• Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    Le cridespeuples.fr  Traducteur & blogueur indépendant. Site principal bloqué par les autorités

    Comment les services de renseignement américains ont-ils repéré le Covid-19 à Wuhan plusieurs semaines avant la Chine ?

     

    Par Will Jones

    Source : The Daily Sceptic, 21 décembre 2022

    Traduction : lecridespeuples.fr

    Voici une question qui me turlupine. Comment les analystes des services de renseignement américains ont-ils repéré ce qu’ils considéraient comme un nouveau virus dangereux en Chine, alors que rien ne prouve que la Chine l’ait repéré ou s’en soit inquiété ? Comment ont-ils repéré le signal dans tout le tohu-bohu d’une saison de grippe chinoise normale ?

    Les responsables du renseignement américain ont admis dans divers médias avoir suivi l’épidémie de coronavirus en Chine depuis la mi-novembre 2019, et même informé l’OTAN et Israël à ce moment-là. Pourtant, à aucun moment des détails n’ont été fournis sur ce qui les a poussés à prendre cette mesure inhabituelle.

    Ces inquiétudes « ont été détaillées dans un rapport de novembre du National Center for Medical Intelligence (NCMI) de l’armée », citant deux responsables connaissant bien le rapport. Ce rapport était « le résultat de l’analyse d’interceptions téléphoniques et informatiques, couplées à des images satellites ». L’une des sources a déclaré : « Les analystes ont conclu qu’il pourrait s’agir d’un événement cataclysmique » et qu’ « il a ensuite été communiqué à plusieurs reprises » à la Defense Intelligence Agency, à l’état-major interarmées du Pentagone et à la Maison Blanche.

    Voir Attaque biologique ? Washington était informé d’une épidémie à Wuhan bien avant les autorités chinoises

    Le reportage d’ABC ajoute que « les dirigeants chinois savaient que l’épidémie était hors de contrôle » et que le président américain a été informé en janvier :

    À partir de cet avertissement en novembre, les sources décrivent des briefings répétés jusqu’en décembre à l’intention des responsables politiques et des décideurs de l’ensemble du gouvernement fédéral ainsi que du Conseil national de sécurité à la Maison-Blanche. Tout cela a culminé avec une explication détaillée du problème qui est apparue dans le Briefing quotidien du Président (APB) sur les questions de renseignement au début du mois de janvier, affirment les sources. Pour qu’un élément apparaisse dans l’APB, il faut qu’il passe par des semaines de vérification et d’analyse, selon des personnes qui ont travaillé sur les briefings présidentiels dans les administrations républicaines et démocrates. […]
    « La chronologie du côté des services de renseignement peut remonter à plus loin que ce dont nous discutons », a déclaré la source au sujet des rapports préliminaires de Wuhan. « Mais il est certain que les militaires ont été informés dès la fin du mois de novembre de la nécessité de prendre position sur cette question. »
    Le rapport du NCMI a été largement diffusé auprès des personnes autorisées à accéder aux alertes de la communauté du renseignement. Après la publication du rapport, d’autres bulletins de la communauté du renseignement ont commencé à circuler par des canaux confidentiels au sein du gouvernement aux alentours de Thanksgiving, ont indiqué les sources. Selon ces analyses, les dirigeants chinois savaient que l’épidémie était hors de contrôle alors même qu’ils cachaient des informations aussi cruciales aux gouvernements étrangers et aux agences de santé publique.

    Cependant, les rapports des médias sont incohérents. Le même jour (9 avril), NBC News a publié le rapport suivant, affirmant que « rien n’indiquait qu’une épidémie mondiale mortelle se préparait à ce moment-là » :

    Selon les responsables, les renseignements ont pris la forme d’interceptions de communications et d’images aériennes montrant une activité accrue dans les établissements de santé. Les renseignements ont été distribués à certains responsables fédéraux de la santé publique sous la forme d’un « rapport de situation » à la fin du mois de novembre, a déclaré un ancien fonctionnaire informé de la question. Mais il n’a pas été estimé qu’une épidémie mondiale mortelle se préparait à ce moment-là, a déclaré un responsable de la défense.

    Voir Covid-19 : les Etats-Unis ont averti leurs alliés d’une épidémie en Chine dès novembre (médias US & israéliens)

    Le général John Hyten, vice-président des chefs d’état-major interarmées, a déclaré qu’il n’avait pas vu de rapports de renseignement sur le coronavirus avant janvier :

    Nous avons tout ré-examiné méticuleusement les données disponibles en novembre et décembre. La première indication dont nous disposons, ce sont les rapports de la Chine de fin décembre qui ont été publiés dans le forum public. Et les premiers rapports des services secrets que j’ai vus étaient en janvier.

    Le NCMI lui-même a nié à ABC l’existence du « produit/évaluation », c’est-à-dire du rapport auquel il est fait référence (bien que certains aient suggéré qu’un rapport qui n’était pas techniquement un « produit » de renseignement ait probablement existé).

    Selon un article du Times of Israel du 16 avril 2020, les services de renseignement américains « ont pris conscience de l’émergence de la maladie à Wuhan au cours de la deuxième semaine de [novembre] et ont rédigé un document classifié ». Le rapport affirme également que la Chine était au courant à l’époque : « Les informations sur l’apparition de la maladie n’étaient pas dans le domaine public à ce stade, et n’étaient connues qu’apparemment du gouvernement chinois. » Un reportage de la chaîne israélienne Channel 12 datant du même jour affirme que les services de renseignement américains « suivaient la propagation » à la mi-novembre et qu’ils ont même informé l’OTAN et Israël à l’époque, mais, de manière quelque peu contradictoire, ils ont déclaré que l’information « ne provenait pas du régime chinois » :

    Un rapport secret du renseignement américain, qui mettait en garde contre une « maladie inconnue » à Wuhan, en Chine, n’a été envoyé qu’à deux de ses alliés : l’OTAN et Israël. Au cours de la deuxième semaine de novembre, les services de renseignement américains ont constaté qu’une maladie aux caractéristiques nouvelles se développait à Wuhan, en Chine. Ils ont suivi sa propagation, alors qu’à ce stade, cette information classifiée n’était pas connue des médias et ne provenait pas non plus du régime chinois.

    Ces rapports médiatiques émanant d’agents de renseignement anonymes se référant à des documents d’information non divulgués ne sont manifestement pas tous cohérents. L’affirmation du Times of Israel selon laquelle le gouvernement chinois était au courant en novembre est particulièrement étrange, car ce rapport dit tirer ses informations directement du rapport de Channel 12, qui affirme le contraire. L’affirmation d’ABC News selon laquelle le gouvernement chinois était au courant en novembre d’une épidémie « hors de contrôle » qui « changeait les modes de vie », mais que cette information a été gardée secrète, est également étrange. Comment une épidémie « hors de contrôle » qui « change les modes de vie » pourrait-elle être gardée secrète ? Lorsque le virus a été révélé à la fin du mois de décembre, il s’est accompagné d’une activité intense sur les réseaux sociaux en Chine. Où est passée l’activité des réseaux sociaux de novembre, où les gens parlaient d’une épidémie  hors de contrôle » qui « changeait les modes de vie et le monde des affaires » ? Où sont les images satellites montrant ces impacts sur les hôpitaux et la vie sociale ? Aucune n’a été produite, alors qu’il serait facile de le faire.

    Voir Coronavirus : la Chine et l’Iran dénoncent la probabilité d’une attaque biologique

    Cela nous amène à une question cruciale. La Chine était-elle au courant en novembre ? J’avais précédemment supposé que oui, mais en regardant plus objectivement, je n’ai pas vu de preuves tangibles qu’elle le savait. Le rapport 2021 des services de renseignement américains sur les origines du Covid indique que la Chine « n’avait probablement pas connaissance de l’existence du SRAS-CoV-2 avant que les chercheurs du WIV ne l’isolent après la reconnaissance publique du virus dans la population générale ». Mais avait-elle connaissance plus tôt d’une épidémie inhabituelle d’étiologie inconnue ? Rien ne le prouve.

    Hormis les affirmations contenues dans les rapports médiatiques susmentionnés (qui, comme nous l’avons noté, sont largement démenties par les responsables de la défense), la seule preuve dont nous disposons provient du rapport du personnel de la minorité sénatoriale de 2022, qui a des liens avec les services de renseignement américains, en particulier avec le grand manitou de la biodéfense Robert Kadlec. Ce rapport suggère que la Chine a pris connaissance d’une fuite à l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) en novembre 2019 et, à ce moment-là, a commencé à travailler sur un vaccin. Mais il ne donne aucune preuve réelle pour étayer cette affirmation, juste de vagues déclarations sur le moment où la formation à la sécurité a eu lieu et des insinuations sur le moment du développement du vaccin. En outre, l’accent est entièrement mis sur la recherche chinoise et le WIV, et pas du tout sur la recherche américaine, ce qui laisse supposer qu’il s’agit d’un « dérapage contrôlé » de la communauté du renseignement et d’un exercice de détournement d’attention.

    Il convient de noter que le colonel Robert Kadlec, qui semble être à l’origine du rapport du Sénat, a été le premier directeur de la politique de biosécurité de la Sécurité intérieure sous la présidence de G. W. Bush et l’un des cerveaux des premières simulations de pandémie, y compris l’hiver noir de 2001. Lorsque le COVID-19 a frappé, M. Kadlec est devenu le principal responsable de la préparation aux situations d’urgence, coordonnant la réponse du ministère américain de la santé et des services sociaux et du gouvernement fédéral. Il est donc une figure centrale de l’établissement de biodéfense américain qui nous a apporté les confinements et ne peut être considéré comme une source d’information indépendante ou fiable.

    Voir Covid-19 : le contrôle des populations par la peur était « totalitaire », admettent des responsables scientifiques

    Les meilleures preuves indépendantes dont nous disposons actuellement pour affirmer que la Chine était au courant avant la fin décembre sont les rapports que Gilles Demaneuf transmet de deux scientifiques américains, Lawrence Gostin et Ian Lipkin, selon lesquels, à la mi-décembre, des contacts scientifiques chinois leur ont mentionné une épidémie inhabituelle de virus. Ce n’est pas du tout précoce, et c’est plusieurs semaines après la mi-novembre.

    Il y a de nombreuses raisons de penser, comme l’indique le point presse de Channel 12, que la Chine n’était pas au courant avant décembre. Par exemple, le manque évident de préoccupation du gouvernement chinois à l’égard du virus jusqu’aux environs du 23 janvier. Le 14 janvier encore, les experts chinois déclaraient à l’Organisation mondiale de la santé qu’ils n’étaient même pas sûrs que le virus se transmette entre humains ! C’est difficile à croire, mais cela montre quand même à quel point ils n’étaient pas inquiets.

    Il y a aussi l’absence de précédentes alertes de santé publique comme celle qui est apparue le 31 décembre 2019 de la Commission municipale de la santé de Wuhan, plus, comme nous l’avons noté, l’absence de toute activité sur les réseaux sociaux concernant une épidémie en novembre. En outre, il y a l’échec apparent du séquençage du virus avant la fin du mois de décembre, puis dans un laboratoire privé, ce qui fait également vaciller l’idée que la Chine développait un vaccin à partir de novembre. Il y a aussi le fait que les autorités chinoises ont semblé croire que le marché humide de Huanan était une origine plausible du virus en janvier, jusqu’à ce qu’elles examinent cette théorie et la réfutent.

