• il y a les infos spécialisés qui font peur

    ( http://miiraslimake.over-blog.com/article-31184887.html
    http://miiraslimake.over-blog.com/article-1227360.html
    )

     

    Il y a aussi la simple expérience quotidienne des voyageurs, et alors dès avant d'arriver bonjour l'ambiance ! 

     

    témoignage de quelqu'un qui en revient, extraits :

     

    "Je rentre des USA où j’ai passé 10 jours pour un séminaire à l’université du Michigan.

    Quelques impressions américaines que je me permets de vous transmettre car il s’agit de mon premier voyage aux USA à l’âge de 40 ans (avec 25 ans de lecture qui me permettent d’avoir un certain recul).

    Je décollais de la République tchèque avec mon unique passeport français, car je suis français de souche mais vivant à Prague.

    À l’aller, interrogatoire serré qui dure 15 mn par un International Security Officer issu de la diversité à Londres... mi-asiat’, mi-je-ne-sais-pas-quoi. La même chose en arrivant au Michigan – mais cette fois-ci l’officier est d’origine mexicaine –, avec un recoupement de mes déclarations faites à Londres sept heures avant… En prime de bienvenue, le cadenas de ma valise qui a disparu en arrivant ! Bizarre… Je vérifie le contenu de ma valise, rien ne manque, et rien n’a été ajouté...

    Au moins une trentaine de questions, jusqu’à : « Avez vous fait votre service militaire ? » « Qu’est ce que vous venez faire au Michigan ? » « Avez-vous des parents tchèques ? » « Vous voyagez beaucoup... »

    ...

     

    Mes profs sont des gens assez sérieux, a priori (tous des docteurs avec des CV de dix pages qui ont tous collaboré avec des multinationales et fait du training à Washington), mais tout est du marketing ici. Le prof ne donne pas un cours, c’est la star d’un show TV devant des élèves-spectateurs avec la petite blague qui va bien, et la tape sur l’épaule en fin de cours.

    Bizarre, mais le public est conquis. Quant à savoir ce que vaut un PHD (doctorat aux USA), j’ai quand même un peu des doutes. J’ai posé une question à un prof d’économie sur la FED et le renouvellement de son contrat avec l’État US, le type m’a simplement répondu : « Je ne sais pas... » Carton rouge, expulsion du terrain.

    Le jour suivant, visite de l’entreprise informatique X dans la banlieue de Lansing. Une ville dans la ville. Un salle de commandement qui est certainement plus grande que celle des Affaires étrangères au Quai d’Orsay ! Au moins 150 opérateurs derrière des desks, un seul black

    Les chauffeurs sont filmés, les camions géolocalisés, tout est enregistré… Le chef du poste de commandement nous glisse dans la discussion qu’ X a des clients prestigieux et travaille aussi pour le gouvernement fédéral (j’ai compris)… et que « l’équilibre travail-vie privée ce n’est pas important quand on est passionné par son travail »...C’était la brainwashing session made in USA "http://www.egaliteetreconciliation.fr/Courrier-des-lecteurs-16957.html#nb1">1.

    À l’étage au dessous, les employés travaillent dans des cubes de 1,5 mètre carré sans fenêtre et allumés au néon. Un des DRH nous parle de la devise de X : « Have a fun… » Un compatriote présent lui fait comprendre qu’il nous ressort un discours formaté, pour ne pas lui dire qu’il nous prend carrément pour des cons. Le type pour se défendre nous répond : « Mais moi aussi je travaille dans un cube »… (Appareils photos et téléphones portables interdits pendant la visite de X avec passeport exigé à l’entrée et signature la veille d’un contrat de confidentialité). Pas de syndicats bien sur… « Tout le monde est content », selon le DRH.

    Le lendemain, visite d’une autre entreprise start-up, Y, avec des jeunes qui se baladent en trottinette dans les couloirs… quand ils ne bouffent pas des pizzas en buvant du Coca, avachis sur leurs bureaux. Entretien avec un executive de la boite. Le Monsieur nous dit : « On prend soin de la santé de nos employés ici. On fait un contrôle complet tous les 6 mois (tension, poids etc.) et on incite les gens à faire du sport. Si l’employé ne respecte pas les consignes médicales il est sanctionné… » Bienvenu aux USA, la plus grande démocratie du monde. Au fait première parole de notre correspondante en arrivant « “Michigan is a non smoking state. "http://www.egaliteetreconciliation.fr/Courrier-des-lecteurs-16957.html#nb2">2” Si vous ne respectez pas la Loi, c’est une amende de 500 $ pour quiconque fumera dans les chambres ou dans un lieu privé ouvert au public. » Avis aux fumeurs dont je ne fais pas partie…

    Autre chose : ici les femmes sont à l’honneur partout… L’influence du féminisme est complètement folle


    ...

