pierre Petit, Dieudonné, Brigitte Bardot, et ajoutons

    Giuseppe Belvedère, tant qu’il vit.

     

    Quels sont les œuvres litttéraires que vous appréciez particulièrement ?

    euh, « Alcools » d’Apollinaire,
    « Caligula » de Camus

    « La femme des sables » de Kobo Abé 

    « Le Château » de Kafka

    « La course au mouton sauvage » de Haruki Murakami

    « Memoires d’outre-tombe » de Chateaubriand

    « Candide » de Voltaire 

     

     
    Parmis les personnages de l'antiquité dont nous sont parvenus les portraits statufiés, mon visage préféré:
        * Euripide


    philosophes:
        * Carnéade

        * Bernard Charbonneau
        * Parménide
        * Hobbes
        * Thomas Kuhn
        * Paul Feyerabend
        * Blaise Pascal

        * Michel Terestchenko
        * Miguel de Unamuno

     

     

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  • un des mérites de la crise covidiste, est que en considérant tout ce qui a été combiné dans ce cadre,, bon seulement nous rappelle le fascisme 1.0 (celui des années 30), la valeur des principes d'analyse marxiste, l'esclave antique, l'esclavage dont rève Davos étant un esclavage 2.0, et tout ça, voir mes autres articles sur le sujet, et l'article en Espéranto que j'ai fait paraître sur Sennaciulo.

    Mais rétrospectivement, on est amené à reconsidérer certaines autre manipulations du passé ! bien sûr à commencer par la "crise" du H1N1 en 2009, qui était un premier essai de la mêmem chose, sauf que 1 leur virus n'était pas assez mortel, aussi leurs battage de la peur, face aux faits faisait trop ridicule, c'était trop voyant ! Et puis ils n'ont pas censuré Internet, et les critiques des dangers du vaccins ont pu diffuser librement leurs critiques. Aussi cette fois ça ayant pris les leçons de leurs erreurs, ils ont fait des recherches de "gains de fonction" (qu'en des termes galants ces choses là sont dites !) pour avoir un virus au moins aussi mortel et contagieux que la grippe saisonnière (voir les analyses du Dr Vernon Colemant et puis ils ont censuré à mort, avec la complicité des fameux "gafams" tous les esprits critiques.

    Mais dont on est amener à "revisiter" à la lumière de tout ce qui a été pratiqué par la mafia du grand capital, ceux que Jean-Jacques Crèvecœur appelle "les psychopathes milliardaires", le grand matraquage hallucinant qu'on a subit vers l'an 2000 sur le tabac ! Je trouvais déjà ça bizarre, et pas vraiment justifié, en fait c'était  encore pire ; c'était une "psy-op" un essai pour voir jusqu'à quel point en jouant sur la PEUR, sur le prestige des hommes en blouses blanches (comme dans la fameuse expérience de Stanley Milgram), le reflexe de soumission, d'auto-flagellation chrétienne, d'obéissance inconditionnelle, de la masse, on allait pouvoir convaincre des centaines de millions de gens de se défaire d'une des habitudes de sociabilité les plus profondément ancrée, se considérer comme des "pêcheurs", des juifs de 1933 interdit partout, obligés de se cacher sous le regard agressifs des bons aryen, pardon des non-fumeurs. A quel point on allait pouvoir soumettre les gens.

    Eh bien ils on vu ! alors ils foncent !

    Une autre chose aussi : la Sida. Là-dessus j'ai recopié un article de Vernon Coleman.

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  •  

    comme j'ai dis dans mon article en Esperanto (sur Sennaciulo) Longdaŭra historia tendance faŝismo 2.0), et comme l'avait découvert Zygmunt Bauman, le nazisme, cet "esprit de la modernité" cette hubris d'un pouvoir total, psychopathologique, purement techniciste et amoral sur le reel, "quand il n'y a rien pour l'arrêter, est une tendance lourde, depuis au moins début du XIXème siècle (le Panopticon, "le médecin de campagne", Auguste Comte, etc) . Et comme en 1945 on a refusé de comprendre la véritable nature de ce qui s'était passé, on a voulu se rassurer, on a poussé la poussière sous le canapé, et les vraies causes du nazisme on n'en a pas du tut pris conscience. Et les nazis (les 1.0) ont commencé à se réinfilter dans les sphères du savoir et du pouvoir dès après la guerre.

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  • il n'est pas assez lu, peut-être décourage-t-il par ses longueurs et sa rhétorique, mais si on prend la peine de lire quelques phrases choisies, et de les méditer, on s'apperçoit soudain à quel point elles sont vraies, et profondes.

    par exemple


    Un jour, les yeux lassés de veilles et de larmes,
    Comme un lutteur vaincu prêt à jeter ses armes,
    Je disais à l'aurore : « En vain tu vas briller ;
    La nature trahit nos yeux par ses merveilles,
    Et le ciel coloré de ses teintes vermeilles
    Ne sourit que pour nous railler.

    « Rien n'est vrai, rien n'est faux; tout est songe et mensonge,
    Illusion du cœur qu'un vain espoir prolonge.
    Nos seules vérités, hommes, sont nos douleurs.
    Cet éclair dans nos yeux que nous nommons la vie
    Brille à peine un moment à notre âme éblouie,
    Qu'il s'éteint et s'allume ailleurs.

    « Plus nous ouvrons les yeux, plus la nuit est profonde ;
    Dieu n'est qu'un mot rêvé pour expliquer le monde,
    Un plus obscur abîme où l'esprit s'est lancé ;
    Et tout flotte et tout tombe, ainsi que la poussière
    Que fait en tourbillons dans l'aride carrière
    Lever le pied d'un insensé. »


    Je disais ; et mes yeux voyaient avec envie
    Tout ce qui n'a reçu qu'une insensible vie
    Et dont nul rêve au moins n'agite le sommeil ;
    Au sillon, au rocher j'attachais ma paupière,
    Et ce regard disait : « A la brute, à la pierre,
    Au moins que ne suis-je pareil ? »


    n'aurait-on pas envie de les apprendre par coeur et se les réciter chaque matin ?

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  • https://expose-news.com/2023/01/27/aids-the-true-story/Il est désormais clair que le SIDA a été la première tentative de convaincre le monde que tout le monde était menacé par une nouvelle pandémie. C’était un galop d’essai pour le covid-19 – la grippe rebaptisée. PAR LE DOCTEUR VERNON COLEMAN ,via EXPOSE NEWS

     classée

    Il est désormais clair que le SIDA a été la première tentative de convaincre le monde que tout le monde était menacé par une nouvelle pandémie. (et que le sexe c’est mâal! Surtout pas de relations humaines ! comme je dis dans mon billet, et si n arrive à empêcher les gens de faire l’amour et de se reproduire naturellement, la PMA/GPA et tout le tintouin ouvrent un fabuleux MARCHE pour les officines ad hoc !!) C’était un galop d’essai pour le covid-19 – la grippe rebaptisée.

    (De même que le matraquage sur le tabac pour culpabiliser soumettre et perroquetiser les gens par la peur et le prestige des blouses blanches, un essai préparatoire du Covidisme)

    (Pour mémoire, je ne crois pas que le covid-19 ait été créé par l’homme. Il s’agit simplement de la grippe ordinaire avec un budget marketing. Mais, comme je l’ai expliqué ailleurs, cela arrange les conspirateurs d’encourager le mythe qu’elle provient d’un laboratoire en Chine).

    À l’époque, j’ai été autorisé à écrire des articles et à faire des émissions sur MSM mettant en doute l’ampleur de la menace. Ce n’est qu’après que la répression a commencé. L’impact potentiel du SIDA a été sauvagement exagéré par les médias grand public et par des organismes tels que le BMA et le RCN.