    Bien sûr, il peut y avoir des explications alternatives pour certains de ces éléments. Par exemple, l’histoire du marché humide peut avoir été un moyen d’étayer l’affirmation initiale bizarre selon laquelle il ne semblait pas y avoir de transmission interhumaine, ce qu’il est difficile de croire que les scientifiques chinois aient jamais vraiment cru, étant donné l’invraisemblance de cette hypothèse et le fait que les scientifiques chinois semblaient avoir conscience d’une épidémie plus large en décembre. D’un autre côté, la fuite du rapport du gouvernement chinois datant de février 2020 semble montrer que les responsables se sont empressés de regarder en arrière pour voir ce qui se passait dans les hôpitaux en octobre et novembre, sans que rien n’indique qu’ils étaient au courant à ce moment-là, et également sans indication d’une épidémie « hors de contrôle ». Peut-être s’agit-il là aussi d’un faux astucieux. Mais tout cela est-il faux ? Et dans tous les cas, où sont les preuves réelles et positives que la Chine était au courant ?

    Voir Variole du singe : la Russie accuse les laboratoires biologiques militaires américains

    L’apparente ignorance des Chinois contraste fortement avec ce que les responsables des services de renseignement américains ont déclaré savoir en novembre, comme le montrent les points de presse susmentionnés, qui indiquent que les analystes des services de renseignement américains « suivaient la propagation » depuis la mi-novembre et que l’armée, le gouvernement et les alliés des États-Unis étaient tenus informés. Il se peut qu’une partie de ces informations soit exagérée par les responsables des services de renseignement qui tentent de se défendre contre les accusations d’avoir manqué les premiers signes de la pandémie. Mais tout ne saurait s’expliquer ainsi.

    En outre, il existe un rapport très révélateur du Dr Michael Callahan, que le Dr Robert Malone a décrit comme « le plus grand expert du gouvernement américain et de la CIA en matière de guerre biologique et de recherche sur les gains de fonction », et qui se trouvait déjà à Wuhan au début du mois de janvier « sous couvert de son poste de professeur à Harvard ». Il a déclaré à  National Geographic qu’il s’était rendu à Singapour pour traquer le virus en novembre et décembre. Il affirme avoir été mis au courant de l’existence du virus par des « collègues chinois », mais cette affirmation est très vague et pourrait être fausse :

    Début janvier, lorsque les premières informations floues sur la nouvelle épidémie de coronavirus sont apparues à Wuhan, en Chine, un médecin américain avait déjà pris des notes. En novembre, Michael Callahan, expert en maladies infectieuses, travaillait avec des collègues chinois sur une collaboration de longue date en matière de grippe aviaire lorsqu’ils ont mentionné l’apparition d’un nouveau virus étrange. Rapidement, il s’est envolé pour Singapour afin d’y voir des patients présentant les symptômes du même germe mystérieux.

    Il existe deux autres contrastes frappants entre les approches initiales des États-Unis et de la Chine qui méritent d’être soulignés. Premièrement, les services de renseignement et de biodéfense américains se sont montrés hautement alarmistes à propos du nouveau virus dès le mois de janvier, tandis que le gouvernement chinois est resté apparemment calme jusque vers le 23 janvier. La raison pour laquelle la Chine a changé de politique à ce moment-là n’est pas encore tout à fait claire ; apparemment, c’était lié à la reconnaissance de la transmission interhumaine, mais il est peu probable que ce soit la véritable raison.

    Voir Naturel ou artificiel ? Après un an de Covid-19, un bilan sur les origines de la pandémie

    Deuxièmement, les scientifiques et les agents des services de renseignement américains se sont accrochés à une théorie du marché humide qu’ils savaient fausse, étant donné que les services de renseignement américains suivaient l’épidémie depuis novembre et que les autorités chinoises elles-mêmes ont démystifié cette théorie très tôt. Malgré cela, certains scientifiques américains, y compris ceux impliqués dans la dissimulation de la fuite du laboratoire de Fauci, s’y sont obstinément tenus depuis.

    Il est également important de noter que les responsables des services de renseignement et les scientifiques américains ont, dès le début, activement bloqué toute tentative d’enquêter sur la possibilité d’un virus fabriqué, d’une fuite de laboratoire ou d’une propagation précoce du virus (bien que quelques membres des services de renseignement américains semblent avoir été disposés à enquêter, mais apparemment avec l’intention d’accuser exclusivement la Chine). De hauts fonctionnaires du gouvernement auraient averti à plusieurs reprises leurs collègues « de ne pas poursuivre l’enquête sur l’origine du COVID-19 » car cela « ouvrirait la boîte de Pandore » si elle se poursuivait.

    Malgré l’arrêt des enquêtes sur les origines du virus, les responsables des services de renseignement américains ont insisté à maintes reprises sur le fait qu’il n’avait certainement ou probablement pas été fabriqué et ont même soutenu la théorie du marché humide des mois après qu’elle ait été discréditée par les Chinois eux-mêmes. Le 30 avril 2020, le bureau du directeur du renseignement national américain (qui, à l’époque, était en vacance) a publié une déclaration selon laquelle : « La communauté du renseignement est également en accord avec le large consensus scientifique selon lequel le virus COVID-19 n’a pas été fabriqué par l’homme ou génétiquement modifié. » Le 5 mai 2020, CNN a rapporté un briefing d’une source de renseignement des Five Eyes [alliance des services de renseignement de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis] déclarant sans équivoque que l’épidémie de coronavirus « provenait d’un marché chinois ».

    Les renseignements partagés entre les nations des Five Eyes indiquent qu’il est « hautement improbable » que l’épidémie de coronavirus se soit propagée à la suite d’un accident dans un laboratoire, mais qu’elle provient plutôt d’un marché chinois, selon deux responsables occidentaux qui ont cité une évaluation des renseignements qui semble contredire les affirmations du président Donald Trump et du secrétaire d’État Mike Pompeo.

    Il est bien sûr impossible d’exclure la modification génétique, que ce soit à l’époque ou depuis, étant donné l’absence de virus naturels et de réservoirs animaux similaires et le fait que le savoir-faire pour effectuer les modifications existe certainement. Malgré tous ses défauts, le rapport sénatorial de 2022 a été le premier document associé aux services de renseignement à traiter d’un agent modifié comme une possibilité sérieuse, tout en essayant notamment de rejeter entièrement la faute sur la Chine. Les scientifiques américains n’en parlent tout simplement pas, une évasion qui a conduit Jeffrey Sachs à dissoudre le groupe de travail sur les origines du Covid qui faisait partie de la commission Covid du Lancet qu’il présidait, percevant de graves conflits d’intérêts et un manque fondamental de coopération de la part des scientifiques américains, qui semblaient cacher quelque chose.

    Voir Le Covid-19 provient d’un laboratoire américain, selon le président de la commission du Lancet

    Ma crainte est qu’il n’y ait pas beaucoup de façons crédibles d’expliquer tout cela. Pourquoi les services de renseignement américains ont-ils suivi l’apparition d’un virus potentiellement dangereux en Chine en novembre, plusieurs semaines avant qu’il ne soit prouvé que la Chine était au courant de la situation ou s’en préoccupait ? Comment ont-ils repéré un tel signal dans le bourdonnement d’une saison de grippe précoce ? Comme le souligne Gilles Demaneuf,

    L’imagerie satellitaire ne permettrait pas de faire la distinction entre une sévère épidémie de pneumonie saisonnière et le début d’une épidémie de coronavirus survenant au même moment. Il est donc probable que seule une partie des données observées par le NCMI, comme les communications dans certains hôpitaux, était effectivement liée de manière évidente à quelque chose de pire qu’une mauvaise pneumonie, mais toujours standard.

    Mais bien sûr, et c’est un point crucial, le COVID-19 ne se distingue pas clairement et cliniquement d’une pneumonie sévère mais toujours standard. Demaneuf laisse entendre que les analystes ont intercepté des communications de l’hôpital révélant quelque chose de distinctif qui leur a causé une inquiétude considérable. Mais de quoi s’agit-il ? Ils ne le disent pas, mais ils devraient le faire. Il est évident que ces rapports devraient être déclassifiés et mis dans le domaine public. La difficulté, cependant, est qu’il est même difficile de concevoir ce que cela pourrait être. Que se disaient les médecins pour attirer l’attention des analystes du renseignement et les inciter à informer l’OTAN et à s’envoler pour Singapour ? Quoi qu’il en soit, cela ne semble pas avoir alarmé les médecins de l’hôpital eux-mêmes, car rien ne prouve que des médecins ou des responsables gouvernementaux chinois aient remarqué ou se soient inquiétés avant la mi-décembre. Nous n’avons pas non plus vu de preuve d’une épidémie « hors de contrôle » qui « modifiait les modes de vie et d’activité », comme le prétendait ABC News. Le problème est qu’en l’absence de détails, nous nous demandons ce que cela pourrait bien être, en particulier lorsque le COVID-19 ne se distingue pas cliniquement des autres causes de pneumonie grave.

     Voir La Russie accuse les Etats-Unis d’avoir créé le Covid-19

    Il existe, il faut le noter, une façon simple d’expliquer tout cela, mais ses implications sont pour le moins troublantes. Il s’agit du fait que le virus a été délibérément diffusé en Chine par un ou plusieurs groupes au sein des services de renseignement et de sécurité américains. Le but d’une telle diffusion serait en partie de perturber la Chine et en partie de servir d’exercice réel pour la préparation à une pandémie, ce qui est, comme nous le savons, la façon dont la pandémie a été traitée en pratique par les membres du réseau de biodéfense américain. Bien que choquant, cela n’est pas hors des limites du possible. Considérez ce que Robert Kadlec a écrit dans un document stratégique du Pentagone en 1998 :

    L’utilisation d’armes biologiques sous le couvert de l’apparition d’une maladie endémique ou naturelle offre à un attaquant la possibilité d’un déni plausible. Le potentiel de la guerre biologique à créer des pertes économiques importantes et une instabilité politique subséquente, associé à un déni plausible, dépasse les possibilités de toute autre arme humaine.

    Voir American Pravda : Covid-19 et guerre biologique

    Si tel était le cas, il se pourrait que l’ajout de l’enzyme protéase furine au virus ait pour but d’accroître son caractère infectieux afin d’augmenter les chances d’apparition d’une pandémie (ils avaient peut-être déjà essayé avec un virus moins infectieux et cela n’avait pas très bien fonctionné). Le virus serait délibérément relativement bénin pour ne pas faire trop de dégâts, mais suffisamment grave pour avoir l’impact souhaité, du moins lorsqu’il est accompagné d’opérations psychologiques et de propagande. Très peu de personnes en connaîtraient l’origine, car la plupart participeraient à l’exercice en direct.