    Dans la rue, les boutiques et dans les aéroports, on voit clairement que les Noirs font tous les sales boulots, quand ils ne sont pas drogués divaguant dans la rue comme je l’ai vu le soir dans les rues de Lansing.

    Des drapeaux et des statues de partout, des gens habillés n’importe comment (j’ai vu la combinaison ballerines et chaussettes de laine), avec, je trouve, une race qui n’est pas belle (je n’ai pas croisé une femme mignonne en dix jours !).

    ...

    Au retour à Prague, je découvre mon cadenas pulvérisé en prenant mon bagage (merci la démocratie américaine again).

    Bref, je trouve après ce voyage très instructif, et encore plus débiles, les Français qui bavent sur modèle américain (comme Sarkozy), qui ressemble en fait à un Big Brother d’État « accepté » par tous.

    Ils veulent nous imposer ce même modèle en France. Non, je ne veux pas de ce modèle en Gaule. Seul coté positif, les gens sont décomplexés, entreprenants, innovants toujours prêts à vous aider. Prenons uniquement ces quatre choses de ce pays car il n’y a rien d’autre à imiter.

    En conclusion, les USA c’est du marketing institutionnalisé avec pour cible le citoyen-consommateur, un pays d’hypocrites inspiré par le protestantisme, où tout est condamné mais tout autorisé dans la discrétion… That’s all.

    Cordialement,

    Charles Martel" (c'est visiblement un pseudonyme, le type a peur, de son patron ? de la police tchèque ? du projet INDECT ?)

     

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  • qui ils sont ?



    • Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, 6 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d’amende, délit de favoritisme dans l’attribution d’un marché public.

    • Harlem Désir, député européen, n°2 du PS, 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d’amende, recel d’abus de biens sociaux.

    • Jean-Paul Huchon, président du Conseil régional d’Île-de-France, prise illégale d’intérêts dans des marchés publics, 6 mois de prison avec sursis, 60 000 euros d’amende et un an d’inéligibilité.

    • Jérôme Cahuzac, ex-ministre et ex-député-maire, blanchiment de fraude fiscale, emploi dissimulé d’un étranger sans titre.

    • Lyne Cohen-Solal, adjointe au maire de Paris, recel d’abus de confiance.

    • Pierre Mauroy, recel d’abus de confiance dans l’affaire de l’emploi fictif de Lyne Cohen-Solal.

    • Jean-Noël Guérini, sénateur socialiste, association de malfaiteurs en vue de la commission des délits de trafic d’influence, corruption passive et détournement de fonds publics, ainsi que trafic d’influence et favoritisme, détournement de fonds publics, association de malfaiteurs.

    • Gérard Dalongeville, ex-maire, 4 ans de prison ferme dont 1 avec sursis, 50 000 euros d’amende, 5 ans d’inéligibilité, pour détournement de fonds public, corruption passive, favoritisme dans l’attribution de marchés publics.

    • Sylvie Andrieux, députée, 3 ans de prison dont 2 avec sursis, 100 000 euros d’amende et 5 ans d’inéligibilité pour complicité de tentative d’escroquerie et détournement de fonds publics.

    • Florence Lamblin, maire-adjointe (EELV), blanchiment en bande organisée et association de malfaiteurs.

    • Jean-Pierre Kucheida, ex-député socialiste, 30 000 euros d’amende pour abus de biens sociaux.

    • Jean-David Ciot, maire et député, détournement de fonds publics.

    • Augustin Bonrepaux, socialiste, président du conseil général de l’Ariège, attribution illégale de marché public.

    • Christian Bourquin, sénateur, favoritisme dans l’attribution de marché public, minoration de compte de campagne.

    • Jean-François Noyes, conseiller général, association de malfaiteurs en vue de trafic d’influence et recel de trafic d’influence.

    • Serge Andreoni, sénateur, complicité de trafic d’influence dans une affaire de marché public présumé frauduleux.

    • Bernard Granié, adjoint au maire et président du syndicat d’agglomération nouvelle Ouest-Provence, corruption dans le cadre d’un marché public.

    • Patrick Sève, maire et ex-député, octroi d’avantages injustifiés et soustraction de fonds publics.

    • René Teulade, sénateur et maire, abus de confiance.

    • Monique Delessard, maire, 15 mois de prison avec sursis et 3 ans de privation de droits civiques, faux en écriture publique.

    • Philippe Plisson, député et maire, faux en écriture publique et usage de faux, 6 mois de prison avec sursis.

    • Henri Emmanuelli, 18 mois de prison avec sursis et 2 ans de privation de ses droits civiques, complicité de trafic d’influences.

    • Etc.

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-maire-de-Paris-Bertrand-Delanoe-porte-plainte-contre-Alain-Soral-et-Egalite-Reconciliation-20045.html

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  • regardez aussi les autres parties de cette conférence, sur la page Dailymotion de cette vidéo il y a les liens à toutes les autres parties. Je vous conseille par exemple la 1 la 4 la 6

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  • LA RENCONTRE de CHAVEZ AVEC BACHAR El-ASSAD, UN GRAND MOMENT D'HISTOIRE, ET UN GRAND MOMENT D'HUMANITE

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  • RAPPELS SUR LE JOURNAL "LE MONDE"

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    A- Un journal possédé par 3 « milliardaires de gauche »

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    Le journal Le Monde est la propriété du groupe Le Monde, détenu depuis 2010 par trois hommes d'affaires richissimes : Xavier Niel, Pierre Bergé et Matthieu Pigasse.





    De droite à gauche : Xavier Niel, Pierre Bergé et Matthieu Pigasse, les trois copropriétaires du Monde.





    * 1°)- Xavier Niel

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    Xavier Niel, vice-président d'Illiad, maison-mère de "Free", est également copropriétaire du Monde.

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    Xavier Niel n'est pas seulement co-propriétaire du Monde mais aussi vice-président et directeur de la stratégie d'Iliad, groupe de télécommunications français, maison mère du fournisseur d'accès à Internet et opérateur de téléphonie mobile Free, entités dont il est le fondateur.



    En 2013, il possède la 10e fortune de France (et occupe la 179e place dans le classement des plus grandes fortunes du monde selon le magazine américain Forbes) avec un montant estimé de 5,90 milliards d'euros.



    Sa vie a par ailleurs été entachée de démêlés judiciaires sordides. Il a été mis en examen et placé en détention provisoire à la prison de la Santé (Paris) le 28 mai 2004 pendant un mois pour proxénétisme aggravé et recel d'abus de biens sociaux concernant un de ses "peep-shows". Il a été condamné le 27 octobre 2006 à deux ans d'emprisonnement avec sursis et à 250 000 euros d'amende par la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour recel d'abus de biens sociaux datant de 2001 à 2004 dans un peep-show dont il était actionnaire.



    Suite à cette affaire, Xavier Niel a attaqué plusieurs fois en diffamation le journal Libération et le journaliste Renaud Lecadre, auteur d’articles dans le quotidien et sur le site liberation.fr évoquant ses démêlés judiciaires. Mais Xavier Niel et la société Free sont déboutés systématiquement lors de procès qui se sont tenus au deuxième trimestre 2008, et condamnés à verser des dommages-intérêts à Libération pour procédures abusives.



    [ SOURCE : http://fr.wikipedia.org/wiki/Xavier_Niel ]



    En bref, Xavier Niel est un homme qui n'aime pas beaucoup que des journalistes fassent leur travail d'investigation et de recherche de la vérité.





    2°)- Pierre Bergé

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    Quoi que très proche du PS, Pierre Bergé ne dédaigne pas les ors de l'Elysée, quel qu'en soit le locataire : ici avec Carla Bruni-Sarkozy

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    Pierre Bergé, ancien compagnon d'Yves Saint Laurent, qu'il aida à fonder la maison de couture du même nom, est un soutien de longue date, en termes médiatiques et financiers, du Parti socialiste. Ami intime de François Mitterrand, aujourd'hui Président des Amis de l'institut François Mitterrand, il est également militant de la cause homosexuelle et de la lutte contre le sida, co-fondateur de l'association Sidaction dont il est aujourd'hui président.



    En 2011, Pierre Bergé est également un homme richissime, qui possède une fortune estimée à 120 millions d'euros.



    Plusieurs incidents ont régulièrement émaillé les relations entre Pierre Bergé et les rédactions des médias qu'il possède :



    - début mars 2011, Pierre Bergé a adressé à Erik Izraelewicz, directeur du Monde, un courrier électronique pour dénoncer un article consacré à François Mitterrand, comme étant « immonde, à charge, digne d’un brûlot d’extrême droite », une « honte qui n’aurait jamais dû être publiée ».



    - le 11 avril 2013, Pierre Bergé a émis un tweet de protestation contre la page publicitaire de « La Manif pour tous » que la rédaction du journal Le Monde avait accepté de publier : « profondément scandalisé que le journal Le Monde ait publié une publicité pour lamanifpourtous contraire aux valeurs de ce journal », écrit-il, avant de conclure par : « ceux qui ont accepté [cette publicité] ne sont pas dignes de travailler dans ce journal. À suivre. » Cette menace n'a semble-t-il pas été suivie d'effet.



    - le 2 juillet 2013, devant le Conseil de surveillance qu'il préside, Pierre Bergé a pris à partie le Directeur de la rédaction du magazine catholique La Vie, au sujet d'un éditorial que celui-ci avait rédigé contre le mariage pour tous : « Je ne suis pas obligé de supporter [l'éthique] de La Vie que je combats tous les jours. Oui, je serais heureux que ce journal ne fasse plus partie du Groupe. »



    Au sein du groupe de presse, cette nouvelle sortie a provoqué de vives réactions. Le « Pôle d'indépendance », qui regroupe les autres actionnaires, les sociétés des rédacteurs et les sociétés du personnel, ont « rappelé », dans un communiqué de presse diffusé le lendemain, « que la définition de la ligne éditoriale des titres et sites du groupe est du ressort exclusif des directeurs des rédactions et de leurs équipes rédactionnelles.



    [ SOURCE : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Berg%C3%A9 ]



    En bref, Pierre Bergé est un homme qui n'apprécie pas du tout que des médias et des journalistes pensent différemment de lui.





    * 3°) Matthieu Pigasse

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    Matthieu Pigasse, ici en photo à gauche, à côté de Jean-Pierre Jouyet à droite. Ce dernier, proche de François Hollande et de Ségolène Royal, fut néanmoins Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes de Nicolas Sarkozy, de mai 2007 à décembre 2008.

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    Diplômé de Sciences Po, ancien élève de l'ENA et administrateur civil au ministère de l'Économie et des Finances, à la Direction du Trésor, Matthieu Pigasse a été conseiller technique au cabinet du ministre Dominique Strauss-Kahn puis, un an plus tard, directeur adjoint du cabinet du ministre Laurent Fabius, chargé des questions industrielles et financières.



    Depuis son passage dans ces cabinets ministériels de Dominique Strauss-Kahn et de Laurent Fabius, il est resté proche du Parti socialiste et particulièrement de Dominique Strauss-Kahn.



    Il est d'ailleurs membre du conseil d'administration de la Fondation Jean-Jaurès, "think tank" du parti socialiste, ainsi que de la fondation ultra-européiste EuropaNova.



    Sur les conseils d'Alain Minc, il a été recruté par la banque Lazard en 2002 comme associé-gérant de la banque en 2002. Il y a pris la tête de l'activité « conseil aux gouvernements » en 2003, puis est devenu successivement directeur du marketing, vice-président de Lazard Europe et enfin co-directeur général délégué de Lazard France en septembre 2009.



    En 2007, il a conseillé Ségolène Royal et n'a pas caché ses ambitions concernant un ministère en cas de victoire de la candidate socialiste à l'élection présidentielle.



    En 2009, il a collaboré avec Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius, Ségolène Royal, Bertrand Delanoë et aussi Manuel Valls.



    [ SOURCE : http://fr.wikipedia.org/wiki/Matthieu_Pigasse ]



    Ce « banquier de gauche » copropriétaire du Monde, par ailleurs propriétaire du magazine « Les Inrockuptibles » et actionnaire du «Huffington Post» français, gagne un salaire d'environ 5 millions d'euros par an (soit à peu près 20 000 euros par jour ouvrable).

    [ SOURCE : http://www.capital.fr/enquetes/hommes-et-affaires/mathieu-pigasse-patron-de-lazard-france-merci-la-crise-787609 ]

    https://www.facebook.com/notes/françois-asselineau-union-populaire-républicaine/hervé-kempf-claque-la-porte-du-journal-le-monde-en-dénonçant-la-censure-qui-y-rè/10151571197322038

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  • Une vidéo qu'il faut voir et revoir, qui donne à penser, beaucoup, sur beaucoup de sujets. Entre autres sur la façons dont on traite le peuple - le peuple ! - de nos jours, COMMENT LE POUVOIR ACTUEL, PAR SA FLICAILLE, TRAITE LE PEUPLE, et ses révoltes, réflexions, valeurs, y compris les plus profondes, etc. Ah oui ! aussi, regardez ! à en croire nos "mass-médias" (propriéés de nos maîtres) les veilleurs étaient ... 200 ! - c'est beau la désinformation ! Et les flics ils sont combien ? le ratio manifestants/flics il est de combien ? Et aussi, une chose bizarre : pourquoi agitent-il leurs mains pour ne pas applaudir ??? Est-ce que c'est parce que si jamais ils faisaient du bruit les flics se jetteraient sur eux à coup de matraques dans le cadre de la "lutte contre le bruit" ??