    Aujourd’hui, on entretient le mythe du sida en décrivant des patients africains atteints de tuberculose comme souffrant du sida (vérifiez si vous ne me croyez pas). Aujourd’hui, les conspirateurs et la CIA ont fait de mon opposition aux mensonges sur le sida une arme. Mais combien de personnes connaissez-vous qui ont le SIDA ? (Moi j’en ai connu un, qui s’appelait Claude Roatta, né le 17/7/1940 et mort le 19/5/1992 et que je n’oublie pas)

    Cet essai est tiré de Betrayal of Trust de Vernon Coleman, publié pour la première fois en 1994. Une nouvelle édition de poche de l’édition originale de Betrayal of Trust est disponible dans les librairies sur http://www.vernoncoleman.org et http://www.vernoncoleman.com.

    lien ici du docteur VERNON COLEMAN This essay is taken from Vernon Coleman’s Betrayal of Trust which was first published in 1994.   A new paperback of the original edition of Betrayal of Trust is available from the bookshops on www.vernoncoleman.org and www.vernoncoleman.com

    Par le Dr Vernon Coleman

    À voir la façon dont les journalistes et les politiciens ont traité l’histoire du sida, on pourrait croire que le virus à l’origine de cette maladie est un mystère total, qu’il est arrivé de nulle part et que les médecins et les scientifiques luttent maintenant, coude à coude, pour trouver un remède. Ce n’est pas tout à fait vrai. Le SIDA, comme tant d’autres maladies modernes, a été créé par l’homme. Et pour les chercheurs médicaux, le sida a été davantage une manne financière qu’une cible mortelle à éliminer.

    Personne ne sait exactement d’où vient le virus à l’origine du sida (si, en fait, le sida est causé par ce seul virus – à l’heure où nous écrivons ces lignes, il y a une controverse considérable à ce sujet, bien que la communauté scientifique, qui a un énorme intérêt dans la théorie désormais traditionnelle du VIH-sida, soit réticente à l’idée même que le sida puisse avoir une autre cause). Il existe cependant plusieurs théories sur l’origine du sida et ces théories ont toutes un point commun : elles suggèrent toutes que la maladie est née à la suite d’expériences en laboratoire.

    Dans des circonstances normales, saines et naturelles, il existe des barrières qui empêchent la propagation des virus d’une espèce à l’autre. Les êtres humains ne sont normalement pas vulnérables aux virus qui touchent les chiens ou les chats, par exemple. Mais des chercheurs scientifiques, en transférant délibérément des virus entre espèces, ont surmonté ce mécanisme de sécurité naturel et ouvert une boîte de Pandore d’horreur qui ne pourra jamais être refermée. [le fameux « gain de fonction » …. renseignez-vous !]

    En 1989, dans le Journal of the Royal Society of Medicine, le Dr J. Searle soulignait que « les espèces virales ont tendance à se limiter à l’espèce animale hôte qu’elles infectent », mais il lançait un avertissement : « Il semblerait que l’épidémie de SIDA ne soit qu’un des derniers transferts viraux inter-espèces de mammifères déclenchés par les techniques de virologie développées au 20ème siècle, qui se sont ensuite répandus de manière incontrôlée dans la nouvelle espèce hôte ».

    Quand et comment le virus VIH, responsable du sida, s’est installé pour la première fois chez l’homme reste un mystère.

    Un chercheur britannique a affirmé que le sida a été introduit dans le sang humain en 1922, lorsqu’au moins 34 personnes se sont vu injecter du sang de chimpanzés pour voir si les parasites du paludisme de l’animal avaient un effet sur les humains. Trente-trois autres personnes ont reçu du sang de ce groupe initial et l’on prétend que ce sont ces individus qui ont été les premiers porteurs du SIDA.

    Une deuxième possibilité, rapportée en détail dans le magazine Rolling Stone par l’écrivain Tom Curtis, est que le virus du sida a été injecté à des patients humains en même temps que le vaccin contre la poliomyélite. Le milieu utilisé par les scientifiques pour produire le vaccin – les reins de singes capturés dans la nature – était parfois contaminé par des virus de singe qui étaient ensuite transmis à des patients humains sans méfiance, innocents et généralement en bonne santé. Entre le milieu des années 1950 et le début des années 1960, plusieurs dizaines de millions de personnes dans le monde ont reçu un vaccin contre la polio qui contenait un virus de singe. (On a prétendu par la suite que ce virus rendait les cellules humaines sujettes au cancer. Nous ne saurons probablement jamais si les mères qui ont consciencieusement emmené leurs enfants se faire vacciner contre la polio leur ont involontairement injecté des virus cancérigènes).

    Ce que nous savons, c’est que des vaccins ont été administrés à de nombreuses personnes en Afrique à la fin des années 1950. Si, comme on l’a prétendu, l’un des vaccins utilisés était contaminé par un virus de singe inconnu, il est possible, je le soupçonne, que le virus du sida provienne de ce programme d’inoculation massive.

    Malheureusement, je doute que nous soyons un jour en mesure de savoir avec certitude si le virus du sida provient ou non d’un programme de vaccination. Les dirigeants de l’establishment médical semblent réticents à l’idée même de discuter de cette possibilité et les revues médicales orthodoxes ont consacré peu d’espace à l’étude de cette question. On peut se demander si leur réticence à enquêter n’est pas due au fait qu’ils sont conscients que si un lien est découvert, le coût pour leur industrie pharmaceutique bien-aimée pourrait être insupportable, à la fois par le biais de procès coûteux et par le fait que si un lien est prouvé, cela pourrait effrayer définitivement le public et l’inciter à refuser les vaccinations.

    Ces théories sont loin d’être les seules à expliquer comment le virus VIH a commencé à affecter les êtres humains. Mais toutes les théories que j’ai pu trouver impliquent des animaux de laboratoire et des chercheurs.

    Quel que soit le laboratoire de recherche sur les animaux d’où est sorti le virus du sida, il ne fait aucun doute qu’une fois le sida apparu, les sociétés pharmaceutiques du monde entier ont rapidement saisi l’idée de tirer profit de la maladie.

    C’est l’industrie pharmaceutique, en grande partie grâce à son main-mise plus ou moins totale sur l’ « Establishment » médical, qui a contribué à fabriquer et à entretenir le mythe du sida. Le mythe – l’affirmation inexacte selon laquelle le SIDA était la plus grande menace pour l’humanité depuis la peste de la peste noire – a commencé par accident, a été construit pour des raisons commerciales grossières et a finalement été exagéré par des groupes de pression qui avaient leurs propres raisons très spéciales de transformer une maladie désagréable en une menace mondiale. Le SIDA a rassemblé plusieurs groupes de personnes qui n’avaient rien en commun et les a unis d’une manière unique.

    Au début, ce n’était qu’une bonne nouvelle : une autre maladie potentiellement mortelle pour laquelle il ne semblait pas y avoir de remède évident. Quelques victimes connues – en particulier des vedettes de cinéma – ont conféré à la maladie un rare glamour qui a permis aux rédacteurs d’articles de fond de donner un peu de relief à ce qui était au fond une histoire plutôt banale. Les laboratoires pharmaceutiques ont rapidement compris que le sida offrait des possibilités de gain sans précédent ; en peu de temps, ils ont gagné des millions de dollars en vendant des tests de dépistage du sida et de nouveaux médicaments.

    Au plus fort de la peur du sida – au milieu des années 80 – les actions des sociétés proposant des produits liés au sida s’envolent. En avril 1987, Fortune, le magazine économique américain, a publié un article spécial intitulé « Aids stocks worth the gamble » (les actions liées au SIDA valent la peine d’être pariées) dans lequel il indiquait que les actions de plusieurs sociétés individuelles avaient augmenté de 360 % en douze mois. Au cours des trois premiers mois de 1987, un portefeuille d’actions offrant des solutions au SIDA a connu une hausse stupéfiante de 41 %.

    Le corps médical a fermement soutenu la théorie de la peste. Dans les années 80, un porte-parole de la British Medical Association a averti que d’ici 1991, chaque famille britannique serait touchée par le SIDA et m’a attaqué vicieusement lorsque j’ai cité des preuves soutenant un point de vue moins « effrayant ».

    [l’évolution ultérieure a montre que, ben, il avait raison, et ses détracteurs tort ! Ce qui porte à donner du poids ses propos actuels ...]

    D’autres groupes de l’establishment médical ont pris le train en marche du « SIDA va tous nous tuer » et la ligne officielle a été défendue avec une férocité sans précédent. [qui ne fut dépassée que par la férocité actuelle …] (J’ai mené de nombreuses campagnes contre l’establishment, mais celle sur le sida a semblé susciter un venin particulièrement moralisateur et culpabilisateur, et j’ai été raillé et vilipendé par de nombreux théoriciens du « sida est la peste moderne »).

    [on nous a joué le même jeu au sujet du tabac aussi, souvenez-vous !!! a posteriori, on se rend compte maintenant que c’était une compagne de manipulation, et les gens sont écrasés, soumis ! Auto-culpabilisés ! Ils n’ont plus parlé du tabac qu’en ajoutant de rituelles dénonciations et mea-culpas ! Comme des perroquets bien dressés, les pauvres cons !] L’Organisation mondiale de la santé prévoyait que 100 millions de personnes pourraient être infectées d’ici 1990 et le Royal College of Nursing prévoyait qu’une personne sur cinquante en Grande-Bretagne serait atteinte de la maladie au début des années 1990.

    Puis, avec l’industrie pharmaceutique derrière la promotion du SIDA, au moins quatre groupes distincts de personnes ont réalisé qu’il y avait des avantages à tirer de la transformation de cette histoire en une menace internationale majeure.

    Les premiers à réaliser l’importance du SIDA ont probablement été les activistes religieux qui, pendant des années, ont détesté les attitudes de « sexe libre » qui avaient survécu aux années 60. Ils ont rapidement compris que le sida leur offrait une occasion rêvée d’effrayer les gens pour qu’ils abandonnent leurs habitudes de liberté sexuelle. Au début, une grande partie de la propagande la plus terrifiante sur le sida provenait de groupes de pression religieux qui voulaient diffuser leur propre message moralisateur et étaient parfaitement prêts à exagérer un peu les faits afin d’effrayer l’électorat dans leurs bras.

    Deuxièmement, de nombreux autres groupes d’entreprises ont reconnu les occasions de profit associées au SIDA. Les compagnies d’assurance se sont servies de la menace du SIDA comme d’une prétexte pour augmenter leurs primes à un rythme beaucoup plus rapide que celui qu’elles auraient osé faire sans le SIDA. Les directeurs d’hôpitaux et de cliniques ont commencé à faire de l’argent en proposant des tests de dépistage et des conseils sur le sida.

    Naturellement, les politiciens n’ont pas tardé à tirer profit de la maladie. Ils ont compris que le sida était une occasion rêvée de faire peur à leurs électeurs. Les politiciens adorent faire peur aux gens – cela leur donne une bonne excuse pour introduire des lois sévères qui, autrement, ne seraient jamais adoptées.
    [cf la réponse de Goering devant le tribunal de Nüremberg] Et les administrations conservatrices – en particulier celles qui sont au pouvoir – savent très bien que les gens votent toujours pour des politiciens de droite (et pour le statu quo) lorsqu’ils se sentent menacés. Lorsqu’ils ont vu à quel point la campagne de peur du sida prenait de l’ampleur, les politiciens ont pris le train en marche et ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour exagérer la menace. Certaines des campagnes publicitaires lancées pour avertir le public de la menace du sida auraient été ridicules si les gens n’avaient pas déjà été effrayés.

    Un dernier groupe a joué un rôle essentiel dans la création du mythe du sida. Dès le début, il semblait clair que le sida était avant tout une menace pour les homosexuels, ce qui inquiétait énormément les groupes de pression homosexuels. Ils ont rapidement compris que si le SIDA restait une maladie essentiellement «homosexuelle», il y aurait un risque réel que les politiciens, les médecins, les chercheurs et le public se lassent rapidement de la maladie et que des fonds ne soient pas disponibles pour poursuivre les travaux de recherche qui avaient été entamés. Ils ont réalisé que pour maintenir l’intérêt du public pour la maladie, ils devaient changer la perception de la maladie par le public ; le SIDA devait devenir une maladie essentiellement hétérosexuelle. Ainsi, dans le monde entier, les groupes de pression homosexuels ont travaillé dur pour changer la perception du public. Comme de nombreux homosexuels travaillent à la télévision et à la radio, dans l’édition, le journalisme et le monde du spectacle, la campagne n’a pas été difficile à mettre sur pied et, en très peu de temps, le message a été déformé avec tant de succès que beaucoup de gens ont commencé à croire ce qui était diffusé.

    Malgré le blitz médiatique international fourni par une armée de journalistes médicaux aux ordres des compagnies pharmaceutiques, il était clair dès le début que le SIDA ne serait pas une menace majeure pour la société en général.

    En 1987, le magazine médical Pulse rapportait que la « seule pratique sexuelle » susceptible d’entraîner une infection par le virus du sida était le rapport anal réceptif. Le magazine citait les données de l’étude San Francisco Men’s Health Study, publiée dans le Journal of the American Medical Association. L’étude, portant sur plus d’un millier d’hommes hétérosexuels, homosexuels et bisexuels, rapporte que – je cite – « le contact génital anal réceptif est le principal mode de transmission de l’infection par le VIH ». Le rapport poursuit en disant qu' »il n’y avait aucune preuve de propagation épidémique due à un autre mode de transmission sexuelle. »

    Ce rapport était logique. Après tout, les preuves montraient que le SIDA était avant tout une maladie transmissible par le sang et, alors que les rapports sexuels vaginaux ordinaires n’entraînent généralement pas de lésions des tissus (et donc de saignements), les rapports sexuels anaux le font.

    En 1988, le British Medical Journal a publié un article intitulé « Heterosexual transmission of HIV by haemophiliacs ».

    Cet article a été rédigé par trois médecins de l’hôpital universitaire de Rotterdam, aux Pays-Bas, qui ont suivi pendant trois ans treize hémophiles et leurs partenaires. Leur conclusion était – je cite – « en l’absence d’autres facteurs de risque, la transmission du VIH de l’homme à la femme par des rapports vaginaux est peu fréquente ».

    Dans un article intitulé « Infection par le virus de l’immunodéficience humaine, infection par le virus de l’hépatite B et comportement sexuel des femmes fréquentant une clinique de médecine génito-urinaire », des auteurs de l’hôpital de Londres Ouest, de l’hôpital Charing Cross et du Central Public Health Laboratory de Londres ont étudié 1 115 femmes qui fréquentaient une clinique génito-urinaire de l’ouest de Londres. Les auteurs ont rapporté que plus de la moitié des 424 femmes qui ont déclaré avoir des partenaires sexuels non réguliers n’ont jamais utilisé de préservatif. Ils ont également indiqué que les deux femmes séropositives pour le VIH qui ont rempli un questionnaire sur leur comportement sexuel ont déclaré avoir eu des relations sexuelles anales.

    Les auteurs de ce document ont conclu que – je cite – « les femmes hétérosexuelles de Londres courent un faible risque d’être infectées par le VIH. »

    Dans un autre article scientifique, également publié dans le British Medical Journal, des chercheurs de la London School of Economics and Political Science et du St Mary’s Hospital ont étudié des prostituées. Ils sont arrivés à la conclusion que – et je cite leur article – « le facteur de risque le plus important pour les prostituées en Occident est le partage d’aiguilles et de seringues pour les drogues. » En 1992, des chercheurs ont constaté que moins de 30 prostituées sur 1 000 à Glasgow étaient infectées par le virus du sida – toutes étaient des consommateurs de drogues injectables. Les chercheurs de Glasgow ont souligné que le virus était plus susceptible d’être transmis par les prostituées par l’utilisation de matériel d’injection sale que par des rapports sexuels non protégés.

    L’un des articles les plus importants publiés sur le sujet du sida est probablement celui produit par le groupe d’étude européen en 1989. Il a été publié dans le British Medical Journal sous le titre « Risk factors for male to female transmission of HIV ». Le centre de coordination de ce rapport était le Centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé sur le SIDA à Paris et il y avait des centres participants en Italie, en Grèce, aux Pays-Bas, en Allemagne et en Espagne. Les auteurs de ce rapport ont conclu – je cite – « La seule pratique sexuelle qui augmente clairement le risque de transmission de l’homme à la femme est le rapport anal. » Les auteurs poursuivaient en disant que – je cite à nouveau – « aucune autre pratique sexuelle n’a été associée au risque de transmission. »

    Lorsqu’il est devenu évident que le sida n’allait pas devenir le fléau redouté, de nombreuses tentatives ont été faites pour justifier les prévisions initiales. Dans certaines régions, il a été suggéré que les patients souffrant de cancer soient répertoriés comme des victimes du sida. Dans d’autres régions, il a été suggéré d’inclure les patients souffrant de tuberculose dans les statistiques sur le sida. [les filoux! Remarquez pour le Covid ils ont fait pareil !!]

    Finalement, dans un éditorial publié dans le British Medical Journal au début des années 1990, le coordinateur international de la lutte contre le sida à l’Institut national du cancer des États-Unis d’Amérique a annoncé que « l’épidémie de VIH en Amérique du Nord et en Europe a probablement atteint son apogée… au milieu des années 1980 », tandis que l’Institut des actuaires de Grande-Bretagne a fini par admettre qu’il n’y avait « aucune preuve pour soutenir l’hypothèse d’une « explosion hétérosexuelle » du sida ou de l’infection par le VIH dans ce pays ». Mais il était alors trop tard car le mythe du SIDA avait créé une nouvelle industrie de chercheurs, de conseillers et d’experts autoproclamés et les journaux publiaient régulièrement des articles sur des régions où le nombre de conseillers en matière de SIDA dépassait le nombre de malades du SIDA. En 1992, dans de nombreuses régions, on a constaté qu’il y avait deux ou trois fois plus de conseillers en matière de SIDA que de victimes. De nombreux experts du SIDA sous-employés semblaient s’occuper à faire de leur mieux pour entretenir le mythe du SIDA – le mythe qui payait leurs salaires tout à fait injustifiés.

    Malgré les preuves, le sida était constamment présenté comme un « fléau ». En consacrant un temps extraordinaire au problème du sida et en refusant de présenter tout point de vue qui ne soutenait pas l’idée du sida comme un fléau majeur, la télévision a provoqué plus de peur et d’hystérie que toute autre chose dont je me souvienne. Il est bon de rappeler qu’en septembre 1987 – probablement l’année de pointe pour le SIDA, où il était difficile d’allumer un poste de télévision sans trouver un programme décrivant les horreurs du SIDA – l’estimation officielle du gouvernement britannique était que huit hétérosexuels avaient contracté le SIDA lors de rapports sexuels depuis 1981. Pour mettre les choses en perspective, il convient de souligner qu’en deux ans seulement, quatre fois plus de personnes étaient mortes en faisant de l’équitation. Au lieu de dépenser des millions pour encourager les hétérosexuels à porter des préservatifs,

    [marché ! Et SURTOUT création d’une hantise anti-sexualité dans le public] le gouvernement aurait peut-être mieux fait de dépenser son argent pour encourager les cavaliers à porter des casques de protection.

    L’efficacité du lobby de l’industrie pour promouvoir le sida comme une maladie effrayante (et donc rentable)  [ça rappelle des choses] m’est apparue à plusieurs reprises dans les années 1980, lorsque j’ai été vilipendé pour avoir dit la vérité sur la maladie. Les invités d’un dîner où j’intervenais en tant qu’invité d’honneur sont sortis lorsque j’ai osé suggérer que le sida n’était pas une menace majeure pour les hétérosexuels. Les rédacteurs en chef qui ont publié mes articles sur le sida ont reçu des appels téléphoniques indignés d’experts autoproclamés insistant sur le fait que je ne devais pas avoir droit à une quelconque tribune publique pour exprimer mes opinions. [déjà!] J’ai été menacé et attaqué à plusieurs reprises pour avoir osé citer les documents de recherche qui prouvaient que le sida n’était pas le nouveau fléau.

    Dans la seconde moitié des années 1980, il était devenu professionnellement dangereux d’oser suggérer que le sida n’était pas une peste mortelle. Peu de gens à la télévision ou dans l’édition voulaient même écouter un argument scientifique rationnel.

    Au début de 1987, j’ai reçu un appel téléphonique d’un chercheur d’une société de télévision qui m’a dit qu’il prévoyait un documentaire sur le SIDA.

    Que pensez-vous du sida ? m’a-t-il demandé.

    Je lui ai répondu que je pensais que le SIDA était un problème sérieux, mais qu’il n’était qu’un des nombreux problèmes médicaux sérieux et que la menace qu’il représentait avait été exagérée par certains médecins, beaucoup de politiciens et la plupart des journalistes. Le chercheur est resté silencieux pendant un moment ou deux. Je pouvais voir à ce silence qu’il était déçu. Ce n’était pas tout à fait ce qu’il espérait entendre.

    « Nous prévoyons un grand documentaire », a-t-il dit. « Nous voulons couvrir tous les aspects. N’avez-vous rien de nouveau à dire sur le sida ? »

    « Je ne pense pas que le sida soit un fléau qui menace l’humanité », ai-je insisté. « Je pense que c’est une maladie infectieuse dangereuse qui touche actuellement un petit nombre de personnes et qui pourrait, dans les prochaines années, en toucher des milliers d’autres. » J’ai ensuite souligné que je pensais que les preuves concernant le sida avaient été déformées et les faits exagérés.

    « Nous voulons vraiment que vous veniez à l’émission et que vous parliez de certains des problèmes susceptibles d’être produits par la maladie », a persisté le chercheur.

    « Je suis heureux de participer à l’émission et de dire que je pense que les dangers posés par la maladie ont été exagérés », ai-je répondu.

    Le chercheur soupire. « Pas mal de médecins m’ont dit ça. Mais ce n’est vraiment pas le genre d’angle que nous recherchons. »

    Je ne m’attendais pas à entendre à nouveau parler du chercheur et ce ne fut pas le cas. Sa société a produit un programme télévisé sur le sida qui est apparu sur nos écrans peu de temps après cette conversation et la plupart de ceux qui l’ont regardé se sont couchés en pensant que le sida était la plus grande menace pour l’humanité depuis la peste noire.

    Au cours des dernières années, j’ai perdu le compte du nombre de fois où j’ai eu cette même conversation avec des chercheurs et des producteurs de télévision. À la fin des années 1980, je recevais en moyenne trois ou quatre demandes par semaine pour apparaître à la télévision. Mais durant cette même période (alors que d’innombrables programmes sur le sida étaient réalisés), je n’ai reçu aucune invitation à parler du sida à la télévision.

    À maintes reprises, les faits concernant le SIDA ont été soigneusement sélectionnés pour satisfaire l’image publique de la maladie (et pour fournir une bonne histoire) plutôt que pour relater la vérité.

    Lorsqu’il est devenu évident que les discours sur les fléaux avaient été sauvagement exagérés, on a tenté d’entretenir le mythe en affirmant que la maladie était sur le point de dévaster l’Afrique.

    Une fois encore, cette affirmation était frauduleuse.

    La plus cruelle des ironies est certainement que le SIDA, qui a presque certainement été créé à la suite d’expériences sur des animaux, a conduit à la création d’une sous-industrie massive consacrée à l’utilisation d’animaux de laboratoire pour tenter de trouver un remède à la maladie. L’industrie de la recherche qui a été créée a consommé d’énormes sommes d’argent, a suscité des accusations de double jeu et de jalousie professionnelle et n’a jamais été en mesure de trouver un remède à la maladie.

    Tout au long des années 1980, les instituts de recherche du monde entier qui avaient besoin de fonds supplémentaires n’avaient qu’à ajouter le sida au titre de leurs projets et attendre que l’argent rentre. L’industrie du sida est devenue très vaste. En 1991, le montant total des dépenses consacrées à la recherche sur le sida dans le monde s’élevait à 1 500 000 000 $. En 1992, on estimait que les dépenses pour la recherche sur le SIDA atteindraient 1 625 000 000 $. La majeure partie de cet argent a été allouée à l’expérimentation animale. (Cette somme n’inclut pas le vaste montant collecté par les bénévoles, dont un grand nombre semble constamment désireux de contribuer à la collecte de fonds pour le SIDA. Je me demande s’ils seraient aussi désireux de collecter de l’argent pour des maladies peu à la mode mais néanmoins mortelles comme le cancer du côlon).

    L’histoire du SIDA, qui avait commencé dans le laboratoire d’un expérimentateur animal, a bouclé la boucle. Au final, c’est l’industrie qui avait créé la maladie qui en a tiré le plus grand profit. Pas vraiment un ‘triomphe’ pour la science médicale. »

    Cet essai est tiré du livre de Vernon Coleman « Betrayal of Trust », publié pour la première fois en 1994. Une nouvelle édition de poche de l’édition originale de « Betrayal of Trust » est disponible dans la librairie du site Web de Vernon Coleman.

    https://expose-news.com/2023/01/27/aids-the-true-story/

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  •  

    Coluche avec une plume dans le cul avait encore eu le droit d'être candidat à la l'élection présidentielles (quoi que par la suite on l'a tué) mais à l'époque les règles de DROIT étaient encore respectées. Maintenant le fascisme ne se cache même plus comme disait MC Solaar

    Maintenant les maires donnent son nom à des édifices municipaux - ça ne mange pas de pain - les morts ne parlent pas ! - un jour Dieudonné sera honoré comme le fut Béranger (deux fois incarcéré, pour blasphème ....)

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  • L’élimination des idiots

     

     

     

    On nous informe que 80% des gens sont allés se faire « vacciner » contre le covid-19, plus ou moins selon les pays. Je ne peux pas vérifier ces chiffres personnellement mais ils semblent plausibles d’après ce que je vois autour de moi. Est-ce que ça signifie qu’on assiste actuellement à l’élimination des 80% d’idiots ?

     

    Ceux qui ont reçu l’injection expérimentale tentent de se rassurer en pensant que la majorité a sûrement raison et que les dirigeants veulent leur bien et se soucient de leur santé. Ils se disent qu’il ne peut pas y avoir 80% d’idiots. Est-ce vraiment une question d’intelligence ? Je ne saurais définir ce qu’est un intelligent ou un idiot de façon générale. On peut avoir un raisonnement intelligent fondé sur de mauvaises hypothèses et en refusant de prendre en considération de meilleures hypothèses. On peut passer pour un idiot incapable de raisonner tout en ayant une bonne intuition permettant de percevoir la fausseté des hypothèses de l’intelligent.

     

    Plutôt que de discuter de concepts indéfinissables, j’aimerais rappeler les résultats de l’expérience de Milgram, effectuée en 1963 afin d’évaluer la soumission des individus à une autorité médicale : 62,5 % des sujets ont obéi pour aller jusqu’au bout en infligeant des électrochocs de 450V à des inconnus parce qu’on leur demandait de le faire. Une variante récente en 2009 de cette expérience est encore plus édifiante, où on a remplacé l’autorité médicale par une animatrice de télévision : 81% des candidats au jeu ont obéi pour torturer à mort un innocent, sans autre raison que celle de participer à un jeu dont c’était la règle. Je vous invite vivement à le regarder, c’est terrifiant : Le jeu de la mort (documentaire France 2 réalisé par Christophe Nick).

     

    Ces personnes étaient-elles idiotes ? Apparemment non, certains avaient de gros doutes durant les expériences de Milgram et l’émission du jeu de la mort, ils questionnaient parfois l’autorité et émettaient des doutes et des objections. Mais ils continuaient quand même, en sachant qu’ils infligeaient des chocs mortels à des inconnus innocents, ils ont fait ce que l’autorité voulait. Ils n’avaient pourtant rien à gagner et pouvaient se retirer à n’importe quel moment. Mais la pression sociale, la peur de ne pas faire partie du troupeau est plus forte.

     

    En 2021, les gens sont-ils aptes à dire non à une injection venant de l’autorité alors que tous les médias en font l’apologie ? Ce battage médiatique devrait lui-même être considéré comme suspicieux. Mais l’humain est très influençable et il préfère se ranger du côté de la majorité du troupeau plutôt que de se faire et défendre sa propre opinion si elle ne s’y conforme pas. Beaucoup ne veulent pas imaginer qu’on leur ment délibérément. Il est pourtant avéré que des mensonges divers ont été propagés sur des sujets importants, souvent pour maintenir la domination des élites sur le reste de la population ignorante. Voir par exemple –Extraterrestres et mensonges historiques

     

    Lorsque des décisions absurdes, contradictoires et basées sur des mensonges sont constatées, la majorité des gens dociles se rassure en disant que les décisionnaires font des erreurs. Pour les dirigeants manipulateurs c’est une aubaine de passer pour des incapables plutôt que pour des psychopathes qui savent très bien ce qu’ils font. Il est plus rassurant de se dire que Macron et ses ministres cafouillent plutôt que de considérer qu’ils suivent avec toutes les élites mondialistes un plan parfaitement de soumission et de contrôle bien établi depuis longtemps.

     

    Pourtant toutes les preuves sont disponibles : les politiciens ne sont que la partie visible d’un contrôle qui se fait plus haut. Je ne vais pas répéter tout ce qu’on a divulgué sur la familles Rothschild et Rockefeller par exemple, sur les francs-maçons, la cabale, les illuminatis, quel que soit le nom qu’on. Les 80% n’ont jamais voulu s’y intéresser et ça ne changera pas maintenant.

     

    Jacques Attali a lui-même écrit en 1981 (dans « L’avenir de la vie » un recueil de Michel Salomon) comment effectuer la dépopulation :

     

    « Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une une pandémie qui cible certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont, les peureux et les stupides y croiront et demanderont à être traités. Nous aurons pris soin d’avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux mêmes à l’abattoir. »

     

    Cette citation a été largement partagée, et naturellement les médias ont réussi à laisser croire qu’elle n’existait pas. Sauf qu’ils ont, comme toujours, détourné les propos et répondu à côté. Ils ont déclaré qu’Attali ne souhaitait pas ce genre de chose, ou que c’était sorti du contexte, parfois même ils ont expliqué que ce n’était pas dans un certain livre cité par erreur quelque part. Ils expliquent qu’ils ont contacté l’auteur ou l’éditeur qui a démenti sans le dire franchement, mais jamais ils ne disent avoir vérifié dans le livre en question. Faites-le, si vous avez des doutes, plutôt que de croire des réponses de médias qui servent à défendre le contrôle des élites.

     

    Lorsqu’il en parle, il n’explique évidemment pas qu’il s’agit d’un plan, il s’efforce plutôt de passer pour une sorte d’alerteur de diverses menaces. Mais il s’agit bel et bien d’un plan, qui n’est pas nouveau puisque les francs-maçons l’ont bien détaillé depuis plus de deux siècles. La révolution française faisait partie de ce plan (voir –La révolution française-), pour remplacer les monarques par le pouvoir des banquiers et mettre en place l’illusion d’un certain pouvoir par le peuple avec le suffrage universel, car il est très facile pour ceux qui contrôlent les médias et orientent les opinions de faire élire ceux qu’ils veulent. De nos jours ils contrôlent même les machines et logiciels de comptage des votes.

     

    Ils n’ont pas totalement dissimulé leur plan, car l’objectif n’est apparemment pas de se débarrasser de toute l’humanité, mais seulement de la partie qui se contente de suivre le troupeau et accepte docilement tout le discours médiatique et politique. Voir mon article –Techniques de mensonge et manipulation-.

     

    Ils ont eux-mêmes donné toutes les informations et mis en place l’opposition contrôlée. Divers alerteurs et experts se sont exprimés pour expliquer la supercherie à tous les niveaux. (On s’est même ouvertement moqués d’eux, quand on voit par exemple que le site proposé par le gouvernement pour trouver un centre de vaccination est « Vite ma dose« .)

     

    Voilà où nous en sommes. Les informations sont toutes disponibles, l’intérêt des élites n’est pas de les cacher s’ils veulent réellement se débarrasser uniquement de ceux qui n’auront pas été assez raisonnables pour remettre en question les informations les plus médiatisées, et qui auront préféré faire partie du troupeau de la majorité pour continuer leur petite vie matérialiste. Une injection d’ARN pour pouvoir aller au cinéma ou au fast-food, alors que le principe même de la vaccination est un mensonge (voir –Le mythe de la vaccination-, voir aussi –Vaccins : la catastrophe immunitaire– et encore –Médecine : généralités-). Pour lutter contre une maladie dont la mortalité s’est montrée équivalente à la grippe malgré des chiffres gonflés artificiellement, mais les médias ont réussi à instaurer une peur absurde.

     

    Je préfère garder mon esprit critique et ne jamais céder au chantage émotionnel. A chacun de faire son choix, mais évitez de vous contenter de suivre le troupeau, que ce soit par paresse, par peur d’être mal vu, à cause d’une crainte irrationnelle qui a été instaurée délibérément pour vous manipuler.

     

    « Si l’être humain n’était pas égoïste, il ne serait pas influençable. » (John G. Bennett, disciple de Gurdjieff)

     

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  •  9/2/2004 Vu « LA FIN DU REGNE ANIMAL » c’est un film horrible. C’est un très beau film.

     C’est un film (de Joël Brisse) qui a tout pour devenir un film-culte, auprès de écologistes par exemple.

     C’est un film aussi horrible qu’un film qui raconterait Auschwitz.

     (Et c’est révèlateur de l’unité foncière du mal, croyez vous qu’il y ait une différence entre les
     gendarmes français (que faisaient-ils en 40-45 au fait ? ils ont obéis aux ordres) et les SS ? non,
     non, les SS aussi faisaient leur devoir sans état d’âme, c’est pareil, on leur avait dit sur les juifs la
     même chose que les autorités vétérinaires, et ils étaient aussi sans âme et impavide devant des
     êtres qu’ils ne reconnaissaient pas)

     Le titre de ce fim devrait être en fait « Le triomphe de la mort » et de tous ceux qui sont de sont côté, qui la
     propagent, l’imposent en font le culte, sont ses hommes de mains fanatiques et dévoués.

     A la fin il ( le héros du film, Noël) s’enferme avec tous les animaux restants du village et se fait bruler
     vif avec eux dans sa grange. Après ce qu’il a vu quelques heures avant, et ce qu’il a été amené à faire
     (la vieille brebis) ça se comprend. C’est logique.

     Ca n’a rien d’étonnant que cette France se met à voir rouge pour le moindre bout de tissu qui
     témoigne que quelqu’un croit en Dieu !

    Eh oui on fait une chasse paranoïaque à tout ce qu’on soupçonne de faire même silencieusement de la propagande pour Chanel, non, pardon pour Adidas, non eux ils ont le droit, pardon ! pour la croyance en Dieu et toute autre idée religieuse, et en même temps par exemple l’institutrice du film « La fin du règne animal » quand elle tient à bien enfoncer dans le crâne de son élève que « ressusciter, ça n’est JAMAIS arrivé et ça n’arrivera JAMAIS » elle fait de la propagande antireligieuse très nette et pas neutre du tout, ça c’est autorisé, alors que quelqu’un, qui ne ferait même aucune propagande, mais qui simplement s’habillerait – en choisissant un vêtement traditionnellement occidental ! – de telle sorte qu’on pourrait en présumer qu’elle croit en Dieu, ça ils le considèrent comme une atteinte à la neutralité !!!!

    Là ils jettent le masque ! et on voit bien ce dont il s’agit en fait……

     C’est bien l’alliance de Raffarin-Sarkozy-la-ligue-d’action-Laïque-les-nouveaux-calotins-de-l’Ordre,
     et la société décrite dans « Brave New World » qui est la notre aujourd’hui, la flicaille (la flicaille
     éternelle, le seul Internationale imperturbable) les ayatollahs du Freudisme et du culte de la mort.
     Les bonnes–femmes  de notre époque, ces Anges de la Mort,  qui ont d’ailleurs le physique de
     l’emploi : maigres, raides et glacées, toujours tendues, aussi blindées et fermées qu’une Entreprise
     moderne, elle ont le même look qu’un tiroir de morgue et contrairement aux chiens, (et même aux
     moutons, si l’on en croit le film) elles sont incapables d’aimer qui que ce soit, c’est tout à fait
     incompatible.

     Enfin, la morale est sauve ! (la morale de l’athéisme et du matérialisme !) puisque que tous les
     phénomènes bizarres du film ont en fait une explication naturelle !

     
    Un film désespéré et désespérant.

     

    Et plein de scènes inoubliables. (ne fusse que celle où les moutons se mettent à former un cercle autour de Noël pour le protéger.)

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  • La « spiritualité » est le truc derrière lequel les bourgeois parisiens rive-gauche cachent leur athéisme, sous de petit noeud-noeuds qui font jolis, mais sont vides (ils seraient d’ailleurs incapables de le remplir de quelque chose)

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  • *

    (le petit garçon de trois ans vous avez deviné, c'etait moi)

     

    "L'espèce humaine passera, comme ont passé les Dinosaures et les Stégocéphales. Peu à peu, la petite étoile qui nous sert de soleil abandonnera sa force éclairante et chauffante... Toute vie alors aura cessé sur la Terre, qui, astre périmé, continuera de tourner sans fin dans les espaces sans bornes... Alors, de toute la civilisation humaine ou surhumaine - découvertes, philosophies, idéaux, religions -, rien ne subsistera. En ce minuscule coin d'univers sera annulée pour jamais l'aventure falote du protoplasma... Aventure qui déjà, peut-être, s'est achevée sur d'autres mondes... Aventure qui, en d'autres mondes peut-être, se renouvellera... Et partout soutenue par les mêmes illusions, créatrice des mêmes tourments, partout aussi absurde, aussi vaine, aussi nécessairement promise dès le principe à l'échec final et à la ténèbre infinie..."

    (Jean Rostand)

     

    Yahia Gouasmi, dans une de ses meilleures vidéos dit "nous nous sentons orphelins de tout"

     Mais si nous sommes athées, on est orphelin de TOUT, absolument tout, non seulement de "Dieu" et de la vie des autres et de notre vie, et de notre passé disparu pour toujours et de notre avenir, d'ores et déjà condamné ("Le plus et le moins ne s'appliquent pas à ce qui n'est plus" disait Montaigne souvenez-vous en !) Mais orphelins do monde, et de la physique du cosmos ! et des mathématiques, de même que de l'ART (et oui !) de de toute la littérature, car n'oublions pas que tout ça n'existe QUE DANS LA MESURE où il y a un esprit CONSCIENT qui y pense !!! or si nous mourons, non seulement nous mais tout le passé et le futur de l'humanité, disparaît comme sil n'avait jamais existé, mais aussi bien les "vérités eternelles" de la philo des maths et tout le reste. On est ORPHELINS DE TOUT, ABSOLUMENT TOUT

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  • 11/4/2018 après-midi, sur France-Culture on commente l’évolution politique actuelle en comparant la trajectoire des « baby-boomers » et de ceux qui vont leur succéder, et ils planchent pédantement (et en bébégaygai-yant, comme toujours sur France-Cucul France Cul-ture) sur le thème « une injustice générationnelle (ce qui aurait l’avantage de 1° détourner le problème de sa VRAIE description    qu’il serait dangereux de révéler…  2° de préparer et nourrir un racisme anti-vieux, avant d’introduire l’euthanasie, comme en Belgique…)
    Non, ce n’est pas une injustice générationnelle ! c’est le résultat de la lutte des classes tout bonnement ! Les rapports de forces ont changé entre 1946 et maintenant, alors le grand capital est en train de reprendre aux gens, donc aux jeunes, tout ce qu’il a du concéder du temps des « 30 glorieuses » du temps où il existait une URSS pour leur faire peur !     Et un PCF puissant et des syndicats combatifs, et plein de grèves (beaucoup plus qu’à notre époque). Alors les « baby-boomers » ont profité de tous ces progrès sociaux, qu’à l’époque tout le monde, même la droite, et y compris les futurologues anti-communistes comme Jean Fourastier, considéraient comme allant de soi, comme la conséquence logique du « progrès » dans un monde riche, rationnel, « moderne » et industriel. Et qui en fait résultaient d’un climat social et intellectuel résultant lui-même qu’un passé et d’un présent historique bien particulier. Maintenant c’est une fois de plus la réaction qui déferle, et dont la génération qui suit pâtit !

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  • pourquoi autrefois (et dans certains pays, actuellement RDC et Phillipines !) des parents donnent à leurs fils le prénom Pharaon ?

    l y avait à Bailleul (Nord, en pays flamand, très catho)  je crois que c'était 1bis, rue du Collège, un vieux monsieur dont le prénom était Pharaon (oui ça existe ! Il y en a même un de célèbre : Pharaon de Winter rien qu'à Bailleul, ********,

    Et rien que parmi les morts de la guerre 14-18 de Bailleul (10.000 habitants alors) il y en a 4 : Pharaon Billiet, Pharaon Deroo, Pharaon Riem,  et Marcel Pharaon Verhaeghe, tous des ouvriers)

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  • Bonnes-femmes, il va vous falloir apprendre à vous passer de la race inférieure, de ces Untermensch que sont les hommes, si vils et si porteurs par essence de tous les vices du monde ! Oui elles ont raison les bonnes-femmes, c’est exact : les hommes sont paresseux, irresponsables et de grands enfants, et j’en suis fier, et je ne respecte que les êtres irresponsables et qui restent de grands enfants, comme Karl Marx, Albert Einstein et Jules Laforgue. Je vous laisse avec votre noble peuple sacré de « gens raisonnables » ! Allez vous faire foutre comme on dit (et comme ça vous pourrez encore stigmatiser le « machisme » avec tous vos slogans-tout-faits de maîtres racistes que vous êtes - et le racisme de classe pour commencer, d’ailleurs tout racisme se révèle être quand on gratte un peu un racisme de classe), et je resterai comme Elian Finbert avec mon chat et mon chien, qui eux méritent d’être respectés et aimés.

     

     

    http://reseauinternational.net/pourquoi-il-convient-de-se-mefier-a-legard-des-accusations-de-viol-contre-tariq-ramadan/

    "faut bien lire la loi ! à 1,50 mètre on ne peut pas t’accuser de quoi que ce soit ! donc équipe-toi d’un mètre-étalon, fais signer un état des lieux à 3 témoins avant toute formule de politesse !"

    (le mieux est de ne même pas leur adresser la parole, il faut faire semblant de ne pas les avoir aperçues, comme pour les flics. Et elles vivront et crèveront seules, comme nous, c'est le seul avenir qui reste maintenant dans notre société "libéral-fasciste")

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  • Un couple de personnes âgées, un homme de 78 ans et une femme de 74 ans, a été retrouvé mort dimanche 12 janvier 2014 au soir à son domicile, étendu sur le lit de la chambre à coucher de la maison d’habitation sur la commune de Corrèze, dans le département de la Corrèze.
    Un fusil de chasse est à leur côté. C'est leur fille qui les a trouvés et qui a donné l'alerte.
    Le procureur de la République a saisi le groupement de gendarmerie « affaire criminelle ». Décrire en termes administratif glacés ce destin humain apparaît surréaliste....
    «Apparemment, le mari aurait tué sa femme et se serait donné la mort». Il y aurait un homicide suivi d’un suicide.
    Des constatations précises de la police scientifique et technique indiquent une blessure à la nuque pour la femme et une blessure à la bouche pour l’homme, toutes deux causées par une arme à feu.
    «Une enquête de voisinage et des témoignages révèlent que l’homme avait un caractère dépressif, mais que rien ne laissait présager un tel acte. ».
    L’arme de calibre 16 est un fusil de chasse, qui appartenait à la famille. Elle aurait été rechargée après le premier tir. La femme aurait pu être tuée dans son sommeil.
    Le couple vivait seul, dans une maison isolée. Le dernier contact téléphonique, le même jour, avec la famille, n’a rien laissé transparaître. Pourtant plus tard, d’autres appels resteront sans réponse. Voilà pourquoi leur fille se serait déplacée. Une autopsie sera réalisée certainement aujourd’hui, à Limoges. La chronologie n’a pas été établie.
    Etc,etc

     un jours peut-être vous mourrez comme ça ce qui veut dire que vous êtes déjà morts, écoutez le bon sens, l'intelligence, de Montaigne :   «    Vivre    longtemps    ou    peu    de    temps,    c’est    tout    un  au    regard    de    la    mort.    Car    ni    le    long    ni    le    court    ne    peuvent    s’appliquer    aux   
    choses    qui    ne    sont    plus    » (MONTAIGNE)
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  • Génération « Flocons de neige »

    par Roberto Pecchioli

    L’armée américaine a dû abaisser ses critères de recrutement physique. Les performances des aspirants se détériorent régulièrement. On ne sait pas quelles sont les conditions psychologiques et mentales, le tempérament moral des recrues. La situation est la même en France, où la comparaison entre les tests physiques actuels et ceux du passé est décourageante : la dernière génération a perdu un quart de sa capacité pulmonaire en raison d’une sédentarité, résultat de nombreuses heures passées devant des écrans. Conséquence : les jeunes Français mettent une minute de plus que leurs pères pour parcourir un kilomètre à pied.

    Le pronostic est sévère : entre addictions alcool (non ! Les gens en boivent de moins en moins !), drogues, médicaments et psychoactifs, buzz, appareils électroniques) déchéance physique et fragilité causée par le désastre familial, genre et folies politiquement correctes, narcissisme, mystique des droits sans devoirs [c’est faux ! c’est tout à fait le contraire, il n’y a plus aucun drot, plus que des devoirs qui se multiplient et envahissent tout !! rebaptisés du nom propagandiste et policier de « citoyenneté »!] , le sort des générations est inquiétant. Encore plus désastreuse est la condition des jeunes mâles. Dévirilisés, éduqués principalement par des femmes, sans modèles, amenés à blâmer leurs instincts, ils sont le maillon faible d’une chaîne décadente. Les mâles et les femelles – y compris les « non-binaires » – sont la génération « flocon de neige ». L’affaiblissement progressif des esprits et des corps, la confusion savamment entretenue jusqu’à la désidentification personnelle et intime, n’est pas la responsabilité des jeunes.

    Ceux-ci deviennent les victimes d’une gigantesque expérience d’ingénierie et d’anthropologie sociale. Ils sont comme le pouvoir veut qu’ils soient : flasques, faibles, conformistes, craintifs, ignorants (hors formation instrumentale) incultes à la discussion, incapables d’imaginer le changement. Aux antipodes du passé, dans lequel les jeunes ont toujours été moteurs de renouveau, de diversité, de nouveauté. Des sujets idéaux parce qu’ignorants, voire sincèrement convaincus qu’ils font leurs propres choix en toute autonomie, des singes dressés convaincus que la vie est une succession de vacances, de droits, d’envies et de caprices dictés par les pubards du grand capital, exclusivement ! Tout le reste est interdit!]. Le système actuel – le mondialisme capitaliste faussement libertaire – en a fait des flocons de neige, froids, liquides, destinés à fondre aux premières chaleurs, vêtus de haillons coûteux, avec des tatouages ​​voyants, des bagues tribales et des coiffures bizarres.

    Leur soumission indifférente de petits soldats anonymes est étonnante, nous en avons eu la preuve en trois ans d’épidémie : le triomphe du pouvoir sournois, séducteur, hypnotique et narcotique.

    Les mots de Byung Chul Han, observateur lucide du présent, sont des pierres : « le sujet soumis ne sait même pas qu’il en est un, et en effet se croit libre ; il n’y a pas de multitude collaborative et interconnectée capable de monter en une contestation globale, une masse dédiée à la révolution. Dans une masse d’individus épuisés, qui s’exploitent
    dans l’illusion de l’épanouissement personnel, jusqu’à ce qu’ils s’effondrent dans la dépression et l’isolement, aucune étincelle antagoniste ne peut surgir. Comme cela se passe en Corée du Sud (Han est coréen) qui a le plus haut taux de suicide dans le monde : les gens se font violence au lieu de chercher un changement dans la société. 
    Je ne suis pas exploité par mon maître, je m’exploite moi-même. Je suis à la fois serviteur et maître. Le régime néolibéral isole ainsi les gens : dans la société du spectacle, on ne peut jamais former un collectif, un Nous capable de se rebeller contre le système. »

    Il est évident que la fragilité, la déconstruction de toute identité [et l’interdiction de toute diversité] et de tout principe partagés, combinée à la faiblesse psychophysique des générations – un processus qui a commencé dans les années 1960 et est arrivé à maturité avec un mouvement accéléré – est la volonté précise des oligarchies en Puissance. Une analyse impressionnante vient du psychologue américain Jonathan Haidt, dans « La transformation de l’esprit moderne ». Sa thèse est que certaines mauvaises idées condamnent toute une génération à l’échec. Même des statistiques qui sembleraient réconfortantes peuvent être interprétées comme des signes d’introversion, d’insécurité générationnelle.

    Le pourcentage de ceux qui ont essayé l’alcool, le tabac et le sexe avant l’âge de seize ans a chuté de de quelques points. Pas de véritable soupir de soulagement : au lieu d’apprendre à prendre des risques sans le filet de protection des adultes, trop de gens vivent enfermés chez eux, attachés à du matériel informatique. La catastrophe est que personne ne les éduque sur la vraie vie, malgré les « bonnes » intentions de leurs parents (quand il y en a…). La tendance est de se protéger de tout traumatisme, réel ou imaginaire, au prix de convaincre les jeunes qu’ils vivent dans une jungle inextricable.

    Les mauvaises idées sont les pensées insufflées par le système. Haidt en énumère trois : ce qui ne vous tue pas vous rend plus faible (le mensonge de la fragilité) ; faites toujours confiance à vos sentiments (le mensonge du raisonnement émotionnel) ; la vie est une bataille entre les gentils et les méchants (le mensonge du « nous contre eux ») [donc un conformisme de plus en plus autoritaire et intolérant, et irréfléchi, et crédule devant l’autorité]. Cette combinaison mortelle de bonnes intentions et de mauvaises idées voue une génération à l’échec, empoisonnant la société dans son ensemble. L’anxiété, la dépression, la peur, le suicide ont explosé, la culture s’est uniformisée, ce qui vous empêche d’apprendre, de comparer, de vous forger une opinion. Les réseaux sociaux et les nouveaux médias permettent de se réfugier dans des bulles où le néant est semé et la polarisation règne.

    Elle s’inquiète de la multiplication des troubles psychologiques avec des pics d’actes d’auto-mutilation. Il y a un manque de préparation pour affronter la réalité, les échecs inévitables, pour traiter le non entendu pour la première fois après le oui des parents et la fadeur du système éducatif. La date cruciale, pour Haidt, était 2010, l’année du smartphone, parallèlement au développement rapide des nouveaux médias. « La vie sociale des adolescents a radicalement changé. En 2008, les enfants allaient chez des amis ou étaient à l’extérieur ». (en 1958 les enfants jouaient dans la rue, le monde était à eux)

    En 2010, il est devenu normal pour eux de s’enfermer dans leur petite chambre avec leur téléphone portable. Les enfants et les adolescents ont besoin du jeu pour terminer le processus développement neuronal. Si la phase de jeu est limitée, ils arrivent à l’âge adulte physiquement et socialement moins forts, moins résistants au risque et plus vulnérables. « Si vous êtes un jeune accro aux réseaux sociaux depuis 2010, votre cerveau fonctionne différemment du mien », conclut amèrement Haidt.

    L’alternative est de démonter les trois gros mensonges indiqués. La faiblesse est prédominante chez ceux nés après 1995, les iGen, les digital natives obsédés par la sécurité, physique et émotionnelle. Le drame, c’est qu’« ils croient devoir se protéger des accidents de voiture ou des agressions sexuelles sur les campus universitaires, mais aussi des gens qui ont des idées différentes des leurs ». C’est la fermeture de l’esprit produite par le politiquement correct, qui se révèle de plus en plus comme un puissant facteur de guerre cognitive contre la personne, dépossédée des mots et séparée de la réalité.

    Le deuxième mensonge est émotionnel : faites toujours confiance à vos sentiments. On enseigne que si quelque chose vous dérange, c’est mauvais. D’où la pratique de boycotter ceux qui soutiennent les « idées erronées », ainsi que l’idée absurde que les universités devraient protéger les étudiants de la confrontation. La dérive actuelle témoigne de la facilité avec laquelle les mauvaises idées s’enracinent. Cela s’applique également à l’apparente confrontation entre bons et méchants, qui se termine par des préjugés et des violences, physiques ou morales, pour faire taire ceux qui n’aiment pas ça, « offenser » parce qu’ils sont dissidents, non conformistes.

    La vie, que les flocons de neige le veuillent ou non, est une affaire sérieuse. L’avenir est sombre non seulement en raison de la fragilité, de l’absence de passion et du sens incompris de la liberté des dernières générations, mais parce que le manque de préparation et la bassesse morale des classes dirigeantes, l’infantilisme de masse, le syndrome de Peter se répandront Pan se noyant dans la futilité, dans le vide, dans l’empire de l’éphémère.

    Nous vivons dans une sorte d’absence infiniment prolongée. Les qualifications académiques (traduisez ! Universitaires) abondent, mais les personnes instruites et préparées font défaut. Beaucoup fréquentent l’université comme un troupeau endormi sans esprit critique ni franchise dans les discussions. [les élèves de l’école secondaire autrefois avaient plus d’esprit critique et de culture!] La vie doit être affrontée (et effrontée!) ouvertement, dressée à l’effort de faire et de savoir, loin de l’onguent émollient de la surprotection, étrangère au vacarme du disco émotionnel. Il faut renouer avec la croissance en choisissant entre des thèses contradictoires, appuyées sur des principes fermes, le postulat de
    la capacité de décision. Les jeunes passent l’âge le plus important de leur vie dans un Disneyland virtuel. Les garçons qui ne deviennent hommes et filles que sans l’approbation du « mi comme ça », crient-ils dans la confusion. Il faut restaurer la force des idées et l’idée de force, entendue comme stabilité morale, résistance à l’adversité. Assez de l’emphase confuse sur les émotions des poupées et marionnettes manipulables, proies de toutes les peurs, cibles faciles de la propagande et des mensonges.

    La majorité des Millennials sont faibles, hypersensibles, manichéennes. Il n’est pas préparé à affronter la vie, qui est conflit, ni la démocratie tant vantée, qui est débat.

    Il court vers l’échec à l’envers. Des générations qui ont peur du langage, peur des mots ou des sens, ignorance de la réalité : c’est la néo culture de l’ultra-sécurité (safetysme) qui rend le troupeau docile, aveugle, heureux de suivre le berger. Les coussins protecteurs face à tout inconfort créent une fragilité existentielle : d’où l’anxiété et la dépression des jeunes qui transfèrent leurs émotions et leurs interactions sur les réseaux sociaux en vivant en comparaison avec leur apparence physique, leur statut social, dans le syndrome du « fomo », la peur de manquer, la peur d’être exclus des événements ou des contextes collectifs. Le carnaval pérenne a de lourdes conséquences : le groupe se veut, la mode. Quiconque n’utilise pas certains termes ou ne participe pas à certains rituels et habitudes est ridiculisé, intimidé, isolé comme un déviant.

    Les jeunes recherchent des suiveurs, pas des amis, ils manquent de vraie liberté et ne sauraient pas s’en servir ; les parents et grands-parents survivants assurent la surveillance permanente des personnes qui n’atteindront pas l’âge adulte. La carotte, c’est la condescendance permissive, mais aussi le jeu vidéo stupide ou violent offert aux navires emportés par le vent que la mer de l’existence fera naufrage. La fragilité est la première étape, viennent ensuite l’insécurité, l’anxiété, l’irritation, la faiblesse physique. Ils finiront par devenir de mauvais citoyens. Sans culpabilité, ils ne savent pas ce que sont la vocation et la passion. Ils se contentent de déplacer compulsivement leurs doigts sur le écran comme des somnambules ne comprenant pas ce qu’ils lisent ou voient. Nous les dispensons de la tempête, mais si nous protégeons les jeunes de toute expérience potentiellement dérangeante, nous les rendons incapables de lutter lorsqu’ils sortent du cône protecteur. Il n’y a pas d’autorité, de maîtrise de soi, de stabilité intérieure, d’efforts pour s’améliorer. La protection amniotique engendre la dépression, l’insécurité, jusqu’aux troubles psychiques et le fléau des suicides. Trop d’entre eux ignorent la violence qu’ils subissent et pratiquent parfois. Traverser des expériences difficiles et des traumatismes forge le caractère. La dynamique de l’hypersécurité, le manque de culture du coton reposent sur des erreurs fondamentales : la sagesse populaire savait que « ce qui n’étouffe pas la vie », tempère et permet de séparer la sphère émotionnelle de la réaction mature, de la distanciation.

    Les personnes nées après 1982 affichent des taux de suicide de plus en plus élevés selon l’année de naissance. Trop de cerveaux en formation ne sont occupés que par les réseaux sociaux, dont le bruit de chacun en quête d’approbation manque de profondeur ainsi que de motivations personnelles : donc tout le monde est fan. Les jeux externes, physiques ont disparu, [et on ne voit plus jamais d’enfants courir] il y a moins de temps pour sortir, socialiser, pris dans la fièvre des écrans, la dépendance à ce que disent les autres à travers l’écran. Tout le monde juge de tout dans une Babylone superficielle imprégnée de perfidie. Il n’y a pas d’idées propres, mais on tremble devant la désapprobation ou le redouté « je n’aime pas ça », les pouces vers le bas dans le nouveau Colisée.

    L’observation des plus jeunes, dépourvue de filtres culturels et d’expériences consolidées, convainc que la société occidentale vit dans un temps suspendu, irréel, où le présent est un moment inertiel, froid, entropique. Le monde que nous offrons à ceux qui entrent dans la vie est un faux paradis drogue-pornographique d’individus incommunicables qui traînent des existences fantasmatiques.

    Regarder les générations de flocons de neige évanescents, précocement épuisés, nous amène à un sentiment automnal, mélancolique. Les feuilles tombent, pas seulement sur la tête de la génération « flocons de neige ».

    source : Blondet & Friends envoyé par Nicolas Bonnal

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  •  

    Excellente vidéo que "Covid 1984", (sur le livre du même nom de Michel Weber), je recommande, de le lire ou l'acheter. C’est aussi proposé sur le site du libre penseur (salim Laïbi).

     

    https://www.lelibrepenseur.org/la-principale-finalite-de-la-vaccination-nest-pas-sanitaire-par-philippe-guillemant/

     

    Philippe Guillemant, ingénieur physicien français, Docteur en Physique, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS
    Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues.
    Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.
    Il y a deux cas à considérer :
    – Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main…
    – Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…
    Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.
    Dans un premier temps, seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.
    Aujourd’hui, ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application TousAntiCovid. Tout le monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable. D’autre part, le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.
    Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS, mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.

     

     

     

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