    Un tel scénario expliquerait parfaitement pourquoi les services de renseignement américains ont suivi de près la propagation de la maladie en novembre, alors que la Chine n’était pas au courant. Il expliquerait également pourquoi les spécialistes américains de la biodéfense se sont montrés dès le départ beaucoup plus alarmistes que les autorités chinoises, pourquoi ils ont nié que le virus puisse être fabriqué et ont annulé tous les efforts déployés pour en rechercher les origines (et se sont accrochés à des théories discréditées), et pourquoi ils ont appliqué l’ensemble du plan de biodéfense « confinons-et-attendons-un-vaccin » alors que le virus ne le justifiait manifestement pas (et que les mesures ne fonctionnaient pas), et ont généralement traité l’ensemble de la situation comme un exercice réel. Il n’est pas contestable de souligner que la pandémie a été une occasion en or de mettre en pratique leurs plans préparés de longue date. Mais qu’en est-il si cette occasion n’a pas été laissée au hasard ?

    Voir La stupéfiante censure occidentale sur les origines du Covid

    Aucun d’entre nous ne souhaite tirer cette conclusion, bien sûr. Pour la réfuter, du moins en ce qui concerne cet argument, nous aurions besoin d’avoir beaucoup plus de détails sur ce que les analystes du renseignement américain voyaient et disaient en novembre 2019, ce qui expliquerait comment ils savaient ce que la Chine ne savait pas et pourquoi ils étaient si inquiets lorsque la Chine ne l’était pas.

    À défaut, il est difficile de ne pas se demander si la diffusion du virus en Chine pour perturber le pays et voir comment le monde réagit n’aurait pas été une idée farfelue élaborée dans les recoins les plus profonds de l’État profond américain de la biosécurité.

    Voir notre dossier sur le Covid-19.  

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Giuseppe Belvedere :

    voyez que la "démocratie participative" ce n'est nullement la panacée ! le conseil de quartier Saint Merri du 4e arrondissement de Paris lance une pétition honteuse à l’encontre de Giuseppe Belvedere Ils demandent une prise en charge psychiatrique et médico-sociale de cet homme parfaitement sain d’esprit, (ça se fait beaucoup maintenant, n'est-ce pas !... ) particulièrement cultivé et doté d’une rare empathie.

    Nous relançons une fois encore les pétitions afin qu’on fiche la paix à ce vieil homme dont le seul tort est en fait celui de nourrir les pigeons : ce dont se sert la mairie du 4ème pour faire oublier qu’elle n’a jamais envisagé de construire de pigeonnier contraceptif (subventionnés et installés dans 13 arrondissements sur 20).

    Avec ou sans Giuseppe Belvedere, les pigeons continueront de proliférer dans le centre de Paris. Et c'est bien et sympa !

    Merci de laisser Giuseppe (sur)vivre tranquillement avec ses pigeons ! et redonnez-lui son appartement !

    "Et quand ils font ça ils sont obligés de quitter leur vie, de tout lâcher" : https://ruclip.com/video/sksYYKYrXxw/louis-fouch%C3%A9-acte-4-d%C3%A9ferlement-totalitaire-libert%C3%A9s.html

    et n'oubliez pas aujourd'hui on GAZE les pigeons. Auschwitz c'est là et maintenant , et avec VOTRE ARGENT, vous êtes complices


    comme Béranger, comme les insurgés (armés et violents) de 1830, Christophe Dettinger ne s'est pas battu seulement pour lui-même mais pour tout le monde, pareil le pasteur Trocmé.

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Nous l’avons précédemment dit, le 27 mai prochain, à Genève, va se jouer l’avenir de l’humanité, ni plus ni moins, avec l’adoption en assemblée générale de l’Organisation Mortelle de la Santé (OMS), de son texte sur le «Traité sur les pandémies» qui serait une vaste farce s’il n’était pas si tyrannique et dangereux pour la vie sur cette planète.

     

    Aujourd’hui, à l’échelle planétaire, rien n’est plus important que ce passage en force pour une tyrannie sanitaire planétaire. Rien. Cela touche déjà depuis le déploiement mondial de l’arme nano-biotechnologique à ARNm COVID-19 en décembre 2020, sinon la quasi-totalité de la population mondiale, en tout cas, celle des pays dits «développés»… États-Unis et Europe en tête.

     

    Ce texte est fait, construit, planifié pour totalement éradiquer la souveraineté des Etats, et donc des peuples, en matière de santé et de «pandémies» (plandémies), redéfinies au préalable et donner les pleins pouvoirs à une clique d’oligarques bureaucrates à la solde de Big Pharma (donc le grand capital), qui pourront décider de déclarer «pandémie» tout et n’importe quoi et surtout, de forcer les populations à accepter les mesures draconiennes qu’ils mettront une fois de plus en place mais à la puissance 10 comparé au COVID : confinements, restrictions de toutes sortes, injections renouvelées par armes nano-biotechnologiques à ARNm, etc. Ce «traité pandémies» de l’OMS veut dire :

     

    •  plus de recherches sur le gain de fonction de pathogènes (alors que ça devrait normalement être purement et simplement interdit…) Open bar pour tout le monde, création des pires saloperies nanotech possibles
    • l’obligation de partager les informations sur les séquences génomiques de nouveaux pathogènes créés
    • payer les nations pour ce faire => porte ouverte au tout et n’importe quoi menant à des «accidents» / fuites, volontaires ou non
    • plus de confinements
    • plus de mesures liberticides au nom de «la santé publique», qui ne l’est plus mais une extension de très gros intérêts privés dictant leur plan d'action
    • plus d’injections et de médicaments «obligatoires» assujettis exclusivement au nouveau marché de la nano-biotechnologie, devenue fléau #1 pour l’humanité
    • plus de censure et d’ostracisme contre les remèdes, scientifiques et médecins hors système
    • et bien plus…

     

    ONU + UE + OMS = Tyrannie mondiale (fascisme 2.0)

     

    Après son adoption en assemblée plénière à Genève le mois prochain, les nations auront quelques mois pour «analyser et questionner» le traité et potentiellement le refuser, après quoi il sera entériné pour toutes les nations ne le refusant pas explicitement.

     

    Comment le refuser alors que les «élus», «parlementaires», soit ne liront JAMAIS le document complet mais juste un «résumé préparé à leur intention», soit sont déjà corrompus par Big Pharma et les intérêts particuliers pilotant le projet totalitaire sous couvert sanitaire dont l’OMS, entité vendue aux intérêts privés des Bill Gates et consort depuis belle lurette, sera le bras armé.

     

    Faisons-nous pour une (idiote) minute les avocats du système représentatif étatico-marchand et de son «processus démocratique». Ce «Traité pandémies» de l’OMS est l’exemple type de document qui va, si adopté, changer la vie des citoyens de la manière la plus profonde. Ainsi donc, il représente l’archétype même de proposition qui devrait être uniquement adoptée ou rejetée par voie de REFERENDUM, une fois que les citoyens aient eu accès au document complet et une traduction en termes communs édulcorés des termes juridiques champions de la langue de bois et de la confusion.

     

    Ainsi donc, les citoyens devraient avoir accès au document, le lire, en discuter pour ensuite répondre, comme le veut tout REFERENDUM, à une question simple par «oui» ou «non».

     

    La question de ce REFERENDUM serait quelque chose du style : Voulez-vous que le «traité pandémies» de l’OMS devienne de facto guide de la santé publique de notre nation ? OUI — NON (cocher la case).

     

    Si les gens avaient accès au document (toujours en voie d’écriture et changeant en permanence afin d’enfumer toujours plus…) et en avaient pleinement connaissance, il est quasiment certain que le résultat d’un tel REFERENDUM sur cette question bien comprise serait un NON resplendissant à plus de 95%…

     

    Cela n’arrivera évidemment pas. Les leçons du NON ! au Referendum de 2005 sur la «constitution européenne» ont été retenues par les politicards traîtres aux peuples, surtout en France. Cette supercherie des plus criminelles passera donc par la «voie parlementaire», cette voie oligarchique sûre de la corruption et de la trahison systématique au profit des intérêts particuliers d’une clique financière toujours plus avide de pouvoir, eugéniste et transhumaniste.

     

    Cessons donc de jouer l’avocat du diable pour dire ici que finalement, tout ceci ne se produirait pas, mieux même, ne pourrait pas se produire dans une société anarchiste, une société des sociétés des associations libres unifiées n’œuvrant que pour le bien commun de manière décentralisée, concernée et totalement désintéressée puisque fonctionnant hors État, hors rapport marchand, hors argent et hors salariat.

     

    Il n’y a rien de plus ultime aujourd’hui que de stopper net cette initiative pseudo-sanitaire tyrannique. Il suffit de dire NON ! Informons-nous ! Regroupons-nous ! BOYCOTTONS toute décision et toute action tyrannique de ceux qui décident à notre place ! Tuons ce projet criminel avant sa mise en application, car une fois en place, tout sera bien plus compliqué…

     

    Si nous les laissons faire, c’en sera fini de l’humanité. Les injections armes nano-biotechnologiques à ARNm COVID-19 ont déjà tué plus de 20 millions de personnes dans le monde depuis décembre 2020, ce chiffre est conservateur. De partout, les rapports d’analyses médicales tombent sur les «effets secondaires» néfastes des injections ARNm, armes biologiques par définition, déployées sur les populations du monde. Les statistiques de turbo-cancers crèvent les plafonds, partout. Les AVC et maladies auto-immunes, maladies cardiaques induites sont légions. Qui ne connaît pas dans son entourage, quelqu’un qui a été affecté de manière grave ou bénigne par ces injections mortifères, vrais faux vaccins mais vraies armes biologiques utilisées contre les populations, ainsi que toute la panoplie de la nanotechnologie dans notre nourriture, produits quotidiens, etc..

     

    Et bien, le «traité pandémies» que l’OMS veut adopter le 27 mai prochain, leur fournira toute autorité tyrannique pour encore plus nous injecter de leurs poisons, armes biologiques : l’ARNm est une arme biologique, répertoriée comme telle dans les brevets et les rapports militaires yankees. Les «virus pandémiques» sont des parasites nano-biotechnologiques, créés pour infester les populations et générer des pertes massives et une transformation génétique de l’espèce humaine. Ceci n’est pas un projet futuriste… CECI SE PRODUIT DÉJÀ ICI ET MAINTENANT alors que nous écrivons ces lignes. C’est un danger courant et immédiat ! Nous devons les arrêter !

     

    Il y a un «même» qui circule depuis un moment sur la toile et qui dit ceci : «J’ai besoin de nouvelles théories de la conspiration, parce que toutes les anciennes se sont avérées vraies !» On vous en redonne une ici en primeur : L’oligarchie sait pertinemment qu’il est vital de garder cette affaire secrète ou du moins des plus discrètes le plus longtemps possible. Ainsi donc, tout le tumulte récent : Ukraine, Gaza/Palestine, chaos économique accéléré, n’est qu’écran de fumée, distraction à grande échelle, masquant le véritable agenda, qui avance toujours sous couvert, même si le voile se lève peu à peu… Du grain à moudre, réfléchissez-y… tout concorde.