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  • "la famille dans le besoin elle ne va pas acheter "bio" elle va aller dnas les supermarchés (où on traite les clients comme des terroristes, des bestiaux, des pères divorcés c. à d. "aboule le fric et casse-toi !") c'est le cercle vicieux ! C'est voulu ! on a réduit le peuple à un état de pauvreté tel qu'il doirt acheter les produits-mêmes qui ont créé sa misère ! CQFD C'est beau le capitalisme vautour pathologique !! à supprimer d'urgence ! Quand est-ce que les français vont enfin redécouvrir le sens de la lutte des classes ? Merde !

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  • 19juin1981.jpg

    c’était le 19 juin 1981 (seigneur !!!! trente ans !!! ….. comment cela peut-il être ??? )
    quand je travaillais depuis peu à xxxxx, quand je vivais encore en chambre meublée, rue Adam de la Halle, quand existait encore (mais il allait disparaître il est fermé) le café Bellevue, devant lequel je passais deux fois par jour et où on m’a amené quand je me suis cassé le col du fémur sur le verglas le soir du 5 janvier 1979, quand il y avait encore la bâtiment de l’office du tourisme au milieu du carrefour, et quand il y avait toujours des places libres dans le parking du boulevard de Strasbourg (regardez !)

    J’étais jeune et vivant. (et mon père aussi)

     

     * et aussi c'était quand le midi j'avais le temps d'aller tranquillement passer le reste de deux heures de liberté que les horaires fixes nous laissait le midi dans le Jardin du Gouverneur où sous les peupliers trembles (qui comme leur nom l'indique tremblaient dans le vent) je pensais à des poèmes chinois comme celui-ci :
    Les pins et les cyprès cachent la gorge de la montagne, mais à l'ouest j'ai découvert un étroit sentier. Le ciel s'ouvre, un pic se montre et, comme s'il était né dans le vide, un couvent surgit à mes yeux. L'édifice semble assis sur une terrasse de nuées; ses pavillons s'élancent sur des rochers escarpés. La nuit vient ; les singes et les oiseaux se taisent. Le son des cloches et le chant des bonzes pénètrent au-delà des nuages froids. Je contemple les pics bleus et la lune qui se mire dans les eaux du lac; j'écoute le bruit des sources et le vent qui tourmente les feuilles sur le bord du torrent. Mon âme s'est élancée au-delà des choses visibles, errante et captive à la fois.

     

     

     
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  • Chaque foi qu'on leur parle miracle, ou qu'on évoque des questions du genre « s'il y avait eu une caméra dans le tombeau la nuit de la résurrection y aurait-il eu quelque chose sur la pellicule ? » les curés nous ramènent toujours le même refrain : La Foi – Elle n'aurait pas de valeur s'il y avait des preuves - « Ce n'est pas le problème, c'est le sens spirituel qui compte seul », etc. Primo, même s'il y avait des preuves la foi garderait sa valeur. Ce n'est pas la peine d'éluder les vraies questions pour ses beaux yeux. En effet, et c'est vrai la foi est dans le mouvement gratuit de l'être qui adhère, elle n'a rien à voir avec un simple savoir, elle engage l'être dans un choix incontrôlable où il engage la sa personne. Mais tout cela serait encore nécessaire qu'il y ait des preuves ou non. Même la simple croyance en la réalité des choses et la conscience vive de ce qu'elles représentent ne sont pas encore données. N'en avons-nous pas tous les jours des exemples sous les yeux ? Il y a des preuves scientifiques contre le racisme; et pourtant 60% des français le sont, y compris pas mal de gens instruits et des biologistes. En fait ceux qui font des recherchent dans ce sens sont des gens déjà intimement partisans de l'anti-racisme ! Et qui cherchent des justifications. D'où on voit bien que les deux problématiques sont indépendantes. Et les exemples semblables abondent. N'a t-on pas même constamment sous les yeux (et sous la peau) l'exemple de choses que tout le monde ou presque, de nos jours savent, alors que sauf quelques personnes à de rares moments, tout le monde vit comme s'il ne savait pas, sans s'en rendre compte : la mort et la vanité de toutes choses, parce qu'une foi et un amour sans raison et sans but de tout cela nous est chevillé au corps. Il suffirait même peut-être de citer l'Evangile quand dans l'histoire du mauvais riche Abraham dit « du moment qu'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, même si quelqu'un ressuscitait d'entre les morts, ils ne seraient pas convaincus. » De plus croire et vivre le commandement de Dieu sont deux choses, comme des siècles de chrétienté hégémonique l'a bien montré !)
    Inversement, Saint Paul a bien mis les points sur les i quand il a écrit « Si Jésus n'est pas ressuscité des morts, alors notre foi est vaine. » Et si Saint Thomas n'a cru que quand il a pu mettre ses doigts dan les traces des clous, ça ne l'a pas empêché d'être par la suite l'un des apôtres les plus zélés. Il n'est pas nécessaire pour « sauver » la foi de refuser le surnaturel, ni d'éluder les vrais problèmes.
    Non, en fait il ne faut pas le cacher, ces réponses de la part des « curés », ne sont que des dérobades, comme celles systématiquement pratiquées par les hommes politiques quand on leur pose des questions embarrassantes : l'art de détourner la conversation, d'éluder les questions, de noyer le poisson, d'esquiver les problèmes gênants ou franchement destructeurs.
    Et pourtant c'est bien joli la foi, mais si elle est vaine et totalement dérisoire ?
    Ne peut-on se permettre, car en tous cas ce n'est pas évident (à moins bien sûr de réduire le christianisme à un moralisme « horizontal » fait de fraternité, d'un foi en l'homme et d'un à aimer tout à fait compatible avec l'athéisme et le désespoir, habillé d'un vocabulaire issu d'anciens mythes et d'une organisation qui, comme le Parti Socialiste tien à survivre à la mort du contenu passé de son discours, et dont on a subrepticement changé la signification de chaque mot) ne peut-on se permettre de craindre, d'espérer, de chercher à savoir, de ne pouvoir sortir de l'angoisse sans faits tangibles. La vie et la mort, l'existence ou le néant, sont quand-même, vous ne croyez pas ?! Des enjeux assez importants pour qu'on ne se contente pas de vagues paroles et d'une nuée de sophismes.
    Ah oui, bien sûr, là on nous sort une autre tarte à la crème : craindre la mort serait égoïste, il ne faudrait penser qu'à la vie, il faut accepter sa « finitude » (et le christianisme dans tout ça ? Il est où ? L'influence de la psy moderne et du freudisme oui !), voire, encore plus « rideau de fumée » : Dieu est un dieu de vie et non de mort (quid ?)

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  • Contrairement à ce que dit Comte-Sponville, l'humour obligatoire, en société n'a pas un effet positif, c'est une grande chape de plomb, un rouleau compresseur, des ciseaux de la censure, ça un effet « castrateur » et déshumanisant qui contribue à transformer les personnes en marionnettes parlant une langue de bois, et ça évacue et interdit toute conscience d'une valeur, ça les empêche de jamais parler en vérité, etc ( et comme dit Verlaine « le rire est ridicule autant que décevant »)

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  • L’ÉQUATEUR AVEC RAFAEL CORREA



    L’ÉQUATEUR, pays de l’Amérique du Sud, comptant environ 15 millions d’habitants, aura été, jusqu’à l’arrivée de RAFAEL CORREA, l’arrière cour des États-Unis. Ces derniers contrôlaient les pouvoirs de l’État à travers la corruption de ses principaux dirigeants. En 1999, ils y établissaient une des plus importantes bases militaires de l’Amérique du Sud, avec plein pouvoir et immunité pour ses ressortissants.
    Lorsque le jeune économiste, Rafael Correa, se présente à l’élection présidentielle de 2006, il a déjà à son programme la fermeture de cette base militaire. Aux cris d’abois des autorités étasuniennes, il répond en leur demandant d’offrir à l’Équateur la réciprocité en lui permettant d’ouvrir une base militaire équatorienne en Floride. La réciprocité ne faisant pas partie des alternatives, le jeune président Correa, vainqueur à l’élection de novembre 2006, ne modifiera pas son approche ni sur la base militaire, ni sur son engagement de soumettre au peuple une nouvelle constitution, indispensable pour les suites à donner à l’ensemble de ses engagements.
    CORREA PASSE À L’ATTAQUE
    Dès 2007, un projet de nouvelle constitution est élaboré. Il sera soumis au peuple qui le sanctionnera, par référendum en septembre 2008. Sur 80 % des suffrages exprimés, le oui pour la nouvelle constitution obtient 64 %.
    Comme prévu, le président Correa annonce la tenue d’élections présidentielles et législatives, conformément à cette nouvelle constitution, pour avril 2009. Élu au premier tour, il passe au second niveau de son plan de transformation de l’Équateur en un pays indépendant avec une économie et les richesses orientées prioritairement au service du bien commun de la collectivité. Lors de cette dernière élection, il s’était positionné en faveur du « socialisme du XXIe s. », développé par Hugo Chavez du Venezuela et Évo Morales de la Bolivie.
    Fermeture de la base militaire étasunienne
    Dans la nouvelle constitution, il y a un article qui interdit toute base militaire étrangère sur le territoire national. Dès 2009, année prévue pour le renouvellement de l’entente sur cette présence militaire, le président Correa informe les principaux intéressés qu’il ne renouvèlera pas cette dernière. Ces derniers doivent donc plier bagage et retourner sur d’autres terres.




    Correa s’en prend au FMI et à la dette
    En 2008, le jeune président de l’Équateur se démarque en prenant la décision de ne plus payer la part illégitime de la dette publique et de suspendre le remboursement des titres de la dette. Cette part illégitime de la dette a été fixée à 70 % de la dette totale. Correa a pu faire la démonstration que cette part de la dette n’était pas celle du peuple et que ce dernier n’avait pas à la payer. Sadek Hadjeres nous décrit dans un article fort intéressant la trame de ce combat.
    Correa contre Chevron et Texaco
    Il s’agit de l’histoire d’un long combat des communautés indigènes locales contre les multinationales Texaco et Chevron. Correa, en 2009, annonce la possibilité, à certaines conditions, de cesser la production de pétrole dans le pays pour le bien de l’humanité. Il a également, depuis longtemps, apporté son soutien aux communautés indigènes contre ces deux multinationales.
    « C’est en mai 2003, 10 ans après la première plainte déposée contre Texaco, que l’entreprise Chevron [3] a dû se soumettre à la justice équatorienne, à Lago Agrío, et en répondre à plus de 80 communautés touchées par cette catastrophe qui n’a rien de naturel, dont 30.000 victimes. Depuis lors, les parties civiles demandent la réparation de la zone affectée qui s’élèverait selon des experts internationaux à plus de 6 milliards de dollars. Le géant pétrolier réplique qu’il a déjà procédé entre 1996 et 1998 à la réhabilitation de cette zone, ce qui a été démenti par des prélèvements effectués par la suite. »
    Un jugement sera rendu le 14 février 2011, condamnant Chevron à payer 9 milliards $ en compensation pour les dommages causés. Ce jugement, porté en appel, a été maintenu avec, en plus, l’obligation, pour Chevron, de présenter ses excuses, faute de quoi, la pénalité serait doublée.
    Depuis, Chevron dépense des millions de dollars pour discréditer l’Équateur et son président. Ici, un article récent à lire au complet pour comprendre l’ensemble de cette « saga ».
    Ces actions de Correa ne sont pas étrangères à la tentative de coup d’État, dont il fut victime en 2010.
    Correa et les médias
    D’abord le mensonge médiatique sur Correa. Ce n’est un secret pour personne le fait que les principaux médias du pays sont entre les mains d’oligarchies puissantes. Leur politique éditoriale est évidemment contre Correa, ses politiques et son gouvernement. Tous les moyens sont bons pour le discréditer.
    « La saga découle d’un article publié par El Universo, le 5 février 2011, écrit par Emilio Palacio et intitulé « Non aux mensonges ». Le journal a ensuite été poursuivi pour diffamation par Correa.
    L’article présentait le compte-rendu de Palacio sur les événements dramatiques du 30 septembre 2010, lorsque Correa a été pris en otage par des policiers rebelles à l’intérieur d’un hôpital militaire pendant neuf heures. L’Union des Nations d’Amérique du Sud (UNASUR), qui regroupe 12 pays d’Amérique du Sud, a qualifié ces événements de tentative de coup d’Etat.
    Dans le récit de Palacio publié dans El Universo, celui-ci désigne Correa comme le responsable de l’effusion de sang, qui a fait huit morts et plus de 200 blessés dans tout le pays. Il a accusé Correa d’avoir donné l’ordre d’ouvrir le feu sur l’hôpital où il était détenu en captivité, le qualifiant de crime de « lèse humanité » : le terme est une insulte à connotation raciste dans les Andes qui signifie grossier, stupide et inférieur. »
    Or, le président Correa, profondément offensé par un mensonge aussi grossier et monté de toutes pièces, intente une poursuite contre le journaliste et le média.
    « Sans surprise, Palacio et El Universo ont été reconnus coupables de diffamation. Mais la diffamation en Équateur est encore une infraction pénale, alors Palacio et deux directeurs du journal ont été condamnés à trois ans de prison (par un tribunal et non par Correa).
    « En fait, Correa les a graciés - aucun journaliste n’a été emprisonné sous son gouvernement au pouvoir depuis sept ans. Toutefois, la loi (qui est antérieure à Correa) a un besoin urgent d’être réformée. »
    Puis un referendum sur les médias de communication. Le 7 mai 2011, un référendum populaire confirme la nouvelle loi qui encadrera dorénavant les objectifs de l’information et ceux de la protection du droit à la vérité des citoyens et des citoyennes. Le « oui » l’emporta avec plus de 61 % des votes.
    Correa reporté au pouvoir pour un second mandat
    Le 17 février 2013, c’est jour d’élection présidentielle en Équateur. Rafael Correa se présente pour la troisième fois. En dépit des dizaines de millions de dollars investis et des complots mis en place pour éliminer le candidat Correa, ce dernier remporta l’élection haut la main, au premier tour, avec 56,7 %. Un sondage, réalisé en février dernier, lui accorde un appui de plus de 72 % de la population qui est en accord avec sa gestion et ses politiques.
    Correa avec le pape François

    Je ne sais si son prénom angélique, Rafael, y est pour quelque chose, mais la chimie a vraisemblablement passé entre les deux hommes. Il faut dire que ce jeune président a été élevé et a grandi dans la foi chrétienne et s’est engagé à fond dans les divers mouvements sociaux d’inspiration chrétienne. Ce qui a fait dire à certains qu’avec Correa c’est la théologie de libération qui arrive au pouvoir. Sur ce plan, une histoire semblable à celle de Chavez, profondément croyant, qui portait également le prénom d’un ange, celui de «Hugo Gabriel ».
    Le pape François au président Correa : « je vous vois comme une laitue fraîche »
    Conclusion
    Je termine ainsi cette série d’articles sur certains pays émergents de l’Amérique latine (Brésil, Argentine, Venezuela, Bolivie et Équateur) sous le thème de "L'Amérique latine à la croisée des chemins". Je souhaite qu’ils aient donné le goût de poursuivre dans l’analyse et la connaissance de ce qui se passe dans « l’arrière-cour » des États-Unis. Des peuples se lèvent et nous ouvrent la voie vers un monde nouveau, un monde où les mots justice, vérité, respect, solidarité, compassion prennent également un sens nouveau, le sens qu’ils auraient toujours dû avoir.
    Rafael Correa, Hugo Gabriel Chavez et Evo Morales sont des fers de lance qui ouvrent la voie à une nouvelle manière de faire de la politique, de servir les intérêts des peuples. La démocratie participative et le socialisme du XXIe s. en sont les principales références.
    Merci de m’avoir lu jusqu’à la fin.
    Oscar Fortin
    http://humanisme.blogspot.com
    Pour en savoir plus sur ce jeune président :
    Qui il est : http://www.republique-des-lettres.fr/10752-rafael-correa.php
    Suite à son élection de 2006 : http://www.latinreporters.com/equateurpol29112006.html
    Ses influences humanistes et chrétiennes
    http://risal.collectifs.net/spip.php?article2079
    http://socio13.wordpress.com/2008/03/09/rafael-correa-la-theologie-de-la-liberation-est-arrivee-au-pouvoir-en-equateur/

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  • en fait ce sont au mieux des "idiots utiles" manipulés par les "Services" de l'OTAN, si ce ne sont pas carrèment des agents infiltrés de ces "Services" (comme le fut par exemple Gonzales-Mata, qui après avoir participé à ce titre aux évènements de mai 68 a, lui, viré de bord, et "laché le morceau" dans ses mémoires)

    en fait ce sont au mieux des "idiots utiles" manipulés par les "Services" de l'OTAN, si ce ne sont pas carrèment des agents infiltrés de ces "Services" (comme le fut par exemple Gonzales-Mata, qui après avoir participé à ce titre aux évènements de mai 68 a, lui, viré de bord, et "laché le morceau" dans ses mémoires)

    Georges Gastaud, marxiste, président du Pole de Renaissanc Communiste en France, réplique aux "petits merdeux" que sont les prétendus "antifas"

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  • Depuis 1789 les classes dominantes - même si ce n'est plus les aristocrates mais les financiers, mais ils ont la même mentalité (et ont fini par fusionner) - n'ont jamais "avalé" de devoir payer des impots ! 

    Qu'une partie de leur bel argent qu'ils ont pompé au peuple parte et travaille pour eux (car c'est à ça que ça revient, à être dépensé au service, direct ou indirect, de cette "vile plèbe" !), fi ! Alors ils n'ont eu de cesse que, et de les dénier, et d'utiliser les petits porteurs d'actions et les petits rentiers en ça comme masse de maneuvre !
    Et surtout ils ont maintenant trouvé le truc de faire que ces impôts retournent dans leur entier dans leurs poches à eux ! (génial !) entiérement (et même plus maintenant) utilisés à "rembourser la "dette" de l'Etat auprès des banques (grace à des dictats dignes des "padrones" du Méxique tels que la fameuse loi Pompidou de 1973).
    http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/cette-dette-n-est-pas-la-notre-86376


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