• Chine, vers un effondrement de l'immobilier ?

    En Chine aussi les signaux sont au rouge.

    Après des décennies de croissance, on pourrait toucher à la fin du “miracle” économique chinois.

    Deux indicateurs sont très préoccupants.

    Les jeunes ne trouvent plus de travail, les dernières données indiquent un taux de chômage de plus de 21%.

    Problème, ces “dernières données” datent de plusieurs mois… Car en Chine quand il y a des mauvaises nouvelles, on arrête simplement de les publier.
     


    Pendant ce temps, la bulle immobilière risque de céder à tout instant.

    Après Evergrande, c'est au tour de Country Garden, l’un des plus gros promoteurs immobiliers du pays, de risquer la faillite et d'entraîner avec lui les autres sociétés immobilières.

    Ça peut paraître un détail, mais l'immobilier est l'un des plus gros secteurs économiques chinois.

    Si l’immobilier s'effondre, c’est toute l'économie qui s'effondre.

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    et les valeurs morales et évangéliques aussi ils les piétinent idéologiquement, ce sont des nazis, Giuseppe Belvedere en sait quelquechose, écoutez ses vidéos à lui aussi, vous découvrierez des choses !

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  • Le mythe de la surpopulation en 60 secondes... Pourquoi nous mentent-ils ?!? Posez-vous les bonnes questions !!!

    Si chaque personne dans le monde disposait d'un espace d'environ 1 000 mètres carrés pour cultiver sa nourriture, l'ensemble de la population humaine tiendrait sur une surface équivalente à celle du Brésil.

    Si chaque famille de quatre personnes disposait d'un espace d'environ 700 mètres carrés pour cultiver sa nourriture, l'ensemble de la population humaine tiendrait sur une superficie équivalente à celle de l'Iran.

    En 2019, on estimait qu'il y avait environ 7,7 milliards de personnes dans le monde. Presque toutes les quantités de légumes nécessaires à une famille de quatre personnes peuvent être produites sur environ 200 mètres carrés de jardin. 

    On sait que les terres arables couvrent actuellement une superficie d'environ 31 millions de kilomètres carrés. Sur ces terres, il serait possible de cultiver les quantités de légumes nécessaires pour nourrir 155 milliards de personnes, soit plus de 38 milliards de familles de quatre personnes. Il n'y a pas trop de monde, il y a plus qu'assez d'espace pour tout le monde, sauf pour la cupidité !

     

    Ils disent que l'on est trop sur terre car ils veulent juste profiter entre-eux (les 1%) des ressources naturelles ou pas, de matière première minérale ou organique que la terre possède, tel que l'or, les diamants, le saphir, les rubis, l'émeraude, le pétrole, le gaz, les minerais métalliques, de fer, le nickel etc etc...
    https://t.me/HocineLeDZ

    YouTube https://youtube.com/@HocineLeDZ

     

    Vous pouvez également me rejoindre sur   Ma chaîne Odysee https://odysee.com/@HocineLeDZ:a

     

    argument plus rationnel : les catholiques Tiers-Mondistes de gauche des années 70 AVAIENT RAISON (et eux seuls!) en disant "pas de mesure coercitives ni anti-vie ! simplement aidez les pays du Tiers-monde à se développer, une fois qu'ils seront développés, leur natalité baissera toute seule, à l'époque personne ne les coyait, on les diabolisaient même, or : LES FAITS ONT MONTRE QU'ILS AVAIENT PARFAITEMEJNT RAISON

    Les pays qui se sont « développés » ont vu leur taux de fécondité s’effondrer et rejoindre ceux de l’Occident, seuls sont restés avec un taux de fécondité éleva (quoi que quand-même en baisse) les pays qui sont restés pauvres./

    donc une septième fois je rererrtererereredids regardez

    en 1990:

     

    et je rerererereredis regardez !

    en 2023 :

     

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  • les partis de la gauche traditionnelle ont été envahi de "bourgeois réacs, et méprisants le peuple, qui y ont instaureé leurs préoccupations de bourgeois, et se sont assis sur la vie des travailleurs qui leurs produisent leurs richesses ! et ils ont dit c'est ça la "gauche" si vous n'êtes pas d'accord on appellera ça "extrème-droite", ce qui fait que la lutte des classes, et les interêts des exploités ils apellent ça "extrème-drioite, bref tout a change de sens , le mnde à l'envers, par l'impudance des "bourges" et des affairistes, les fameux cadre sup' qui passent leur temps à réunionner derrière leurs vitre blindés, sur la meilleure manière de se faire du fric sur le dos des autres, ceux qui travaillent ! Relisez Marx, et n'oublier pas Lénine : il faut toujour revenir au CONCRET.

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  • sur le devoir de désobéir qui s'impose légalement à tout fonctionnaire, les textes juridiques ici :

    https://blog.andreicard.fr/a-propos-du-devoir-de-desobeissance-des-fonctionnaires/

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  • (c'est pourquoi en 2022 les résultats des DOM-TOM ayant votés à part une semaine plus tard n'ont pas pu être trafiqués (et Macron y a été battu à plates coutures !!!) mais sur les résultats métropolitains qui passent à la moulinette des ordinateurs concentrateurs, François Chaumont, qui est analyste programmeur de profession, vous explique

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    « La meilleure résistance au totalitarisme, c’est de nourrir l’âme humaine » – Ariane Bilheran

    oui, l'approche psychopathologique ça manque pour la compréhension de l'histoire, et bien entendu l'approche MARXISTE !

    7 juin 2023 Esprit de Liberté

    Diplômée de l’École normale supérieure (Ulm), Ariane Bilheran est philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie. Elle est spécialisée dans l’étude de la psychopathologie du pouvoir, de la manipulation, de la perversion, de la paranoïa, du harcèlement et du totalitarisme.

    Il y a quelques mois, elle a publié un nouvel ouvrage intitulé Sur le Totalitarisme, Conférences 2021-2022. Un opuscule qui rassemble une série de conférences consacrées au phénomène totalitaire. 

    Au regard de ses travaux en psychopathologie, Ariane Bilheran considère notamment que le totalitarisme correspond « à un délire paranoïaque », c’est-à-dire « une pathologie de contrôle » et « de persécution » des populations. 

    « La spécificité du totalitarisme consiste à viser la domination totale, notamment sur la vie intime des gens, souligne la philosophe. Cet accaparement de la vie intime est aussi un accaparement des corps. Le totalitarisme s’approprie le corps des individus et les réduit à des corps que l’on peut anéantir. »

    « Dans le système totalitaire, l’être humain devient superflu. Ce sont d’abord des catégories de population qui deviennent superflues, ensuite la persécution s’étend à d’autres catégories », poursuit Ariane Bilheran. 

    Parmi les modes d’exercice du totalitarisme, la psychologue souligne notamment le rôle prépondérant du harcèlement, qui pousse les individus à l’autodestruction.

    « Quiconque étudie un peu le harcèlement, ou a été victime de harcèlement, sait que même si son harceleur n’est pas en face de lui, il continue de le détruire. Il existe un mécanisme appelé introjection en psychopathologie : à partir du moment où l’on a été traumatisé, et plusieurs fois, la marmite continue de bouillir. C’est ce qui amène l’explosion des tentatives de suicide que l’on connaît actuellement. »

    Selon l’auteur, le totalitarisme fonctionne à l’idéologie « une narration mensongère du point de vue de la vérité et mensongère du point de vue de la réalité de l’expérience vécue » et recourt à la propagande pour la diffuser, asseoir son emprise sur les individus et les endoctriner. 

    « Les masses sont fabriquées. Cette fabrication passe essentiellement par la propagande, c’est-à-dire la répétition permanente d’un mensonge. C’est un lavage de cerveau », explique Ariane Bilheran. 

    « Nous avons aujourd’hui des boîtes à endoctrinement, qui sont notamment la télévision et tout le règne de l’image en général. Il est très facile de manipuler les êtres humains à travers l’image, nous n’avons pas suffisamment de filtres au niveau de notre cerveau pour disposer de garde-fous complets sur le statut des images auxquelles nous sommes exposés », poursuit la philosophe. 

    Outre le caractère mensonger des récits fabriqués par le pouvoir totalitaire pour subjuguer les masses, Ariane Bilheran relève également le recours systématique aux paradoxes, qui permettent de sidérer la pensée, ainsi que la manipulation des émotions « à la terreur et à la culpabilité ».   

    « Cette attaque de la langue est très insidieuse, nous la subissons en permanence. La langue totalitaire change le sens des mots et introduit une série de paradoxes qui empêchent d’avoir accès à une langue qui permet de nommer la vérité des choses et la vérité de l’expérience. Il y a une contamination de ces expressions. À partir du moment où nous les adoptons, nous rentrons dans cette colonisation mentale. Quand on appelle santé publique le fait de ne pas soigner des gens, par exemple, nous sommes dans un langage mensonger », souligne la psychologue.  

    Pour Ariane Bilheran, le totalitarisme fonctionne de la même manière que les phénomènes sectaires en cherchant à isoler les individus, à les priver de leurs repères, de leurs liens et de leurs appartenances. 

    « Ces dernières années, les esprits ont été préparés à accepter cette différenciation entre les bons et les mauvais citoyens. Pour devenir un bon citoyen, il faut accepter de casser ses appartenances : les appartenances historiques, familiales, sociales, culturelles, les loisirs, le travail, etc. »

    « Le système totalitaire est un système de haine. Cette haine entre les individus se caractérise par la méfiance, par l’envie. Le système totalitaire autorise les délations, il autorise le fait de s’approprier des choses de son voisin. C’est exceptionnel pour des individus en très grande frustration », ajoute-t-elle.

    Inspirée par les travaux d’Hannah Arendt, Ariane Bilheran souligne que « le système totalitaire est la rencontre entre un pouvoir cynique et corrompu, et une masse d’individus crédules et obéissants ». 

    D’après la philosophe, le totalitarisme ne peut en effet « se mettre en place sans la collaboration de nombreux individus » séduits par le pacte pervers et les fausses promesses du pouvoir totalitaire. 

    « L’individu, parce qu’il appartient à un groupe, parce qu’il ne veut pas sortir de cette appartenance, va accepter différentes situations intolérables. »

    Une fois pris dans l’engrenage totalitaire, les individus ont d’ailleurs beaucoup de mal à s’en extraire : « À partir du moment où la personne s’est engagée dans des actes, c’est beaucoup plus difficile pour elle de faire machine arrière parce qu’elle a accepté une collaboration et, inconsciemment, il est très compliqué pour elle d’assumer sa propre culpabilité. »

    Selon Ariane Bilheran, la lutte contre totalitarisme passe par chaque individu et consiste notamment à sortir des conditionnements collectifs pour reprendre « son pouvoir personnel », cultiver sa liberté d’esprit, sa spontanéité, mais aussi à « polir les vertus de l’âme humaine » afin de retrouver « le chemin de notre vie intime ».  

    « Nous avons affaire à un empoisonnement minutieux, généralisé, pas uniquement alimentaire, mais d’abord mental et émotionnel, remarque la philosophe. La meilleure résistance au totalitarisme, c’est de nourrir l’âme humaine. »

    « Il y a toujours des hommes qui refusent ce système de contraintes, ce système d’esclavagisation, en mettant la liberté comme valeur suprême », poursuit-elle. 

    « Le système totalitaire nous fait croire qu’il est intéressant d’être immortel. Ce n’est pas le cas. Ce qui est intéressant, c’est de valoriser son existence. Quelle est la valeur la plus haute que je peux mettre à mon existence ? C’est cela qui est important. »

    Et Ariane Bilheran de conclure : « Tout le monde doit faire preuve de lucidité et s’interroger sur ses actes, ses choix et ses prises de décision. À quel moment et pourquoi est-ce que je collabore à ce système totalitaire ? Il y a différents types de collaboration. Est-ce que je le fais par peur ? Par culpabilité ? Pour être tranquille ? Est-ce que je le fais parce que j’y crois ? Tout cela doit être extrêmement clarifié. »

    la meilleure résistance au totalitarisme c'est d'abord de ne pas les habituer à accepter des cookies dans leurs ordinateurs !!!!!

    et bien sûr refusez absolument l'argent électronique !

    Jetez vos téléphones portables et vos cartes de crédit !

    boycottez tous les lieux qui montent des caméras de vidéo-surveillance

    la lutte pour la dignité est vitale pour l'avenir de l'humanité, relisez la parabole de la grenouille qui cuit

     

     

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     c'est même le B. A ba !!

    Si toutes les infirmières, si tous les médecins avaient été solidaires, l'infâme fascisme de ces dernières années n'auraient jamais été possible.

     

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  • par Batiushka

     

    "Mon père a combattu les nazis (c'était un russe). En 1942, il a perdu ses deux meilleurs amis à cause d’un de leurs obus. Pour une raison mystérieuse, l’obus les a tués, mais ne l’a que blessé, même s’il a dû passer six semaines à l’hôpital. Soixante ans plus tard, alors qu’il se mourait de vieillesse, il se souvenait, les larmes aux yeux, de ses amis disparus, des hommes qui n’avaient pas vécu, tués alors qu’ils n’avaient qu’une vingtaine d’années."

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  • et censurépar notre immonde

    société de merde à crever

    nazie aux mains

    u totalitarisme capitaliste informatique de MERDE

    ses prétendus "traitements de texte" qui n'en sont pas leur prétendus "fournisseurs d'accès

    qui ne sont que d'immondes censureurs Goebbelsiens

    Et leurs prétendus logiciels de courrier électroniques qui ne savent qu'empêvcher TOUTE aCTION QUELLE QU'elle soist et tout détruire !!!



    Interrogé sur le fait d’être qualifié d’« ennemi public », l’archevêque Vigano a répondu ce qui suit :

    “Comme je l’ai noté précédemment, il est typique de tout régime totalitaire tel celui de cette merde qu’est o***** et le logiciel de courrier électronique *****

     

    >de chercher à délégitimer toute forme de dissidence, d’abord en ridiculisant l’adversaire, en faisant de lui l’objet de dérision pour le discréditer aux yeux de l’opinion publique. Puis, après avoir délégitimé la personne comme pathologique, ou ayant besoin de soins psychiatriques, suggérer que l’adversaire est mentalement instable qui devrait être hospitalisé dans un établissement psychiatrique. Enfin, ce processus aboutit à la criminalisation complète de tous les dissidents. Le régime crée ainsi les prémisses nécessaires pour séparer tous ses adversaires de la société civile.

    Interrogé sur les espions présents dans les masses de prêtres qui avertissent leurs congrégations des dangers des vaccins COVID, l’archevêque a répondu :

    Je pense que tout prêtre a le droit, ou plutôt le devoir, d’avertir ses fidèles du danger réel – pas seulement hypothétique – que représente l’inoculation de ce produit médical expérimental. C’est particulièrement le cas lorsque toute la farce psycho-pandémique vise clairement à conduire à l’instauration d’une dictature, dont le but est de contrôler les citoyens par une violation de leurs droits constitutionnels et naturels sous couvert d’urgence sanitaire.

    À un autre moment, l’archevêque a mis en garde contre la préparation qui a eu lieu avant la pandémie :
      Cette opération a nécessité une préparation minutieuse et a nécessité la participation d’une grande partie des institutions publiques et des secteurs privés, y compris la complicité de la magistrature, des forces de l’ordre et des médias. Ces efforts conjugués constituent un véritable  coucrêve ignoble pourriture !!! p d’État  et la pandémie n’est qu’un prétexte – le profasis  – à travers lequel s’introduit l’apparente inévitabilité de la violation des droits fondamentaux et l’instauration conséquente du régime totalitairevas crever ignoble merde censureuse de mezrde à CREVER !!!!!!!!
     de l’Ordre Nouveau. Dans ce Nouvel Ordre règne la superstition pandémique, avec ses magiciens, ses temples vaccinaux, ses rituels irrationnels et ses excommunications de pécheurs  vitandi (« à éviter » ou « à fuir ») — ceux qui n’acceptent pas de renoncer à leur raison avant même d’apostasier de leur Foi pour embrasser cette folie idéologique insensée.“

    En réponse au Nouvel Ordre Mondial (NWO) :
      Le Nouvel Ordre Mondial n’est ni Nouveau ni Ordre : il représente la folle ambition de Satan de renverser le plan providentiel de Dieu, d’annuler la vraie Religion qui conduit au salut éternel et enfin de remplacer l’« ordo christianus ».» (« l’ordre chrétien ») dans un chaos infernal. Dans ce désordre, le mensonge remplace la Vérité, l’injustice et l’abus de pouvoir remplacent la justice, la fantaisie au lieu de l’obéissance à la loi de Dieu, la mort au lieu de la vie, la maladie au lieu de la santé, la légitimation du Mal et la condamnation du Bien, la persécution des bonnes personnes et la louange des méchants, l’ignorance au lieu de la culture et de la sagesse, la laideur et l’horreur au lieu de la beauté, la division et la haine au lieu de l’harmonie et de l’amour. Satan ne veut pas être adoré en adoptant les qualités de Dieu, mais en exigeant d’être un objet d’adoration à travers tout ce qui est mal, obscène, faux, absurde et monstrueux. Il cherche la subversion totale, une subversion ontologiquement diabolique et antichristique : un « Ordre Nouveau » obtenu au moyen d’un coup d’état global  imposée sous le couvert d’une situation d’urgence planifiée.

    La campagne vaccinale, dépourvue de toute validité scientifique, sert d’abord d’apparente légitimation à la mise en place d’un suivi et de contrôles globaux, aujourd’hui sous prétexte de limiter la propagation du COVID (prétexte qui est faux, car, entre autres raisons, les vaccinés peuvent encore devenir infecté et contagieux). Mais demain, cette campagne vise à étendre sa portée, en étendant le « Green Pass » pour inclure des informations utilisées dans un « système de crédit social » pour faire face à une « urgence verte », qui sera également fausse et spécieuse. Le « Pass Vert » est conçu comme quelque chose comme la Marque de la Bête mentionnée dans l’Apocalypse de Saint-Jean pour permettre ou interdire aux gens d’acheter, de vendre, de voyager, de dépenser, de manger et de vivre.

    Deuxièmement, l’inoculation à des personnes d’un sérum génique expérimental qui provoque un affaiblissement de notre système immunitaire naturel représente un crime très grave, car elle transforme des personnes ordinaires en bonne santé en personnes malades chroniques, et par conséquent en clients des entreprises de soins de santé et des soins privés. Cette situation gonfle énormément les profits de l’élite mondialiste et entraîne un appauvrissement général de la population.

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  • et si vraie

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  •  
    Pour le bien de l'humanité la Russie doit et va gagner cette guerre qui lui a été imposée.
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  • #quelleepoque#EffetsSecondairesVaccin19#BFMTV L’ancien ministre italien de la Santé, Roberto Speranza, a réussi à échapper à un lynchage par des citoyens très en colère qui ont perdu des proches ou dont les proches ont eu des effets secondaires graves suite aux injections

     

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  • (mais compréhensible pour un marxiste : ça ressort de l'éternelle lutte des classes, ils veulent rétablir un esclavage moderne, un esclavage 2.0 Bertholt Brecht ne disait-il pas "le fascisme est la forme que prend la démocratie bourgeoise par temps de crise. Et de même que le christianisme au XIXè siècle, l'hygiéno-sécuritarisme est devenue la grande religion instrumentalisée pour décéréber etles gens et soumetre le peuple aux interêts du grand capital, rien de nousveau sous le soleil ! il n'y a que les modalités qui changent.

    souvenez-vous bien, n'oubliez JAMAIS, JAMAIS !
    "en portant le masque, qui ne sert à rien, le fidèle, citoyen a fait son propre geste de soumission"  au fascisme d'Etat.

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  • Pope Francis says disabled people should be euthanized to help combat climate change

    Pope Francis has thrown his weight behind the World Economics Forum’s campaign to euthanize people with autism, alcoholism and other minor illnesses and disabilities to help humanity fight so-called “climate change”…

    Pope Francis says disabled people should be euthanized to help combat climate change

    Pope Francis has thrown his weight behind the World Economics Forum’s campaign to euthanize people with autism, alcoholism and other minor illnesses and disabilities to help humanity fight so-called “climate change”…

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  • on nous dit qu'il est mort subitement le 31 juillet 2017 - mais nulle part on ne trouve d'autres détails ni explications.

    ah vous ne savez pas qui était ce scientifique belge né en Hongrie ? C'est un tort il faut s'intéresser à ses conférences (il y a des vidéos sur Internet, et aux "misères"que certains milieux lui ont alors fait, vu les intérêts en jeu.....

    ci-dessous un article par quelqu'un qui l'a connu et une interview  avec lui

    ISTVAN MARKO : UNE PERTE IMMENSE.

    grcc (6)

    C’était vraiment une personnalité exceptionnelle, tant sur le plan humain que scientifique. Sa disparition inopinée laisse un vide profond, et un grand désarroi parmi ceux qui l’ont connu. Samuel Furfari vient de parfaitement le décrire, voici un extrait :

    « Homme bon, sa grandeur d’âme qui se déclinait dans la simplicité, la joie et l’amitié. Jamais la grosse tête et toujours le mot pour rire. (…) Homme de conviction, il ne s’embarrassait jamais d’apparaître comme politiquement correct. Il disait les faits tels qu’ils sont que cela plaise ou non. (…) Il est ainsi devenu la référence du climato-réalisme en Belgique et ailleurs ce qui lui a valu bien des inimitiés et des coups bas mais aussi la reconnaissance et l’admiration de tant d’autres. Pas besoin d’être climatologue pour interpréter un graphique disait-il. Si le graphique montre une chose il faut l’admettre que l’on soit ou non climatologue. Il savait aller dénicher les interprétations erronées et les présentaient avec pédagogie. (…) Istvan Marko restera un exemple pour ceux qui ne se contentent pas du politiquement correct. Rencontrer un tel homme scientifique, humble, rigoureux, compétent, respectant les étudiants, simple et jovial est exceptionnellement rare. Il était un vrai libre-exaministe ».

    Une réaction de chimie organique porte son nom. Il a été le président de l’European Chemical Society. Il enseignait la chimie organique à l’Université Catholique de Louvain, et également en Chine.

    Je compte reprendre un maximum d’articles le concernant, malheureusement des circonstances familiales m’ empêcheront une certaine continuité.

    Voici le premier billet que je lui consacrais en janvier 2012. 

    Il y a peu, je vous conseillais un lien vers une interview accordée par un professeur de l‘Université de Louvain-la-Neuve au média informatique Contrepoints. Cette interview iconoclaste dans le paysage médiatique belge, n’y eut -à ma connaissance- aucun écho. Je la reprends in-extenso ici.

    Jo Moreau

    Chimiste de renommée mondiale, István Markó a pour collègue universitaire le vice-président du GIEC. Cela ne l’empêche pas d’être en désaccord total avec lui sur la question des changements climatiques. A l’heure où le sommet de Durban se solde par un échec cinglant, Contrepoints a rencontré ce chercheur atypique dans le paysage universitaire belge.

    Le 27 janvier 2011 à Bruxelles, István Markó était invité à débattredes changements climatiques avec Jean-Pascal van Ypersele, vice-président du GIEC. À l’entame du débat, le public est prié de répondre à ces deux questions : « Le réchauffement climatique est-il vraiment en train de se produire ? » et « Si c’est le cas, est-ce dû principalement aux activités humaines ? ». Une majorité de « oui » sanctionnèrent ces deux questions. Mais, après le débat, la proportion de sceptiques s’inversa. Les arguments du Pr Markó semblaient avoir conquis une grande partie du public. Depuis ce jour, Jean-Pascal van Ypersele refuse de débattre publiquement avec son collègue de l’UCL.

    Docteur en chimie et professeur à l’UCL,, István Markó remet les pendules à l’heure, au moment où le sommet de Durban se solde par un échec. « Nous ne savons que peu de choses du climat terrestre, et les déclarations du GIEC sont utilisées dans un but politique ».

    CP – Le Japon, le Canada, la Russie n’envisagent pas de prolonger le protocole de Kyoto. Les USA ne l’ont jamais fait. Est-ce que cela signifie qu’on va assister, à Durban, à un enterrement de première classe du protocole de Kyoto ?

    IM – Il faut s’attendre à ce qu’on n’aille pas très loin. Le réalisme, une fois encore, l’emportera sur le dogmatisme. Prenez l’exemple de l’Allemagne : le gouvernement quitte le nucléaire sous la pression des Verts. Or, le nucléaire reste à ce jour la seule source capable de générer de l’électricité abondante et à cout compétitif à l’exception de l’hydro-électricité sans produire de CO2. Lorsqu’on quitte le nucléaire, on devient dépendant des autres pays. Le coût de l’électricité augmente pour le citoyen. De plus, les éoliennes et les autres sources d’énergie renouvelables ne sont pas capables de produire assez d’électricité pour couvrir la consommation. Il faut donc retourner à des centrales au charbon ou au gaz.

    Je ne peux pas concevoir qu’un pays comme l’Allemagne ne construise pas en parallèle un système basé sur le gaz ou le charbon. Donc, qu’il en soit amené inévitablement à générer plus de CO2. Pourquoi, dès lors, l’Allemagne prolongerait-elle le protocole de Kyoto ? La Grande-Bretagne est en train de faire la même chose… Sans subventions étatiques, il est impossible d’être compétitif dans le domaine des énergies renouvelables. Or, avec la crise économique, les primes sont supprimées, voyez ce qu’on a fait en Belgique. Dans une écrasante partie du monde, les gouvernements se rendent enfin compte que les objectifs de Kyoto, en plus d’être inatteignables, sont extrêmement coûteux. En ces temps de crise de la dette, je me demande encore pourquoi l’Union européenne seule continue à pousser vers de nouveaux accords contraignants.

    Quel est votre principal grief, envers le débat actuel sur le réchauffement climatique ?

    C’est qu’on mélange allègrement deux aspects: un aspect purement scientifique (y a-t-il réchauffement ? est-il dû à l’activité humaine ?) et un aspect « politique » (que fait-on ? quitter le nucléaire ? diminuer la quantité de CO2 dans l’atmosphère ?, etc.) Chacun de ces aspects doit être traité séparément. Or, en ce qui concerne la partie scientifique, on est très loin d’avoir une réponse, après plus de 20 ans de recherche, à la question principale, notamment le rôle des émissions de CO2 des combustibles fossiles dans le réchauffement climatique On ne fait que découvrir l’influence des phénomènes naturels sur le climat. Voyez l’expérience CLOUD faite par le CERN à Genève. Il n’y a aucune certitude vu la complexité du problème et des processus en jeu. Des paramètres particulièrement importants sont quasiment ignorés (par exemple, l’effet de serre du à la vapeur d’eau, notamment à travers les nuages…, la contribution du CO2 volcanique). Nous sommes clairement dans un système physicochimique chaotique et créer des modèles de projection, à notre niveau de connaissance actuel, n’a pas beaucoup de sens et induit tout le monde en erreur.

    Surtout, affirmer que le taux de CO2 augmente la température du globe, est erroné.

    La hausse de température précède l’augmentation du taux de CO2, comme cela a été mis en évidence dans les glaces de Vostock, datées de 240000 années ainsi que dans les données récentes du XXème siècle (Keeling). Le problème est l’observation (via des preuves indirectes) d’une augmentation de la température moyenne du globe. Dès lors, le discours officiel proclame que cette hausse provient de l’augmentation du CO2 dû à l’activité humaine. Désolé, mais aucune démonstration n’a été faite, même par le GIEC.

    On est donc en droit, scientifiquement, de se demander si cela vaut la peine d’investir une telle quantité d’argent et de mettre en péril nos industries et nos sociétés, pour un résultat qu’on ne sait de toutes façons pas atteindre.

    De nouveaux e-mails de ce que l’on appelle le « Climategate » ont été dévoilés, une fois encore, à la veille d’un sommet de l’ONU sur le climat. Que nous apprennent-ils de plus que la première série, sortie juste avant Copenhague en 2009 ?

    S’agit-il ou pas d’un hasard ? Je ne le pense pas, mais je n’oserai pas m’avancer làdessus.

    Par contre, que nous apprennent ces courriels volés ?

    Fondamentalement, rien de neuf. Les scientifiques restent des humains. En l’occurrence, ceux du CRU [un de principaux centre de recherche climatique] paraissent malhonnêtes dans leur interprétation des choses : courbes trafiquées, effacement de données, petits arrangements pour faire croire au réchauffement inéluctable. Ce qui m’inquiète, c’est que, contrairement à la presse anglo-saxonne, cette affaire trouve peu de retentissement dans la presse européenne continentale et Belge en particulier. Est-ce volontaire ? Y a-t-il eu des pressions ?L’impact de ces courriels sur l’opinion publique reste négligeable, à l’exception des personnes qui s’informent via le Net. C’est regrettable.

    Et c’est néfaste pour le débat scientifique ?

    Absolument ! De nos jours, il y a des idées qui sont établies en dogmes. On y croit : ce n’est plus une question de science. C’est ainsi. Cela a été établi on ne sait par qui, on ne sait pas quand, mais c’est ainsi. Ces scientifiques, membres d’un grand organisme onusien, n’ont pas envie de voir mourir la poule aux oeufs d’or. Voilà pourquoi ils bloquent le débat en nous traitant, moi comme des millions d’autres à travers le monde, de « sceptiques » ou même parfois de « négationnistes ». Le pire, c’est que le monde politique et les médias y trouvent aussi leur compte. Les politiciens et les autres ont trouvé dans ces mensonges un moyen de faire admettre aux citoyens qu’il fallait vivre avec une énergie plus chère, avec une production d’énergie verte plus abondante, etc. La presse, elle, n’a jamais pris de position déontologique et de recul critique. Elle a répercuté les infos provenant du GIEC sans se poser de questions. On lit régulièrement que l’Arctique est en train de disparaître, alors que les études montrent le contraire. Idem pour les mouvements, naturels, de l’Antarctique. Mais je ne blâme pas les journalistes, même les scientifiques. Ils risquent de se heurter à une censure parfois violente, à un dénigrement.

    Quel est votre sentiment aujourd’hui ? Vous pensez que l’humanité a perdu du temps et de l’argent en se fourvoyant dans un débat volontairement tronqué ?

    Avec le temps, de plus en plus de scientifiques devraient sortir du bois. On sent que le message du GIEC passe de moins en moins bien. Notamment grâce au travail d’internautes, qui montrent comment des graphes ont été trafiqués.

    Dans les cénacles académiques, beaucoup de scientifiques ont eu peur pour leur avenir. Les choses sont en train de changer. Au début, je n’y connaissais rien en chimie environnementale. C’est en m’y intéressant, en discutant avec des géologues, des physiciens,… que j’ai constaté que je n’étais pas satisfait des réponses qu’on me fournissait. La climatologie, qui est une science récente, doit encore progresser énormément dans des tas de domaines : l’étude de l’impact des fonds marins, de l’atmosphère et du soleil,… tout cela est encore incompris aujourd’hui. Le mieux, pour la science, c’est qu’on nous laisse travailler sereinement, et sans parti-pris, à l’évolution de nos connaissances et qu’on arrête de nous faire croire que « le débat est clos »..

    Qui visez-vous en particulier ?

    Tous ceux qui ont intérêt à poursuivre le martèlement publicitaire. Greenpeace, WWF et les autres vont, par exemple, s’obstiner dans leur combat idéologique. Moi, je crois qu’on va assister à un tassement de la quantité d’argent dépensé dans l’économie verte. Elle n’est pas viable, je le rappelle, sans subventions ou découvertes fondamentales majeures. Le politique va ouvrir les yeux, en raison de la crise. Le gouvernement japonais a constaté qu’il allait détruire son économie s’il continuait à subventionner l’économie verte. En Europe, on commence à se rendre compte de l’impact des mesures « vertes » sur le pouvoir d’achat des citoyens. Le fait que le nouveau gouvernement belge n’ait plus un ministre en charge du climat en dit long sur l’évolution de ces dernières années. Le problème, c’est que les recherches technologiques ne sont pas abouties. En matière photovoltaïque, par exemple, d’énormes progrès restent à faire. Mais il faut financer la recherche dans les domaines du futur. Cela veut dire demander aux politiciens d’avoir une vision à dix-quinze ans. Sur ce dernier point, je réserve toujours mon optimisme. 

     

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  • être dénaturé et instrumentalisé comme un moyen de décérébrer les masses et les faire bien obéir, dans l'intérêt des classes dominantes.
    Et la bien-pensance, et les SUPERSTITIONS les caractérisent, exemple :

     La superstition, considérée comme une «déviation du sentiment religieux fondée sur la crainte ou (et) l’ignorance», pour reprendre les termes de cette définition, explique parfaitement l’attitude inculquée aux peuples par la propagande incessante relative au changement du climat. Il ne se passe pas un jour au cours duquel des commentateurs de «plateau télé» glissent les termes «réchauffement climatique» ou «changement climatique» pour justifier leurs propos. Les évènements d’Ukraine ne seraient-ils pas explicables par le réchauffement du climat ? Les sociétés occidentales en sont arrivées à un point non pas obsessionnel mais superstitieux pour adopter une attitude de soumission qui rappelle étrangement l’attitude des chrétiens alors que la papauté les rançonnait sans vergogne pour qu’ils sauvent leur âme des flammes de l’enfer. Ce rappel des faits vécus pendant des siècles par tous les pays dont est issu l’Occident actuel (hormis la Corée et le Japon) est tout à fait opportun pour expliquer ce qu’est une croyance superstitieuse. En effet aucune preuve de l’existence de l’âme n’a jamais été apportée, aucune preuve de l’existence de l’enfer n’a jamais existé, ce sont des croyances, des dogmes auxquels il faut croire sans se poser de questions, on peut même affirmer qu’il s’agit de superstitions. En ce qui concerne ce fameux réchauffement du climat, toutes les preuves avancées par les fonctionnaires internationaux qui se prennent pour la nouvelle Rome sont fausses, fabriquées à partir de mensonges. On se trouve maintenant dans la même problématique superstitieuse. Un exemple illustre ces mensonges :

    Par exemple l’une des illustrations parmi les plus convaincantes est l’effacement de l’épisode de climat très doux voir chaud, très chaud, favorisant les pluies nécessaires pour assurer des récoltes abondantes qui «sévit» pendant trois-cent ans (1000-1300 de l’ère commune) et que tous les historiens et les scientifiques honnêtes reconnaissent, l’«optimum climatique médiéval». Il a disparu !

     

     En effet et pour reprendre la définition de la superstition la «crédulité irrationnelle» risquait d’être mise en doute si la mention de cet optimum climatique médiéval s’imprimait dans les mémoires et permettait de qualifier l’optimum climatique moderne comme un épisode de courte durée à laquelle il ne faut pas attacher d’importance. Et l’«excès d’attachement» à ce thème du climat relève de la superstition telle qu’elle est définie plus haut dans l’encadré. Dans un film fameux d’Ingmar Bergman, «Le Septième Sceau», l’épisode relatant une sorcière en cage convoyée au bûcher est significatif : tous les récalcitrants et négateurs du réchauffement climatique seront promis au bûcher ou au moins ostracisés et mis au ban de la société, ce qui est tout aussi dommageable, interdits de séjour sur les plateaux télé de grand chemin, rencontrant de multitudes de difficultés pour éditer un quelconque ouvrage comme par exemple celui-ci qui me fut remis gracieusement par celui qui le rédigea et me le dédicaça :

     

    En 2015 déjà H16 mentionnait les décisions inévitables que prendraient la FAO et d’autres organisations onusiennes pour obliger les peuples à non plus manger de la viande de bœuf mais des asticots et aussi que les hivers allaient disparaître provoquant un désastre économique car les multiples stations de sport d’hiver alpines mais également en Amérique du Nord, en Australie, en Chine et au Japon ne seraient plus que des lointains souvenirs. La culture de la vigne serait à nouveau possible presque en Écosse et la malaria réapparaîtrait en Sibérie et dans le grand nord canadien. Ce n’est plus de la superstition mais du délire. La superstition à outrance conduit en effet au délire, au mysticisme, car cette déviance intellectuelle fut longtemps considérée comme contraire à la religion établie, d’où ces milliers de sorcières brûlées pour la bonne cause.

     

    On peut aussi choisir une autre comparaison pour qualifier l’imposture du réchauffement du climat. Les alchimistes prétendaient qu’avec une pincée de poudre de perlimpinpin il était possible de changer le plomb en or, avec une pincée de CO2 on peut changer l’équilibre de l’atmosphère terrestre avec des conséquences terribles pour la planète entière et toutes les formes vivantes. Or le CO2 atmosphérique serait exclusivement d’origine humaine et serait le seul gaz à effet de serre avec le méthane. Est-ce bien raisonnable d’affirmer que ce gaz présent en quantités infimes et provenant exclusivement de l’activité humaine, faut-il le répéter, modifierait profondément le climat ? La propagande a déformé l’opinion à dessein et comme je l’expliquais il y a quelques jours à une personne peu amène à comprendre les mécanismes complexes du climat, tout est organisé par les puissances financières transnationales occidentales pour asservir les peuples en les terrorisant au sujet du réchauffement du climat. Et toute cette histoire est devenue une véritable superstition !

     

    La peur générée par les affirmations répétées à l’envi par les médias de grand chemin a transformé les peuples, surtout occidentaux, en moutons qui sont prêts à se faire tondre, c’est le but de cette machination construite par le Club de Rome, reprise par les grands raouts organisés par les Etats que constituent les «COP», puis la mise en place de lois contraignantes pour, par exemple, isoler les logements contre la chaleur ou le froid, nul ne le sait, l’abattage de centaines de milliers de bovins parce qu’ils dégagent du méthane, un centième de pincée de perlimpinpin, les restrictions relatives à l’usage de l’eau, ah bon ? S’il fait de plus en plus chaud il devrait pleuvoir de plus en plus … les critères ESG, «sustainable», la disparition des insectes pollinisateurs et enfin les conflits armés ou encore les tremblements de terre provoqués selon un précédent président de la France par ce réchauffement du climat. Tout a été préparé de longue date et la situation est maintenant bien pire que celle que connurent les peuples de la chrétienté soumis au pape pour le salut de leur âme. Dans quelques mois ce sera la carte de bonne citoyenneté comprenant, outre les données vaccinales que l’OMS met actuellement au point avec la collaboration étroite de la Commission européenne, un «profil carbone» et ce nouveau totalitarisme sera accepté par tous car ce sera pour sauver la planète, les ours blancs et les macareux. C’est pire que la superstition, c’est le nouvel opium du peuple !

     

    Accepté par tous ? Pas vraiment car l’ensemble des pays d’Afrique, d’Amérique du Sud, d’Amérique centrale et tout le bloc d’Asie depuis la Russie et le Moyen-Orient jusqu’à l’Extrême Orient et l’Asie insulaire se moquent des décisions des Occidentaux, plus de 60 % de la population de la Terre et plus de 60% du produit brut mondial. Alors les Occidentaux devront se soumettre au réel et abandonner leurs superstitions climatiques …

     

    source : Jacques Henry

     

     

     

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  • Carlos X. Blanco : Nous vivons l’éclipse de la conscience

    Quelle est l’importance de la philosophie dans le développement de l’intelligence artificielle et comment les philosophes peuvent-ils contribuer à ce domaine ?

    Un service minimum rendu par la philosophie est l’analyse du langage utilisé, la critique et le remaniement des concepts. Cette tâche, en philosophie, est obligatoire, c’est quelque chose que nous devons toujours faire. C’est une tâche indispensable, pas la seule, comme le préconisait la philosophie analytique anglo-saxonne, mais une tâche très importante. C’est ainsi que nous éviterons de tomber dans la rhétorique ou l’empilement de mots, et que nous irons vers la vraie science. L’expression «intelligence artificielle» est un oxymore, une figure de style comme «un fer à repasser en bois». La grammaire espagnole permet de construire des expressions qui sont des contradictiones in terminis, ce qui est parfois très bien à des fins poétiques, par exemple, mais la grammaire philosophique, qui est la logique même ou le système de rationalité de l’être humain, l’interdit.

    Une fois l’oxymore «intelligence artificielle» dénoncé, on peut entrer dans un double champ d’analyse : a) ontologique (qu’est-ce qui est dans le monde, qu’est-ce que l’intelligence, se demander si l’intelligence n’est pas -essentiellement- une manifestation du vivant) ; et b) gnoséologique (que sont les «sciences cognitives», quel est le statut gnoséologique de la discipline dite de «l’intelligence artificielle» et de la psychologie cognitive.

    Je me suis consacré à ces questions il y a 30 ans, en rédigeant ma thèse de doctorat. Déjà à l’époque, j’entrevoyais les répercussions désastreuses d’une discipline inventée, d’un réductionnisme brutal, d’un intérêt capitaliste tardif à élever la technologie au rang d’autel (nouvelle version de « l’esprit de la modernité », c’et à dire du nazisme selon Bauman) et à détruire l’humanité. Bien sûr, dans mon département, composé essentiellement d’ignorants, personne ne m’a écouté.

    Comment définiriez-vous l’intelligence artificielle d’un point de vue philosophique ?

    C’est le projet d’éradication de l’être humain. Ce projet, soutenu par des millions de dollars, a une longue histoire. Aujourd’hui, nous ne le voyons plus que comme un projet technologique qui permettra aux géants de la technologie d’accumuler d’énormes plus-values au détriment d’une structure anthropologique reconnaissable. Et cet aspect est réel et effrayant, mais il doit aussi être compris dans sa «généalogie», et pas seulement dans son présent. Le nominalisme, c’est-à-dire la scolastique décadente du XIVe siècle qui commence à voir le monde comme une simple collection de faits isolables et directement intuitifs par l’esprit : c’est dans Ockham que se trouve la racine de l’individualisme féroce. C’est déjà l’individu-atome des néo-libéraux anglo-saxons en termes d’anthropologie et de politique, et c’est le symbole atomique du cerveau intégré dans un «langage de la pensée», comme le voulait Jerry A. Fodor.

    À ma connaissance, personne n’a voulu voir le lien entre l’individualisme nominaliste et l’atomisme de l’esprit comme des éléments essentiels d’un projet visant à faire de l’homme une machine. Ce n’est pas que l’intelligence artificielle rende les machines «humaines». Au contraire, l’objectif est de faire de l’homme une machine, ce qui est techniquement possible et beaucoup plus lucratif et… métaphysiquement, mortel.

    Selon vous, quelles sont les implications éthiques et morales du développement de l’intelligence artificielle avancée ?

    Il est nécessaire d’étudier, comme je l’ai déjà dit, la généalogie de la modernité, afin de comprendre les développements futurs possibles [exact ! c’est ce qu’a commencé faire Zygmunt Bauman, c’est comme a qu’il a découvert la nature du nazisme]. Le nominalisme et l’individualisme, à la fin du Moyen-Âge. Empirisme et rationalisme, à l’époque moderne. L’homme comme machine à traiter des symboles et à suivre une grammaire mentale universelle, au XXe siècle. Entre les deux, le libéralisme et le contractualisme : nous sommes des pièces dans un cadre, des atomes discrets et remplaçables soumis à une grammaire qui nous domine et nous traverse. Eh bien, il faut extrapoler à partir de là vers l’avenir. Nous devenons de plus en plus des «pièces», avec de moins en moins d’«âme» [c’est comme ça dans le nazisme, et dans les services de « ressources humaines », et chez Orange].

    Gardons à l’esprit que l’histoire de l’humanité est l’histoire de l’esclavage sous les formes les plus diverses [tout à fait exact !! c’est une des principales choses qu’a découvert Marx]. L’homme, en général, a été traité comme une bête et comme une «chose» selon les paradigmes juridiques et politiques les plus bizarres et les plus différents. L’homme est un jus extrait qui sert d’«instrument vocal» et de bête à acheter et à vendre, une propriété sur laquelle le maître a le «droit d’user et d’abuser» [c’est le principe même du capitalisme, et des cadres sup’]. Le jus extractible n’est pas seulement la force de travail de l’esclave, mais aussi sa capacité à donner du plaisir et du divertissement aux autres, etc. Depuis des siècles, la marchandisation et la réification de l’être humain est un fait que le capitalisme n’a fait que renforcer et consacrer. Dans cette ligne, à partir de cette base, la soi-disant intelligence artificielle va plus loin : non seulement l’homme corporel – dans son ensemble et dans ses parties – mais aussi l’homme intérieur doivent être transformés en marchandises. Chaque recoin de son âme (volitive, affective, intellectuelle) doit être colonisé et vendu.

    Que pensez-vous du concept de «conscience» dans l’intelligence artificielle et de la manière dont il pourrait affecter notre compréhension de l’esprit humain et de la conscience ?

    La conscience dans l’intelligence artificielle est traitée de façon magistrale dans le plus grand film philosophique de tous les temps : «2001, l’Odyssée de l’espace». Hal 9000 a une conscience, une conscience «de». Dans le cas présent, il s’agit de la «conscience de la mort». Les astronautes doivent éteindre (de manière irréversible) un dispositif. Mais cet appareil, le super-odénateur qui contrôle le vaisseau spatial, a la «conscience de». Hal 9000 a peur de la mort et tue pour vivre. La conscience même de la mort nous identifie en tant qu’être humain, et HAL 9000 était donc humain. La conscience n’est pas une «substance» qui abrite un animal ou une machine.

    La conscience est une intentionnalité, c’est-à-dire une référence ou une relation qui transcende celui qui en fait l’expérience. C’est une sorte d’ouverture à d’autres réalités (transcendance), surtout si ces réalités sont d’autres consciences. Les programmes et les robots d’aujourd’hui ne sont pas conscients, mais ils usurpent des fonctions anthropologiques qui étaient conscientes. On le voit dans l’éducation. La conscience disparaît dans la numérisation de l’éducation. Nous vivons l’éclipse de la conscience.

    Comment l’intelligence artificielle pourrait-elle changer la façon dont nous comprenons des concepts tels que l’identité, la vie privée et l’autonomie personnelle ?

    Ils ont déjà changé. C’est un fait. Et ce qui risque d’arriver, c’est que les droits et attributs fondamentaux de la personne disparaîtront. La personne finira par devenir une fiction, quelque chose qui existe légalement sur le papier mais qui ne correspond à aucune structure ontologique. Nous assistons à un processus de vidange, d’«usurpation» des facultés humaines. De même qu’à l’époque du fordisme et du taylorisme, pour être ouvrier, il n’était pas nécessaire d’être une «personne», il était plus intéressant, comme le disaient les premiers «managers» du capitalisme, d’embaucher des gorilles dressés… aujourd’hui, le système veut des consommateurs sans identité réelle. Ce capitalisme aliénant a fait disparaître des milliers de métiers, des milliers de compétences et de traditions que les gens portaient en eux depuis des générations. Eh bien, maintenant, l’assaut n’est pas seulement dirigé contre le «savoir», mais aussi contre les attributs fondamentaux de l’être humain. Pour ce faire, ils suppriment le père, la mère, et toute forme d’affection. Les règles sont fixées par le Grand Dispositif fliqué et dans chaque enfant il doit y avoir un terminal (le téléphone portable) avec lequel conduire la créature jusqu’à ce qu’elle devienne un légume et une marchandise.

    Quels défis éthiques pensez-vous que nous devrons relever avec l’adoption généralisée de l’intelligence artificielle dans divers secteurs de la société ?

    La conversion ultime de l’homme en une chose. Nous voyons aujourd’hui l’étape intermédiaire, avec l’animalisme. L’humanité occidentale s’est tellement dégradée, s’est tellement habituée à se voir en termes animaliers, qu’il n’y a aucun problème à attribuer des droits aux animaux. [pas du tout d’accord !!! reconnaître que les animaux sont des personnes, nous éloigne de la tendance à traiter les hommes, et les animaux, comme des choses, c’est au contraire un progrès! Vieille ganache !] L’étape suivante est le scénario que des écrivains comme Asimov avaient déjà envisagé il y a des décennies, lorsque j’étais enfant : les lois de la robotique. Un robot acquerra des droits sur les humains, et même les humains deviendront des assistants, des appendices et des esclaves des robots. Grand paradoxe, car le mot robot signifie esclave [robot veut dire « travailleur », il est inculte ce gars ? ou alors ça implique quoi ?] . Mais tout cela est déjà présent dans le Capital de Marx : l’aliénation devant la machine.

    Quelle est votre opinion sur le rôle de l’intelligence artificielle dans la prise de décision, en particulier dans des situations critiques telles que la justice, la médecine et la sécurité ?

    Aujourd’hui, l’intelligence artificielle prend déjà des décisions essentielles en matière financière, de communication, etc. Si vous avez un compte Twitter, vous vous ferez facilement insulter par des «bots», c’est-à-dire des profils étranges, remplis de messages incohérents (beaucoup de textes en anglais, des mèmes absurdes, etc.), parce qu’ils ne sont pas humains, mais les «bots» qui vous insultent ont été déclenchés par quelqu’un d’humain au début de la chaîne, qui lance sa campagne en toute connaissance de cause. Il en va de même pour les investissements : l’avenir d’un pays entier est décidé par une machine, mais qui est le fils de sa mère qui a décidé que – à son tour – une machine décide ? Soyons francs : ce qui se passe avec le monstre cybernétique qui nous envahit est un raffinement d’un monstre précédent, le monstre bureaucratique. Un subordonné doit commettre un acte cruel, moralement douteux, mais… le règlement l’exige, le supérieur le décide. Et c’est fait. Lorsque nous parlons de «programme» ou d’«algorithme», il y a également une tentative évidente d’éviter la responsabilité, qui est toujours humaine. Mais il y a toujours une responsabilité. On vous dit que «cette (technologie) est irréversible»… mais vous pouvez aussi résister. Il faut qu’il y ait des gens qui se lèvent et assument la responsabilité des décisions prises. Trop c’est trop.

    Quels arguments philosophiques peuvent soutenir ou réfuter la possibilité que les machines développent des émotions ou une certaine compréhension des sentiments humains ?

    Une expérience corporelle intégrale. Si un jour il y a des «réplicants» comme ceux de Blade Runner, l’autre grand film philosophique sur l’I.A., dont les corps et les cerveaux s’accumulent de diverses manières, dont les corps et les cerveaux accumulent de l’expérience (et pas seulement des «données»), comme quelque chose de vivant et d’interagissant, alors nous pourrions faire de telles attributions (la machine «aime», la machine «craint», etc.). Il s’agirait d’une évolution, d’un devenir vers la subjectivité. Ce qui va se passer, c’est qu’il y aura des hybrides, je le crains. Des hybrides, des êtres biologiquement humains avec de nombreuses prothèses qui changent essentiellement notre conception de l’esprit, du sentiment, de l’action, etc. Et il sera alors très difficile de savoir quand cette nouveauté, cette autre réalité para-anthropologique, est apparue.

    Selon vous, quelles sont les principales préoccupations philosophiques liées à la dépendance de l’homme à l’égard de l’intelligence artificielle et comment pouvons-nous relever ces défis ?

    Pour moi, ce qui est inquiétant, c’est la disparition de la figure de l’enseignant et de l’éducation elle-même, telle que certains d’entre nous la conçoivent encore. Les GAFAM, tout le réseau industriel qui alimente le transhumanisme, veulent supprimer la chaîne de transmission et la continuité de la culture, et réaliser ainsi l’équivalent du «gorille dressé» de l’époque de Taylor et Ford. Avec la disparition du maître, et de la famille elle-même, la mutation anthropologique est servie. Le Grand Dispositif sera le seul «éducateur», il sait ce qu’il faut faire. Et, bien sûr, le Nouvel Ordre Mondial aura les applaudissements et la complicité de millions d’imbéciles qui se verront tout enlever, ayant collaboré à leur propre destruction de tout ce qui est beau et précieux dans la vie. Rappelez-vous ce qui a dû se passer dans votre banque : une gentille employée, celle qui s’est toujours occupée de vous avec professionnalisme et sourire, vous apprend patiemment à utiliser la banque en ligne. Aujourd’hui, cette femme est au chômage. C’est la même chose dans l’éducation : des milliers d’enseignants sont enthousiasmés par la «numérisation» de l’enseignement. Ce qu’ils font, c’est s’incliner devant Google, Microsoft [et donc le grand capital qui est derrière] et autres, creuser leur propre tombe et dégrader leur profession.

    Face aux défis : la résistance. Être des traditionalistes au sens le plus noble et le plus granitique du terme.

    Dans quelle mesure pensez-vous que l’intelligence artificielle peut reproduire ou surpasser la créativité et l’intuition humaines ?

    Elle ne va pas la reproduire ou la dépasser. Elle la détruira. Les artistes disparaissent déjà. Vous n’allez pas payer un euro pour une œuvre originale réalisée par un humain. Il y a plein d’applications qui écrivent des poèmes, peignent des tableaux, composent des chansons et des symphonies. Les thèses de doctorat et les articles journalistiques peuvent être générés par des machines, et le problème est que l’être humain lui-même – déprofessionnalisé et déshumanisé – admet être un émetteur (et non un créateur) de cochonneries. Je le vois dans ma profession : il y a des enseignants qui se limitent à projeter des films en classe et à poser des questions d’examen avec Kahoot (qui est une application qui pose et corrige automatiquement les questions d’examen). Pour se consacrer à ces bêtises pseudo-pédagogiques, il vaudrait mieux qu’ils s’en aillent. L’étudiant a le droit de recevoir une Master Class [en anglais?] . Il y a trop d’hommes de main des machines. Les machines nous dépasseront si nous, les humains, nous laissons dégrader.

    Quelle est votre opinion sur la possibilité d’accorder certains droits juridiques ou considérations morales à des entités dotées d’une intelligence artificielle avancée ?

    L’ « Agenda 2030 », et tous les plans d’action, qui suivront, sont criminels, délirants et despotiques. La mystique de l’amélioration constante, mais non transcendante comme le prétend le christianisme, conduit au génocide.

    Nous sommes terrifiés à l’idée qu’un être humain devienne l’esclave d’un robot. Mais le temps nous le dira. Ces choses sont déjà en train de se produire. Et les changements législatifs consacrent souvent des réalités qui, comme un voleur dans la nuit, s’insinuent et se répandent sans que l’on s’en aperçoive.

    Pensez-vous que les nouvelles IA soient idéologiquement, politiquement, culturellement, etc. biaisées ?

    Le capitalisme néolibéral. C’est le grand biais sous-jacent. Lorsque j’ai analysé les origines des «sciences cognitives», y compris l’IA et la psychologie cognitive, dans ma thèse soutenue en 1993 à l’université d’Oviedo, j’ai observé que les fondations et autres «payeurs» – privés ou publics, surtout militaires – étaient très intéressés par la création de ce que j’ai appelé un «humanisme computationnel». De manière suspecte, depuis la fin des années 1950, les Américains ont ramené dans le monde académique une philosophie mentaliste dépassée pour promouvoir – sur le plan pratique – l’exact contraire de toute anthropologie spiritualiste ou personnaliste : non pas fabriquer des machines intelligentes, mais voler l’esprit des hommes. Nous voler ce qu’il y a de plus propre à nous tous, êtres destinés par Dieu à être intelligents et appelés à être maîtres de la Création [bof ! Idéal primitif!]. La «quatrième révolution industrielle» promue par les crapules de Davos est un arrêt de mort pour l’humanité. Une sorte de «solution finale», mais cette fois-ci sur l’ensemble de l’humanité. Ce ne sont plus des nazis, comme ceux du XXe siècle, qui limitaient leur zèle génocidaire à des peuples spécifiques (juifs, slaves, etc…). Ce sont maintenant des ultra-nazis qui vont anéantir, si on les laisse faire [principe de Zygmunt Bauman!], l’ensemble de l’humanité.

    [oui un nazisme 2.0 comme j’ai dit dans mon article en espéranto]

    Je vous remercie de nous avoir accordé cet entretien.

    source : Revista Naves en Llamas, nº 22 (2023)

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