     

    Divulguer cette info est la chose la plus importante à faire aujourd’hui ! Il en va de la survie de l’humanité, ni plus ni moins.

     

    Qu’on se le dise !

     

    envoyé par Amar Djerrad

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  La tragédie libyenne

     

    Cet article fait partie d’une longue série d’histoires tragiques impliquant l’impérialisme américain et la désinformation des médias. Comme pour toutes les autres, vous devez mettre de côté toutes les bêtises que vous avez lues dans les médias occidentaux sur la Libye et son président, Mouammar Khadafi, et découvrir certaines vérités.

     

    Khadafi est devenu le dirigeant de la Libye par un coup d’État sans effusion de sang contre le vieux roi Idriss1, qui avait été installé sur le trône par les puissances impériales après la dernière guerre mondiale, et qui avait été plus que disposé à céder toutes les ressources pétrolières de la Libye aux multinationales occidentales en échange de son «royaume». L’Occident n’a jamais pardonné cela à Khadafi et l’a constamment diabolisé dans les médias, imposant de nombreuses sanctions contre le pays, et a généralement fait de son mieux pour le punir pendant des décennies pour la perte de son roi fantoche. Les médias américains vous diront le contraire, mais c’est là la cause profonde de l’hostilité occidentale à l’égard de Khadafi et de la Libye. 

     

    «La fin du règne [du roi Idris] est intervenue une décennie seulement après la découverte du pétrole en Libye, un événement qui a transformé cette nation désertique, en grande partie stérile, de l’un des pays les plus pauvres en l’un des plus potentiellement prospères. Les Libyens semblaient s’installer dans une autocratie bienveillante. Le roi orientait son pays vers une alliance étroite avec la Grande-Bretagne et les États-Unis»2. Tout avait été conçu à partir de la City de Londres, les compagnies pétrolières étrangères possédant tous les actifs pétroliers de la Libye – ce qui fut la cause du coup d’État. 

     

    La Libye était autrefois un beau pays, riche et prospère, et de loin l’une des nations les plus progressistes d’Afrique. Aujourd’hui, c’est une zone sinistrée où règnent la pauvreté, la misère, la maladie et l’anarchie, grâce à la «guerre humanitaire» inventée de toutes pièces par les États-Unis. L’histoire est simple, comme la plupart des histoires : le dirigeant d’une nation avait sous-estimé la brutalité sauvage des juifs face à la désobéissance politique et aux menaces économiques pesant sur leur argent et leurs multinationales, et c’est la nation tout entière qui en a payé le prix. 

     

    De même, Israël a toujours détesté la Libye et Khadafi, mais n’avait pas la capacité militaire d’infliger des dommages particuliers au pays ; alors, comme d’habitude, ils ont utilisé l’armée américaine pour faire le travail à leur place. Les médias internationaux à capitaux juifs et le gouvernement américain complaisant ont mené pendant des décennies une campagne de propagande négative contre la Libye, convainquant une grande partie de la population mondiale que cette nation faisait partie d’un «axe du mal». Il n’en a jamais été ainsi. 

     

    En 1984, la Libye fut accusée d’avoir tiré sur une policière à Londres. Cette version des faits posait de nombreux problèmes et un documentaire de la télévision britannique a établi un lien entre ce décès et la CIA, et probablement aussi avec l’organisation criminelle juive Mossad, mais pour la plupart des gens, la Libye était coupable simplement parce qu’il s’agissait de la Libye. C’est le pouvoir de la propagande. L’arrestation avait été entachée d’irrégularités, et le flot de propagande anti-Libye dans les médias a été extrême, mais la responsabilité de la Libye n’était étayée par aucune preuve. Selon le Guardian britannique, «le juge a déclaré que bien que l’accusé ait été en garde à vue au moment de la fusillade proprement dite…»3. Puis on a appris que le Royaume-Uni allait «rouvrir» l’affaire4. Mais finalement : «Un Libyen que les autorités britanniques soupçonnaient d’avoir tué une femme policière lors de manifestations contre le régime de Mouammar Kadhafi a été libéré, car les preuves retenues contre lui auraient pu porter atteinte à la sécurité nationale», a déclaré la police. Bien que «suffisamment d’éléments permettant d’identifier les responsables» aient été recueillis, ils n’ont pas pu être présentés au tribunal. «Les éléments clés n’ont pas été mis à la disposition du tribunal sous forme de preuves pour des raisons de sécurité nationale», a déclaré la police métropolitaine dans un communiqué. Mais après examen par la police, les procureurs ont décidé qu’il n’y avait «pas suffisamment de preuves admissibles pour inculper l’homme».5

     

    Il y a quelques années, un avion de la Libyan Airlines a été abattu dans l’espace aérien égyptien par des avions de guerre israéliens6,7,8. En apprenant la destruction de l’avion de ligne libyen et la mort des civils, Golda Meir, alors Premier ministre d’Israël, a félicité son chef d’état-major pour son succès et s’est exclamée : «Je tiens à vous dire que je ne me contente pas de vous apprécier, je vous admire !»9,10 Les Israéliens ont parlé d’une erreur d’identification. On ne sait pas si les journalistes américains ont jamais demandé pourquoi les soldats israéliens le long du canal de Suez tiraient des missiles sol-air sur un avion de ligne civil, quelle que soit son identité.11

     

    Mais l’histoire tragique de la Libye a véritablement commencé dans les années 1990, lorsque le président américain Ronald Reagan a organisé une campagne aérienne massive en collaboration avec le Royaume-Uni, dans le but approximatif de «donner une leçon à la Libye». Les faits qui ont conduit à cet assaut aérien n’ont jamais retenu l’attention de l’Occident ; on nous a en fait servi une version totalement inventée qu’il était dans l’intérêt des États-Unis et d’Israël de promouvoir. En bref, la Libye a été accusée d’avoir fait exploser une bombe dans un bar en Allemagne et tué un soldat américain, ce qui a valu à Reagan de bombarder violemment la Libye. Khadafi a clamé son innocence à cet égard, et des faits ultérieurs ont prouvé qu’il disait la vérité. Il n’y a jamais eu de preuve reliant la Libye à cette bombe. Lorsque les accusés ont finalement été jugés en 1997, rien ne permettait de les relier à la Libye, mais des preuves substantielles pointaient dans d’autres directions, et il semblait certain que la Libye avait été piégée par le Mossad israélien. 

     

    À l’époque, Israël nourrissait des griefs à l’encontre de la Libye depuis plusieurs années et voulait lancer son propre assaut aérien, mais avait conclu que la Libye était trop éloignée et trop bien défendue pour que le jeu en vaille la chandelle. Cela a ouvert la voie à une opération sous fausse bannière qui s’est avérée éminemment fructueuse. Des Israéliens se sont rendus en Libye avec de faux passeports en prétendant être des marchands de tapis et ont apparemment loué des locaux près du palais de Khadafi. Plus important encore, ces emplacements se trouvaient en ligne directe entre le palais et la Méditerranée, où des navires américains se trouvaient constamment au large, interceptant les communications libyennes. Les Israéliens avaient apporté avec eux du matériel de transmission radio directionnelle et ont profité de leur position pour transmettre de fausses informations sur l’intention des Libyens de commettre une sorte d’acte terroriste contre les Américains, de poser une bombe quelque part. Les détails ont été habilement transmis aux Américains par le biais de ces émissions et, au fil du temps, les détails de ce plan ont été divulgués et l’on a déduit qu’il s’agissait de l’Allemagne. Le Mossad a alors envoyé deux agents dans un bar allemand et a fait exploser une bombe qui a réussi à tuer un soldat américain.

     

    Bien entendu, la responsabilité a été immédiatement imputée à Khadafi, et le plan d’Israël a été couronné de succès, Reagan bombardant la Libye à mort. Les destructions ont été considérables et visaient en grande partie à tuer Khadafi si possible. La plupart des sites visés par les bombardements n’étaient pas des sites militaires mais civils, y compris la maison et les bureaux de Khadafi. Il survécut mais pas ses enfants. 

     

    «La manière dont le Mossad israélien a piégé les États-Unis pour qu’ils attaquent la Libye a été décrite en détail par Victor Ostrovsky, ancien collaborateur du Mossad, dans «The Other Side of Deception» (Mossad : Un agent des services secrets israéliens parle), le deuxième des deux livres révélateurs qu’il publia après avoir quitté le service de renseignement extérieur d’Israël».12

     

    Peu de temps après, un vol américain de la Pan American fut détruit par une bombe au-dessus de Lockerbie, en Écosse, et la Libye en fut accusée. Il n’y a jamais eu de preuve de l’implication de la Libye dans cette tragédie, et je pense qu’il s’agissait d’une autre opération sous faux drapeau du Mossad. Certains groupes ont accusé les Palestiniens et d’autres d’être responsables, mais je doute qu’ils aient eu les moyens de mener à bien cette opération. Il n’est pas nécessaire de s’attarder sur les détails de cet événement ici, car les nombreux détails peuvent être facilement vérifiés en ligne.  Le London Times n’a pas hésité à accuser le gouvernement de dissimuler la vérité au plus haut niveau. Dans un article, on peut lire que Christine Grahame, membre du Parlement écossais, avait déclaré : «Il y a un certain nombre d’intérêts particuliers qui se sont profondément opposés à ce que nous fassions appel de façon à approfondir l’enquête parce qu’ils savaient que cela contribuerait considérablement à exposer la vérité derrière Lockerbie». Un professeur de droit impliqué dans le procès a affirmé que le ministère de la Justice avait exercé de «fortes pressions» pour mettre fin à la procédure d’appel parce qu’il ne voulait pas que les informations soient rendues publiques. Ces experts, ainsi que de nombreux autres, doutent depuis longtemps des prétendues «preuves» présentées lors du procès initial et affirment qu’il est manifestement impossible qu’un seul homme ait pu perpétrer un tel attentat. 

     

    Deux Libyens furent arrêtés et accusés du crime. L’un d’eux fut relâché faute de preuves, l’autre a été condamné. L’accusation a obtenu un témoin qui a déclaré que le Libyen «coupable» avait été vu par plusieurs personnes un jour donné en train d’acheter des vêtements dans un magasin de Malte, des vêtements identiques à ceux qui avaient été utilisés pour envelopper la bombe qui avait détruit le vol de la Pan Am. Mais ensuite, le Libyen accusé a fourni la preuve formelle qu’il se trouvait en Europe, loin de Malte, aux dates en question, et il a été révélé que le gouvernement américain avait payé le témoin 2 millions de dollars pour son témoignage. En outre, de nombreux observateurs étaient convaincus que la CIA avait falsifié les preuves restantes. Les experts ont toujours douté des preuves utilisées pour condamner al-Megrahi et des affirmations selon lesquelles un seul homme aurait pu commettre un attentat aussi meurtrier. Plus grave encore, une nouvelle carte de circuit imprimé parfaitement intacte a été produite comme preuve du mécanisme utilisé pour faire exploser la bombe ; les experts en explosifs ont unanimement ridiculisé cette assertion.

     

    Plus grave encore a été la production d’un nouveau circuit parfaitement intact produit comme preuve du mécanisme utilisé pour faire exploser la bombe ; les experts en explosifs ont ridiculisé unanimement l’affirmation selon laquelle un détonateur attaché à une bombe qui a détruit un avion entier, survivrait à l’explosion sans le moindre dommage apparent.

     

    Le juge qui présidait l’audience a reconnu que ces faits «posaient un grave problème» à l’accusation, mais il a néanmoins déclaré le Libyen coupable. Toutes les transcriptions du procès se lisaient de la même manière ; les accusations qui ont été prouvées fausses, les preuves fournies dont il a été prouvé qu’elles avaient été fabriquées, le juge dans chaque cas admettant de sérieux doutes sur la véracité de toutes les assertions de l’accusation, mais produisant un verdict de culpabilité en dépit des faits. Si vous n’avez pas lu ces transcriptions, vous devriez le faire ; elles vous ouvriront les yeux d’une manière que mes paroles ne sauraient le faire. La détermination des Israéliens et des Américains pour imputer le crime à la Libye sera évidente dans toute sa stupidité, tout comme les préjugés politiques de la cour.

     

    Le condamné a interjeté appel et a demandé un nouveau procès, qui aurait dû lui être accordé en vertu de la loi. Malheureusement, un appel aurait mis en lumière les multiples injustices du procès initial ainsi que de nombreuses preuves nouvelles qui auraient non seulement prouvé que le tribunal d’origine avait été soumis à une influence politique intense des États-Unis et d’Israël, mais aurait aussi ouvert la porte à des faits qui auraient impliqué certains pays autres que la Libye dans les bombardements. Ainsi, la cour, dans une tentative pour épargner aux États-Unis et à Israël une condamnation mondiale intense, a offert à l’individu en question une alternative : ils le libéreraient, comme un geste humanitaire sous prétexte qu’il avait contracté le cancer et qu’il n’avait plus que quelques mois à vivre, s’il renonçait à son recours judiciaire et retournait en Libye. Et s’il se taisait, évidemment. Malheureusement, il a accepté l’offre, et la vérité ne sera jamais connue. Il y avait un large consensus en Écosse pour qu’en échange de son rapatriement al-Megrahi renonce à faire appel, ce qui aurait révélé une grave erreur judiciaire.13

     

    La plupart des Américains ont gobé toute l’histoire et ont protesté violemment contre la libération de ce «meurtrier sanglant», mais la plupart des Américains ignorent généralement les faits impliquant leur propre gouvernement, et malheureusement peu se donnent la peine de faire leurs propres recherches et d’apprendre les vérités. Dans ce cas, la vérité est que la Libye n’était pas responsable des bombardements. Cependant, l’image du pays avait été irrévocablement ternie dans ce processus, préparant le terrain pour sa destruction ultérieure aux mains de ces mêmes personnes.

     

    D’ailleurs, soyons sérieux. Un meurtrier de masse fait sauter un avion et tue près de 300 personnes, puis on le libère rapidement pour des raisons «humanitaires» parce qu’il ne se sentirait pas bien ? Pas trop probable, franchement.

     

    Selon le UK Independent, Mme Grahame, du Parlement écossais, a déclaré : «La libération du soi-disant terroriste de Lockerbie était attendue depuis longtemps, car son inculpation était politiquement motivée».14,15

     


     

    Revenons à la Libye et à Khadafi. Sous le roi Idriss intronisé par l’Occident, une grande partie de la population libyenne vivait dans des cabanes en tôle ondulée. Khadafi a changé tout cela en affirmant qu’un logement décent était «un droit naturel de la personne». La Libye avait la seule monnaie au monde qui était entièrement adossée à l’or – le dinar libyen. Après de nombreuses discussions, Khadafi avait convaincu son gouvernement de distribuer 20 milliards de dollars des 60 milliards de dollars de réserves en espèces du pays à la population, en guise de «prime au pétrole». Sous Khadafi, la Libye n’était pas seulement prospère, elle était progressiste, c’était de loin l’État le plus éclairé d’Afrique. Toute l’éducation y était universelle et gratuite, y compris l’université et, comme en Irak, les étudiants recevaient des salaires et des remboursements pour leurs dépenses pendant leurs études à l’étranger. Tous les soins de santé étaient également universels et gratuits, et les citoyens pouvaient obtenir des prêts sans intérêt pour le logement et à d’autres fins. Tout Libyen voulant se lancer dans l’agriculture recevait des terres, une maison et toutes les fournitures nécessaires gratuitement. L’électricité était gratuite pour tous, et l’essence pour les voitures était presque gratuite16. Les nouveaux mariés recevaient 50 000 $ américains du gouvernement pour s’acheter leur première maison. Les anciens indices très élevés de sans-abri, de pauvreté et d’analphabétisme du pays ont presque disparu dans les premières décennies du règne de Khadaffi. Au total, l’indice de développement humain de la Libye était supérieur aux 2/3 des pays du monde. Khaddafi a pris le direction de la banque centrale libyenne, économisant 150 milliards de dollars de liquidités et d’or, et le pays n’avait plus de dettes.17

     

    La Libye était réputée pour son égalité des sexes, sans aucune restriction imposée aux femmes, qui étaient libres de travailler et de s’habiller à leur guise. Les droits des femmes étaient les plus avancés du continent. Khadafi a institué un «ministère des femmes» pour assurer l’égalité des sexes et, en l’honneur des femmes, il a formé un cadre spécial de femmes gardes du palais. Il est vrai que c’était une garde cérémonielle, mais elles témoignaient du respect que Khadafi et les Libyens avaient généralement pour les femmes, bien que les médias  (juifs) occidentaux se soient délectés de présenter cela comme une preuve des perversions sexuelles de Khadafi ; le UK Guardian a publié un article étonnamment stupide et pervers affirmant, sans preuve à l’appui, que ces gardes du palais «révèlent une image de contrôle impitoyable et de vies brisées»18. Mais en fait, Khadafi était un dirigeant si progressiste que l’ONU avait prévu de lui remettre une médaille lors d’une séance spéciale des Nations unies, spécifiquement pour reconnaître le progrès social éclairé de la Libye. C’était seulement deux semaines avant que les États-Unis ne commencent leur «guerre humanitaire» qui a détruit le pays – le soi-disant «printemps arabe».

     

    Le problème était que Khadafi était un peu trop progressiste, dans des domaines où les banquiers juifs américains et internationaux désapprouvaient la chose. D’une part, l’Afrique était le seul continent où les États-Unis n’avaient pas de bases militaires. Khadafi a vu ces bases pour ce qu’elles étaient, une colonisation militaire rampante du continent qui ne mènerait qu’à un bain de sang. Ainsi, chaque fois que les États-Unis ont offert à un pays africain 3 millions de dollars pour la permission de construire une base militaire, Khadafi leur a offert 5 millions de dollars s’ils refusaient. Et lorsque les banquiers juifs du FMI et de la Banque mondiale ont voulu prêter de l’argent pour aider à la colonisation occidentale de l’Afrique, Khadafi a créé une Banque régionale africaine, dotée de 30 milliards de dollars de ses fonds propres, spécifiquement pour garder ces nations hors des griffes des vautours. Ces actions devaient lui générer de puissants ennemis.

     

    Mais il y a eu deux derniers facteurs qui ont scellé le sort de Khadafi, et celui de la Libye aussi. Le premier était que les intérêts étrangers, principalement américains, britanniques et français, possédaient encore les précieuses réserves de pétrole de la Libye. Khadafi a déclaré publiquement que la Libye devrait nationaliser son industrie pétrolière, en retirant la direction aux étrangers et en le prenant entre les mains de la Libye afin que le bénéfice des ressources de la nation profite aux citoyens libyens plutôt qu’aux multinationales étrangères. Presque tous les pays du monde qui ont pris cette mesure ont été détruits par le gouvernement américain et les banquiers (juifs) de la ville de Londres, et la Libye ne ferait pas exception. Le dernier acte progressiste – et dangereux – de Khadfafi fut une déclaration selon laquelle la Libye ne vendrait plus de pétrole brut uniquement en dollars américains et accepterait toutes les devises en paiement. Et là, comme on dit, c’est la goutte qui a fait déborder le vase. Khadafi avait à peine pris ces mesures lorsque la CIA a commencé à infiltrer la Libye, à rechercher des «dissidents», des «combattants de la liberté» et autres, et à fomenter une guerre interne contre le gouvernement libyen.

     

    La plupart des soi-disant combattants de la liberté n’étaient pas libyens du tout, mais étaient des prisonniers d’al-Qaïda que les États-Unis ont libérés de leurs prisons de torture en Irak à condition qu’ils participent à cette guérilla fabriquée de toutes pièces en Libye. Bien sûr, le gouvernement libyen a été forcé de réagir à ces attaques terroristes initiées à l’étranger, après quoi la machine de propagande est passée à la vitesse supérieure, accusant Khaddafi de «faire la guerre à ses propres citoyens». Et bien sûr, le gouvernement américain, l’ami des opprimés partout dans le monde, a été obligé de répondre et de défendre les pauvres citoyens de la Libye contre leur président «dictateur fou».

     

    Il y avait peu de soutien mondial pour une guerre totale, mais l’ONU a accepté d’autoriser les États-Unis à établir une zone d’exclusion aérienne, qui serait destinée à empêcher les avions libyens de bombarder les civils libyens. Bien sûr, la Libye ne faisait rien de tel ; elle bombardait les sites rebelles étrangers qui commettaient des actes terroristes dans le pays, mais peu de gens étaient au courant à l’époque. Les seules nations désireuses de participer à cette injustice impardonnable étaient l’Angleterre et la France qui avaient toutes deux d’énormes investissements dans l’industrie pétrolière libyenne et répugnaient à envisager leur nationalisation. Mais c’était suffisant pour un début. Et une fois mise en place la zone d’exclusion aérienne, la Libye a souffert de ce que les États-Unis ont appelé une «dérive de la mission», ce qui signifie que l’activité d’interdiction de vol initiale est rapidement devenue une guerre totale où toute l’infrastructure civile de la Libye a été presque totalement détruite et le pays conduit à l’anarchie.

     

    Les États-Unis sont allés bien au-delà de la création d’une zone d’exclusion aérienne. Ils ont d’abord détruit tous les avions et les bases aériennes libyennes dans tout le pays. Ils ont bombardé à plusieurs reprises la maison et le siège du gouvernement de Khadafi dans des tentatives claires de tuer l’homme.

     

    Et ils ont tué la femme et les enfants de Khaled K. Al-Hamedi ! (qui ne faisait pas de politique, mais dont le père avait refusé de trahir Kadhafi) https://www.voltairenet.org/article170669.html

     

    Les États-Unis ont attaqué toute la capacité militaire de la Libye de toutes les manières possibles, détruisant les véhicules blindés, les navires, les bases, les approvisionnements en carburant, tout ce qui pourrait rendre la défense de son pays possible. Les États-Unis ont d’abord prétendu qu’il n’y avait pas de «dérive de la mission», mais ce n’était guère plus qu’une mauvaise blague. Une grande partie du monde a condamné les actions des États-Unis et du Royaume-Uni, mais la raison pour laquelle la plupart des publics en général ne s’y sont pas fortement opposés était l’effet de la propagande de diabolisation efficace qui avait été menée avant l’invasion. Ce sont des Juifs qui ont inventé le marketing de guerre et qui se sont spécialisés dans cette activité pendant des décennies. La guerre n’est qu’un produit parmi d’autres. Bien sûr, l’attaque contre la Libye était illégale, selon toutes les lois nationales et internationales.

     

    Le président Obama n’avait pas le pouvoir de faire la guerre à la Libye, ni en passant par l’ONU, ni de son propre chef. Un président américain exige un vote du Congrès pour mener une guerre, mais la Maison-Blanche d’Obama a affirmé que des mois de bombardement total ne constituaient pas une «guerre», et que fournir des mercenaires étrangers avec des armes lourdes, des drones, des lance-missiles, les chars, l’artillerie et tout le reste en matière d’armes n’équivalaient pas collectivement à «mener des hostilités». Par conséquent, il n’y avait pas de guerre, et pas besoin de se soucier de l’approbation du Congrès. La CIA et le Mossad d’Israël ont été fortement impliqués dans la destruction de la Libye de l’intérieur, fournissant des volumes croissants non seulement d’armes légères, mais aussi d’artillerie, de missiles et d’équipements lourds qui pouvaient causer de graves dommages. C’était l’une des guérillas les mieux équipées au monde. Les rebelles étrangers ont reçu une formation, des instructions, un leadership, tout le nécessaire pour infliger le plus de dégâts de l’intérieur pendant que les grandes puissances détruisaient la Libye depuis les airs. Cette petite nation n’a jamais eu de chance.

     

    Aujourd’hui, la Libye est un désastre complet. Les services sociaux sont inexistants, tout comme l’éducation et les soins de santé. Les banquiers (juifs) ont pris le contrôle total du secteur pétrolier libyen, livrant les parties restantes du pays à l’anarchie. Le monde n’en est pas conscient en raison du blocage total des informations couvrant la Libye, mais les banquiers se sont emparés de tout le pétrole libyen, ne laissant rien au pays – et, en toute liberté. C’est exactement ce qu’ils font en Irak, ils volent, simplement, toutes ses ressources naturelles à n’importe quel pays.

     

    Après que le pays a été détourné par les banquiers de la ville de Londres, la Libye est devenue une catastrophe humanitaire. Même l’éducation a cessé, étant toujours libre mais inaccessible dans ce qui est essentiellement une zone de guerre permanente. Tout s’est désintégré, le peuple de la nation a plongé de nouveau dans la pauvreté et vit dans le chaos.19

     

    Enfin, et pour couronner le tout, nous avons été informés que l’un des tout premiers actes des «rebelles», après avoir tué Khadafi, a été d’établir une nouvelle banque centrale libyenne appartenant à des juifs, à l’image miroir de la FED américaine. Ce sont des rebelles compétents ; ils mènent une guerre le jour et la nuit planifient un nouveau monde de banques internationales20,21. Malheureusement, la nouvelle «banque centrale» libyenne n’était aucunement liée à des rebelles étrangers, mais avait été créée par les mêmes banquiers qui possèdent la FED américaine – presque certainement les Rothschild, les Warburgs et la bande habituelle de suspects. Il ne faut pas oublier de dire que l’ancienne banque centrale libyenne contenait plus de 60 milliards de dollars en or qui a maintenant été confisqué – volé – par ces mêmes banquiers et qu’on ne reverra jamais. En outre, les États-Unis avaient confisqué plus de 30 milliards de dollars de dépôts libyens dans des banques américaines et autres, et cet argent a également disparu à jamais. Si vous êtes assez puissant et avez les bons amis, la guerre est en effet très rentable.

     

    La Libye n’est qu’un autre exemple de la façon dont le seul véritable crime dans le monde est d’aller à l’encontre de l’«intérêt national» des États-Unis. Le meurtre c’est bien, la torture c’est bien, on passera l’éponge sur le génocide. Mais n’interférez jamais avec les intérêts commerciaux de l’empire. Il devrait maintenant être évident pour tout le monde que ce qui s’est passé en Libye n’était rien de moins qu’une guerre de conquête coloniale menée pour le pétrole, déguisée en croisade pour la vie et la liberté occidentales. Personne ne croit que les États-Unis agissaient en raison de la perspective d’atrocités de masse contre le peuple libyen. Il ne s’agissait que du pétrole.

     

    Pour que cela ne passe pas inaperçu, la Libye a été bombardée avec les mêmes saloperies nucléaires que l’Irak, qui causeront des souffrances humaines indicibles, produisant le cancer et des malformations congénitales dans la population pour les générations à venir22. Dans son assaut tragique contre le peuple libyen, les États-Unis ont tiré des centaines de missiles de croisière et des milliers d’obus d’artillerie contenant des ogives à uranium appauvri qui ont recouvert une grande partie de la Libye dans une poussière radioactive. Les résultats sont si déchirants en Afghanistan, en Irak, en Yougoslavie et en Palestine. Les missiles Tomahawk contiennent chacun 360 Kgs. d’uranium enrichi et de plutonium, des restes de la réserve américaine de déchets nucléaires. Avec une demi-vie de 4,5 milliards d’années, ces sous-produits radioactifs causeront la souffrance et la mort à jamais. C’est une guerre nucléaire sous un autre nom.

     

    Une fois qu’ils sont entrés officiellement dans le pays, ils ont capturé Khadafi et, dans une célébration délicieuse de l’orgueil, ils ont fait circuler une vidéo de quelqu’un lui tirant dans la tête et le tuant, pour le plus grand plaisir d’Hillary Clinton qui plus tard proclamait (en riant), «Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort»23. Charmante femme. Lorsqu’il a appris le décès du colonel Khadafi, le président Obama, grand chrétien américain et prix Nobel de la paix, a déclaré que c’était «une journée mémorable», et il a rendu hommage à «nos hommes et nos femmes en uniforme», disant au monde entier que grâce à eux «d’innombrables vies avaient été sauvées». À la fin, Hillary Clinton avait encore plus à dire, exemple si typique de l’hypocrisie américaine et du manque de la moindre honte. «Je suis fière d’être ici, sur le sol d’une Libye libre. Les États-Unis ont été fiers de se tenir à vos côtés dans votre combat pour la liberté et nous continuerons de nous tenir à vos côtés dans cette aventure. C’est le moment de la Libye. C’est la victoire de la Libye et l’avenir vous appartient. Quand je vois des choses comme ça, j’espère de tout mon cœur qu’il y a un Dieu et que l’enfer existe, et que tous ces gens s’y retrouvent».

     

    source : Blue Moon of Shanghaï via Entre la Plume et l’Enclume

     

    1. «King Idris I : The forgotten first and last king of Libya»
      https://www.trtworld.com/king-idris-i-the-forgotten-first-and-last-king-of-libya

    2. «King Idris, ousted in ’69 by Qaddafi, dies in Cairo»

    3. «Gaddafi minister found jointly liable for 1984 killing of PC Yvonne Fletcher»
      https://www.theguardian.com/2021/11/16/gaddafi-minister-found-jointly-liable-for-1984-killing-of-pc-yvonne-fletcher

    4. «UK may reopen Libya embassy killing case»
      https://www.aljazeera.com//2011/8/27/uk-may-reopen-libya-embassy-killing-case

    5. «Libyan freed over killing of Yvonne Fletcher ‘for reasons of national security’»
      https://www.middleeasteye.net/news/libyan-freed-over-killing-yvonne-fletcher-reasons-national-security

    6. «When Israel Shot Down a Libyan Passenger Plane, but Refused to Take Responsibility»
      https://www.haaretz.com/2023/03/18/when-israel-shot-down-a-libyan-passenger-plane-but-refused-to-take-responsibility

    7. «Israelis down a Libyan airliner in the Sinai, killing at least 74 ; say it ignored warnings to land»

    8. «Forgotten History : The Case of Libyan Arab Airlines Flight 114»
      https://mediamonitors.net/forgotten-history-the-case-of-libyan-arab-airlines-flight-114

    9. I saved this original quote, but the Internet has been scrubbed of it and no current links exist.

    10. «Bad Lands : A Tourist on the Axis of Evil by Tony Wheeler»

    11. «The Israeli Deception That Led to the Bombing of Pan American Flight 103 Over Lockerbie»
      https://www.wrmea.org/the-israeli-deception-that-led-to-the-bombing-of-pan-american-flight-103-over-lockerbie-scotland

    12. «The Israeli Deception That Led to the Bombing of Pan American Flight 103 Over Lockerbie»
      https://www.wrmea.org/the-israeli-deception-that-led-to-the-bombing-of-pan-american-flight-103-over-lockerbie-scotland

    13. Lockerbie Bombing Suspect Released and Controversy Grows
      https://ratical.org/ratville/JFK/JohnJudge/linkscopy

    14. «Christine Grahame : Al-Megrahi is home. And he is innocent»
      https://www.independent.co.uk/christine-grahame-almegrahi-is-home-and-he-is-innocent

    15. «Christine Grahame : Lockerbie bomber Al-Megrahi is home. And he is innocent»
      https://www.belfasttelegraph.co.uk/christine-grahame-lockerbie-bomber-al-megrahi-is-home-and-he-is-innocent

    16. Gaddafi’s Libya https://www.ayupp.com/was-healthcare-electricity-free-in-libya-under-muammar-gaddafi

    17. «Ten Reasons Libya Under Gaddafi Was a Great Place to Live»
      https://www.africanexponent.com/ten-reasons-libya-under-gaddafi-was-a-great-place-to-live

    18. «Gaddafi’s ‘Amazonian’ bodyguards’ barracks quashes myth of glamour»
      https://www.theguardian.com/2011/09/07/gaddafis-amazonian-bodyguards-barracks

    19. «Education in Libya is free but inaccessible»
      https://mena.fes.de/education-in-libya-is-free-but-inaccessible

    20. «Libyan Rebels Form Their Own Central Bank»
      https://www.cnbc.com/id/42308613

    21. «Wow That Was Fast ! Libyan Rebels Have Already Established A New Central Bank Of Libya»
      https://www.benzinga.com/11/03/wow-that-was-fast-libyan-rebels-have-already-established-a-new-central-bank-of-libya

    22. Depleted uranium in children

    23. Hillary Clinton «We Came, We Saw, He Died» (Gaddafi)
      https://www.youtube.com/watch?v=6DXDU48RHLU

     

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • non seulment le Yahvisme et tribal,mais meme envers son "peuple élu", qui n'est pas tout être sentant, ni même seulement l'humanité, mais un peuple bien défini et racialement défini,  mais envers ceux-ci aussi il est sanguinaire et raciste :


    Le Reb Shonfeld apporte de nombreuses illustrations de la cruauté des sionistes à l’égard des juifs sur lesquels ils réélectionnéegnaient dans les ghettos.
    Que les juifs portés à l’assimilation aient en quelque sorte payé de leur vie pour que naisse un État juif fondé sur le rejet de l’assimilation et la pureté ethnique, cela est conforme au schéma biblique. La notion vient directement du Deutéronome :
    « Si ton frère, fils de ton père ou de ta mère, ou ton fils ou ta fille, ou l’époux que tu embrasses, ou ton ami le plus intime, essaie secrètement de te séduire en disant : "Allons servir d’autres dieux" […], Tu le lapideras jusqu’à ce que mort s’ensuive, car il a cherché à t’égarer loin de Yahvé ton dieu […]. Tout Israël, en l’apprenant, sera saisi de crainte et cessera de pratiquer ce mal aux milieu de toi. » (Deutéronome 13,7-12)
    Pire encore, si « dans l’une des villes que Yahvé ton dieu t’a données pour y habiter, des hommes, des vauriens, issus de ta race, ont égaré leurs concitoyens en disant : "Allons servir d’autres dieux" […], tu devras passer au fil de l’épée les habitants » et réduire la ville en cendres, afin qu’ « elle devienne pour toujours une ruine ». Voilà, conclut le passage, « ce qui est juste aux yeux de Yahvé ton dieu » (13,13-19).
    « Servir d’autres dieux », cela signifie rechercher l’assimilation avec les peuples hôtes. Aux yeux de Yahvé, les juifs assimilés méritent la mort, et leur mort doit servir d’exemple. Quand, au IIe siècle av. J.-C., des Israélites dirent : « Allons, faisons alliance avec les nations qui nous entourent, car depuis que nous nous sommes séparés d’elles, bien des maux nous sont advenus » (1 Maccabées 1,11), les fils de Maccabées alliés aux Hassidim « se composèrent une forte armée, frappèrent les pécheurs dans leur colère et les mécréants dans leur fureur ». Ils « circoncirent de force tous les enfants incirconcis qu’ils trouvèrent sur le territoire d’Israël » (2,44-46). Après quoi ils établirent leur théocratie.
    La Torah montre que le règne de terreur de Yahvé repose sur le sacrifice des juifs assimilationnistes. Dans le Livre des Nombres, lorsqu’un Israélite eut l’audace de comparaître devant Moïse avec sa femme madianite, Phinas, le petit-fils d’Aaron, « saisit une lance, suivit l’Israélite dans l’alcôve, et là il les transperça tous les deux, l’Israélite et la femme, en plein ventre ». Yahvé félicita Phinas d’avoir eu « la même jalousie que moi » et, en récompense, lui donna « pour lui et pour sa descendance après lui, […] le sacerdoce à perpétuité » (Nombres 25,11-13). Méditons sur ce fait que, selon la Bible, le sacerdoce aaronite était une récompense pour le double meurtre d’un Israélite assimilationniste et de sa femme non juive.
    L’histoire de l’Exode 32 est encore plus révélatrice. Après l’épisode du Veau d’Or, Moïse conspire avec les fils de Lévi qui se rallient autour de lui :
    « Il leur dit : "Ainsi parle Yahvé, le Dieu d’Israël : ceignez chacun votre épée sur votre hanche, allez et venez dans le camp, de porte en porte, et tuez qui son frère, qui son ami, qui son proche." Les fils de Lévi firent ce que Moïse avait dit, et du peuple, il tomba ce jour-là environ trois mille hommes. Moïse dit : "Vous vous êtes aujourd’hui conféré l’investiture pour Yahvé, qui au prix de son fils, qui au prix de son frère, de sorte qu’il vous donne aujourd’hui la bénédiction." » (Exode 32,27-29)
    Dans le Livre des Nombres, chapitres 16 et 17, un groupe de deux cent cinquante Lévites, dirigé par Koré, sont eux-mêmes exterminés pour s’être rebellés contre Moïse et Aaron. « Je vais détruire [cette communauté] en un instant », dit Yahvé, et « un feu jaillit de Yahvé, qui consuma les deux cent cinquante hommes porteurs d’encens » (16,20-35). « Le lendemain, toute la communauté des Israélites murmura contre Moïse et Aaron en disant : "Vous avez fait périr le peuple de Yahvé !" » Alors Yahvé dit : « Je vais détruire (cette communauté) en un instant », et une épidémie décima quatorze mille sept cents d’entre eux (17,6-14).
    Ce que ces épisodes soulignent, c’est que l’autorité de Yahvé et de ses élites représentatives (c’est une seule et même chose) est entièrement fondée sur la violence et la terreur contre les Israélites eux-mêmes. Les juifs qui défient leurs chefs et qui se socialisent avec leurs voisins non-juifs, qui mangent avec eux, qui se marient avec eux, et qui, en faisant tout cela, font preuve de respect envers leurs dieux, sont, selon l’idéologie biblique, des traîtres à Yahvé et à leur race, qui attirent sur leur communauté la colère de Yahvé et méritent d’être éliminés sans pitié. Leur extermination plaît à Yahvé et régénère le peuple.
    C’est peut-être là, au fond, la vraie raison pour laquelle les juifs d’Europe morts sous l’occupation nazie sont désignés comme un Holocauste. Un « holocauste » désigne dans la traduction grecque de la Torah le sacrifice propiatroire d’animaux, tués et entièrement consumés, offert par les prêtres à Yahvé, qui en apprécie « l’agréable odeur » (Genèse 8,21). Selon le livre d’Esdras, par exemple, un gigantesque holocauste de taureaux, béliers et agneaux fut offert à Yahvé par les Judéo-Babyloniens qui colonisèrent la Palestine avec le soutien politique, militaire et financier de l’empereur de Perse (Esdras 7,17).

    Partager via Gmail

    votre commentaire



  •  

     

     

     

     



    A tout juste 7 mois, Charlie McMillan a été élu maire honorifique de Whitehall, petit village du Texas. Protestants évangéliques, ses parents l’ont adopté à la naissance auprès d’une femme qui voulait au départ interrompre sa grossesse, et en font le nouveau visage de la lutte anti-avortement. 

    Le plus jeune maire des États-Unis se nourrit encore au biberon. Charlie McMillan, 7 mois, a été élu maire honorifique à 7 mois de Whitehall, son village du Texas. Il a été investi le 15 décembre lors d’une grande célébration. Le village étant rattaché à la commune voisine, il n'a aucune organisation politique propre. Mais le nourrisson est surtout devenu le nouveau visage de la lutte du mouvement anti-avortement, mascotte américaine. 

    Ses parents entendent peser dans le débat sur l'avortement 

    Les parents du petit Charlie, des protestants évangéliques, (ah bon ? je pensais que c'étaient des athées, ce serait plus logique , qui d'autres que des athées peuvent se rendre compte de l'horreur absolue qu'est la mort et la refuser inconditionnellement pour eux et pour les autres ?) l’ont adopté à la naissance auprès d’une femme qui voulait au départ interrompre sa grossesse. Ils ont acquis le nouveau titre de Charlie aux enchères, lors de la levée de fonds annuelle des pompiers. "L’année dernière j’avais perdu face à la femme du plombier pour être la maire de Whitehall. Quand nous avons adopté Charlie, nous avons pensé que ce serait génial de l’avoir en maire", se souvient Nancy, sa mère. 

    Le programme de "Mayor Charlie", comme on l’appelle aux Etats-Unis, inclut notamment le "droit à la vie". Ses parents comptent bien peser dans le débat sur l’avortement qui déchire le pays. Aux dernières présidentielles, ils ont voté pour Donald Trump qui s’est positionné contre le droit à l’IVG. Le plus jeune maire des Etats-Unis a été élu avec le slogan "Rendre l’Amérique plus gentille", clin d’œil à celui du président, "Rendre à l'Amérique sa grandeur". Mais les McMillan assurent toutefois que leur fils n’est ni républicain, ni démocrate.

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "quand je dis q'u'(il faut revenir à l'Etat-nation je veux dire qu'il faurt reconstituer es classes populaires tout simplement"
    Partager via Gmail

    1 commentaire
  • en effet !!! ilmet le doigt sur une des CLES les plus importante du FASCISME CAPITALISTE TOTALITAIRE que Klaus Schwab et ses "Young Leaders" font tomber sur nous !!! Mpoi je n'ai jamais fait ça, et d'abords je n'ai pas de téléphone portable ! et je ne paye JAMAIS par argent électronique, ceux qui ont eu la faiblesse (faiblesse de grenouille qui commence à cuire ) de faire ça von DEVOIR SE DEFAIRE  de cette habitude !!! absoolument, ça fait partie des positions clés VITALES suDE, et/ou par chèque papier !!

    ces petites âchetés-là ce sont elles qui font le lit du totalitarisme qui s'installe

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Le comportement des convaincus qui se font piquouzer me laisse perplexe.

    par Mohamed Tahiri

    Au début j'ai pensé que seule une certaine catégorie de la population était atteinte par la covédie et que cette catégorie de personnes se précipite à la première piqouzerie comme on va chez le curé pour soulager sa conscience. Dès que le jus expérimental est injecté, ces citoyens se sentent anoblis, adoubés par quelques manœuvrant à la tête du pays. Ils se comportent comme des nantis, des modèles d'exemplarité (comme les premiers allemands qui ont obéis à l’arrêté du 13 juillet 1933 de Wlihelm Frick ministre de l’Intérieur du Reich) qui ont gagné... un pass. Pardon. Qui ont gagné "le droit de vivre librement"! Mais je me suis trompé. Ce comportement n'est pas réservé à quelques hurluberlus d'une couche sociale. Toutes les couches sont atteintes. Cette covédie touche autre chose. Ce n'est pas le degré de culture d'une personne qui est atteint. Ce n'est pas le niveau social qui est visé, ce n'est pas le quotient intellectuel. Non. C'est tout autre chose. Et cet autre chose n'a pas d'étiquette, car personne n'a mesuré le niveau de conscience de la population d'un pays. Le niveau de conscience semble être le facteur déterminant.  Il se moque de qui vous êtes, d'où vous venez, de ce que vous êtes, ... il se moque de tous les repères sociétaux. Il en est d'autant plus insaisissable. Difficile de lui coller une étiquette. Les médias n'ont pas trouvé mieux que : "pro ou contra vaccin". Ils n'ont pas trouvé le point commun entre tous les covidés pro-vaccin et le point commun entre tous les contra-vaccin. Ils ont bien vu que tous les profils sociétaux,  culturels,  professionnels, etc., sont soit dans l'un, soit dans l'autre groupe. Les médias n'ont pas parlé de niveau de conscience. Et pour cause. Cela va bien au-delà d'une étiquette de parti politique,  de couleur de peau, de religion,  de niveau économique,  de niveau d'études... C'est au-delà de tout. Ils ont bien essayé d'assimiler les anti-vaccins à des mouvements politiques. Mais chacun d'entre nous peut vérifier que ce n'est pas là la réalité.
    Ils ne parlerons jamais de niveau de conscience. À vrai dire,  les médias et ceux qui font ces médias,  n'ont pas le niveau de conscience utile pour établir ce constat. Le pion, du pion, du pion du pion, on ne lui demande pas de réfléchir, mais d'exécuter. Alors c'est quoi le niveau de conscience ?
    Difficile d'y répondre. Mais jamais nous n'avons à ce point compris qu'il existe et qu'il se fiche totalement de qui vous êtes et d'où vous venez. Il est transversal.
    Le niveau de conscience peut être bas ou élevé. Voilà ce que nous constatons actuellement.
    Autre constat : plus le niveau de conscience est élevé,  plus l'ouverture d'esprit est grande. En d'autres termes,  plus vous êtes à l'écoute, curieux, méfiants, plus vous êtes ouverts. Cette ouverture fait appel à un niveau de conscience. Un humain qui doute, réfléchi,  recherche, discute, est un être qui cultive son niveau de conscience.
    Aujourd'hui cette aptitude porte le nom de complotiste ! C'est le terme convenu à présent pour désigner une personne qui réfléchi et qui doute. Curieux, mais pas tant que ça, puisque ce sont des humains avec peu ou pas de conscience qui ont créé cette étiquette.

    Maintenant,  avez-vous remarqué dans votre entourage où va se nicher le niveau de conscience le plus élevé ? Il est là où on ne s'y attendait pas.

    En effet ! Mon artisan M. a quitté l’école jeune sans aucun diplôme, mais il est conscient et critique, par contre plein de profs, persuadés d’avoir par leur diplôme et leur métier un adoubement de droit divin qui les met du côté « du Vrai du Beau et du Bien » et qui se croient par conséquent « de gôôche » par définition, sont outre d’infects social-traîtres réactionnaires, sont des collabos de première soumis à « not’ bon roi », et tellement fanatiques, qu’aucune discussion n’est possible avec ces gens. Etc.
    Que de surprises ! On pensait qu'untel serait plus ouvert alors que c'est l'autre duquel on n'espérait rien qui fait preuve d'ouverture d'esprit. Bref. Cette fenêtre sur la conscience est surprenante. Mais c'est elle  qui nous pousse à nous révolter, à dire non,

    [ah ! Ah ! Là on est en plein dans Michel Terestchenko et son incontournable livre «un si fragile vernis d’humanité »]
    à remettre en question face aux gens de peu de conscience. Alors le niveau de conscience pourrait se mesurer à l'aune de l'intelligence de la Vie et du respect de celle-ci.[comme Giuseppe Belvedere] Car j'ai bel et bien constaté que ce qui me différencie réellement des humains qui ne doutent de rien en ce moment,  c'est mon empathie pour mon prochain et encore plus les valeurs que je porte. Car pour moi, la liberté ne s'achète pas à coup de piquouzes. Elle ne se mesure pas en points sur un carnet de vaccination. Elle ne s'exprime pas en QR code. [tout ça au contraire ne peut susciter que le dégoût le plus profond! comme les couches-culottes des nazis covidistes] La liberté ne m'est pas donnée. La liberté est une loi universelle. Elle se fiche de ce que quelques-uns voudraient me faire croire. J'ai ma propre conscience et elle me dicte que je dois veiller à ce que mon intégrité soit respectée.

    Ceci est bien entendu totalement saugrenu à l'époque que nous vivons.
    Cette société s'est construite sur le manque de conscience. Qui n'a pas conscience de sa valeur et de la valeur de la Vie, ne peut voir et comprendre qu'il est en ce moment le pantin de quelques criminels bien rodés dans la manipulation psychologique. Avoir peur d'une coviderie n'est pas un signe de maturité. C'est un signe de faiblesse dû à un manque de conscience. Et la raison à déserté ces esprits. Le défi ? Prendre conscience de sa propre valeur pour ne plus tomber dans les pièges de la manipulation. Savoir qui on est, est une force. Savoir ce qui est acceptable pour soi et ce qui ne l'est pas, forge cette force.
    N'est manipulable que celui qui n'a pas de conscience.

    petite fille sautant à la corde dans la rue Lester Talkington

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • L'intelligence histoirique et psychologique permet de comprendre

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • la "société ouverte" de Soros, en fait ce n'est pas une societé ouverte du tout ! au contraire ! partout de vigiles privés, partout des caméras de vidéosurveillance, partout des QR-codes, partout des digicodes, tous les accès à tout totalement privatisés et "sécurisés", c'est à dire fascistes. Rien que des gorilles privés, et des interdits à tout bout de champ, censure, pour tout  et à chaque moment il faut montrer patte blanche, tout est devenu ultra-compliqué, et réservés aux collabos bien obéissants. Rien que des interdits, de la NORMALISATION, de l'obéissance, de la peur de l'insécurité, du pouvoir capitaliste intrusif et totalitaire, la société de Soros et compagnie, n'est pas du tout ouverte !!

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • (et quoi qu'il ait privatisé son pays, il a gardé quelque chose de communiste  et de social quand-même)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • site de merde qui rend les vidéos filiformes et minuscules !!! capitalisme totalitaire qui les censure !!!!!! et les empêche de fonctoinner !!!! pour qu'il 'y ait que leur discours Goebbelsien qui passe !!!

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • https://ruclips.net/video/1VGphNuUn3A/la-matinale-07-03-dieudonn%C3%A9-l%E2%80%99entretien-interdit.html

    à toutes les époques l'esclave qui se met à faire rire les autres esclaves, ça dérange le maître !

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • https://reseauinternational.net/vivre-lagonie-israel-interdit-les-anesthesiants-a-gaza/

    et le monde entier fêtera sa mort, comme les nazis ils ont découvert l'art de se faire vomir par tous les humanistes de toute la terre

     

    https://twitter.com/galamiou/status/1765849249642635597

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • sur France Culture toujours les discours « bien-pensants » sur l’acceuil des immigrés. Mais ce que les gens ne remarquent pas en général c’est qu’il y a une tâche noire dans ce discours ! une question qui n’est jamais posée, un point qui n’est curieusement jamais abordé, comme une médecine qui ne s’occuperait que de prôner de l’aspirine mais ne parlerait jamais de chercher la cause de la maladie, en fait c’est bizarre, oui ces gens « humains comme toi, etc, etc » c’est sûr aimeraient bien ne pas être repoussés et pouvoir être accueillis, mais aussi l’immense majorité d’entre-eux auraient déjà préféré NE PAS AVOIR EU à QUITTER LEURS FOYERS ET LEUR PAYS ! Or, curieusement ce point-là on ne l’aborde pas, cette question : pourquoi ? On ne la pose pas. Peut-être parce que derrière les beaux discours moraux il y a des intérêts financiers ? Peut-être parce que poser la question du pourquoi mènerai à trouver les responsables des causes, et que « on » ne veut surtout pas qu’on parle de ça …. Ni qu’on éclaircisse les tenants et aboutissants.

    Or c’est comme en médecine la plus importante question ça ! (et la plus morale en fait) Certes les tracas immédiats et individuels des intéressés est important, mais si on veut réfléchir un peu plus profondément, et pas simplement se laisser manipuler, il y a la question des causes qui conduisent à cette situation, non ? (et peut-être les intérêts de ceux qui en profitent et veulent continuer à en profiter https://hdclips.top/hd-videos/IaAdwbkWzW0/fran%C3%A7ois-asselineau-ce-pacte-sinscrit-dans-le-principe-de-la-mondialisation lisez aussi les commentaires - NAIRU ! vous connaissez ?
    (en passant, remarquez que le seul à faire une critique DE GAUCHE, de lutte de classes, du problème de l'immigration c'est François Asselineau :

    "Ce qui vaut dire qu’il serait normal que les êtres humains seraient des esclaves du XXIè siècle, une espèce de traite négrière du XXIè siècle, où on organiserait régulièrement des transferts de population pour satisfaire les intérêts des grandes entreprises, et surtout des actionnaires des grandes entreprises. Tout le monde sait bien que si Mme Merkel a autorisé 1 millions de personnes à venir s’installer en Allemagne, c’était pour peser sur les salaires et à la demande du patronat allemand.» )

     

    http://enuncombatdouteux.blogspot.com/2009/05/le-nairu-non-accelerating-inflation.html

    et ici le commentaire du 23ème point : https://hdclips.top/hd-videos/11MlD8xAJUQ/actu-au-scalpel-28-giletsjaunes-acte-4-et-charte-des-25-revendications ). Et si ceusses qui parlent si abondamment des symptômes s’abstiennent soigneusement de rappeler qu’il y a des causes, et d’en chercher les racines, et les profits, il y a peut-être une raison pour ça, une raison honteuse peut-être.

    http://www.voltairenet.org/article201687.html

    et

    Dans les faits, on assiste aujourd’hui à une navette : les Occidentaux envoient des armes dans les régions qu’ils détruisent et reçoivent en retour les réfugiés qu’ils font fuir de chez eux
    bien résumé !
    http://www.voltairenet.org/article204270.html

    (sans oublier des raisons honteuses du côté des pourris et des collabos de là-bas d'ailleurs, et là Kémi Seba parle un langage de vérité et sans concession :

    https://www.youtube.com/watch?v=5MTA3tc5DZg[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=5MTA3tc5DZg[/youtube]

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Extrait du site http://www.syti.net/Topics.html  qui nous détaille et analyse la société où nous vivons:

    La vidéosurveillance
    .......

    Une fonction encore plus dangereuse est actuellement intégrée dans les logiciels d'analyse des images. Aux Etats-Unis et en Europe, des centres de recherche travaillent à la mise au point de logiciels qui permettent d'identifier des "comportement suspects" d'individus dans une foule, et de transmettre automatiquement une alerte avec localisation aux policiers. Le logiciel permet de distinguer des personnes qui convergent et se rassemblent en un lieu, une personne qui dépose un objet à terre (qui peut donc potentiellement être une bombe), un rôdeur qui s'arrête et change de trajet continuellement au lieu de marcher régulièrement dans une direction précise, ou encore une personne dans un hall qui semblerait attendre à l'écart.

    On peut imaginer les conséquences des alertes déclenchées par ce type de logiciel. Tous ceux qui ont un comportement un tant soit peu différent du "troupeau" risqueront d'être abattus par des policiers ayant l'ordre de tirer directement à la tête pour éviter tout risque d'attentat, comme ce fut le cas à Londres en Juillet 2005 (lorsque des policiers anti-terroristes à Londres avaient exécuté de 6 balles dans la tête un  brésilien innocent identifié à tort comme terroriste potentiel).

    On peut aussi imaginer les utilisations qui seront faites de ce logiciel dans les entreprises, pour épier et analyser les moindres faits et gestes des salariés.
    http://globalpresse.wordpress.com/2012/12/19/2013-comment-leurope-se-prepare-a-espionner-ses-citoyens/#more-15664



     et si peu de gens réagissent!! après il sera trop tard.

    "Lorsque les scientifiques, les ingénieurs et les politiques font bloc, ça ne présage en général rien de bon... pour les humains. Voir les précédents historiques : nazisme, communisme, Inquisition (les docteurs sont des théologiens). " (Bernard Charbonneau)

    et n'oublions pas surtout que :
    Les moutons robots qui acceptent le fascisme progressif sont aussi dangereux que nos décideurs politiques.

    image33.png

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Partager via Gmail

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique