• Yahvéh un "père sociopathe" comme dit Laurent Guyénot

    non seulment le Yahvisme et tribal,mais meme envers son "peuple élu", qui n'est pas tout être sentant, ni même seulement l'humanité, mais un peuple bien défini et racialement défini,  mais envers ceux-ci aussi il est sanguinaire et raciste :


    Le Reb Shonfeld apporte de nombreuses illustrations de la cruauté des sionistes à l’égard des juifs sur lesquels ils réélectionnéegnaient dans les ghettos.
    Que les juifs portés à l’assimilation aient en quelque sorte payé de leur vie pour que naisse un État juif fondé sur le rejet de l’assimilation et la pureté ethnique, cela est conforme au schéma biblique. La notion vient directement du Deutéronome :
    « Si ton frère, fils de ton père ou de ta mère, ou ton fils ou ta fille, ou l’époux que tu embrasses, ou ton ami le plus intime, essaie secrètement de te séduire en disant : "Allons servir d’autres dieux" […], Tu le lapideras jusqu’à ce que mort s’ensuive, car il a cherché à t’égarer loin de Yahvé ton dieu […]. Tout Israël, en l’apprenant, sera saisi de crainte et cessera de pratiquer ce mal aux milieu de toi. » (Deutéronome 13,7-12)
    Pire encore, si « dans l’une des villes que Yahvé ton dieu t’a données pour y habiter, des hommes, des vauriens, issus de ta race, ont égaré leurs concitoyens en disant : "Allons servir d’autres dieux" […], tu devras passer au fil de l’épée les habitants » et réduire la ville en cendres, afin qu’ « elle devienne pour toujours une ruine ». Voilà, conclut le passage, « ce qui est juste aux yeux de Yahvé ton dieu » (13,13-19).
    « Servir d’autres dieux », cela signifie rechercher l’assimilation avec les peuples hôtes. Aux yeux de Yahvé, les juifs assimilés méritent la mort, et leur mort doit servir d’exemple. Quand, au IIe siècle av. J.-C., des Israélites dirent : « Allons, faisons alliance avec les nations qui nous entourent, car depuis que nous nous sommes séparés d’elles, bien des maux nous sont advenus » (1 Maccabées 1,11), les fils de Maccabées alliés aux Hassidim « se composèrent une forte armée, frappèrent les pécheurs dans leur colère et les mécréants dans leur fureur ». Ils « circoncirent de force tous les enfants incirconcis qu’ils trouvèrent sur le territoire d’Israël » (2,44-46). Après quoi ils établirent leur théocratie.
    La Torah montre que le règne de terreur de Yahvé repose sur le sacrifice des juifs assimilationnistes. Dans le Livre des Nombres, lorsqu’un Israélite eut l’audace de comparaître devant Moïse avec sa femme madianite, Phinas, le petit-fils d’Aaron, « saisit une lance, suivit l’Israélite dans l’alcôve, et là il les transperça tous les deux, l’Israélite et la femme, en plein ventre ». Yahvé félicita Phinas d’avoir eu « la même jalousie que moi » et, en récompense, lui donna « pour lui et pour sa descendance après lui, […] le sacerdoce à perpétuité » (Nombres 25,11-13). Méditons sur ce fait que, selon la Bible, le sacerdoce aaronite était une récompense pour le double meurtre d’un Israélite assimilationniste et de sa femme non juive.
    L’histoire de l’Exode 32 est encore plus révélatrice. Après l’épisode du Veau d’Or, Moïse conspire avec les fils de Lévi qui se rallient autour de lui :
    « Il leur dit : "Ainsi parle Yahvé, le Dieu d’Israël : ceignez chacun votre épée sur votre hanche, allez et venez dans le camp, de porte en porte, et tuez qui son frère, qui son ami, qui son proche." Les fils de Lévi firent ce que Moïse avait dit, et du peuple, il tomba ce jour-là environ trois mille hommes. Moïse dit : "Vous vous êtes aujourd’hui conféré l’investiture pour Yahvé, qui au prix de son fils, qui au prix de son frère, de sorte qu’il vous donne aujourd’hui la bénédiction." » (Exode 32,27-29)
    Dans le Livre des Nombres, chapitres 16 et 17, un groupe de deux cent cinquante Lévites, dirigé par Koré, sont eux-mêmes exterminés pour s’être rebellés contre Moïse et Aaron. « Je vais détruire [cette communauté] en un instant », dit Yahvé, et « un feu jaillit de Yahvé, qui consuma les deux cent cinquante hommes porteurs d’encens » (16,20-35). « Le lendemain, toute la communauté des Israélites murmura contre Moïse et Aaron en disant : "Vous avez fait périr le peuple de Yahvé !" » Alors Yahvé dit : « Je vais détruire (cette communauté) en un instant », et une épidémie décima quatorze mille sept cents d’entre eux (17,6-14).
    Ce que ces épisodes soulignent, c’est que l’autorité de Yahvé et de ses élites représentatives (c’est une seule et même chose) est entièrement fondée sur la violence et la terreur contre les Israélites eux-mêmes. Les juifs qui défient leurs chefs et qui se socialisent avec leurs voisins non-juifs, qui mangent avec eux, qui se marient avec eux, et qui, en faisant tout cela, font preuve de respect envers leurs dieux, sont, selon l’idéologie biblique, des traîtres à Yahvé et à leur race, qui attirent sur leur communauté la colère de Yahvé et méritent d’être éliminés sans pitié. Leur extermination plaît à Yahvé et régénère le peuple.
    C’est peut-être là, au fond, la vraie raison pour laquelle les juifs d’Europe morts sous l’occupation nazie sont désignés comme un Holocauste. Un « holocauste » désigne dans la traduction grecque de la Torah le sacrifice propiatroire d’animaux, tués et entièrement consumés, offert par les prêtres à Yahvé, qui en apprécie « l’agréable odeur » (Genèse 8,21). Selon le livre d’Esdras, par exemple, un gigantesque holocauste de taureaux, béliers et agneaux fut offert à Yahvé par les Judéo-Babyloniens qui colonisèrent la Palestine avec le soutien politique, militaire et financier de l’empereur de Perse (Esdras 7,17).

    « il vaut mieux être vivant que mort - ça devrait logiquement être la devise des athées non ?La tragédie lybienne »
    Partager via Gmail

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :