• alors que l' "Occident" etouffe sous la CENSURE des forces CAPITALISTES à la Klaus Schwab OTAN Davos Bill Gates, et tout ça. En Afrique les médias font encore tranquillement leur boulôt ! Et débattent ! et ne croient pas sur paroles ce que disent les autorités, mais analysent, par exemple avec le bon sens de l'Inspecteur Colombo !

    Alors que les "médias français se couchent toute honte bue !!

    alors vous comprenez qu'il faut écouter les mesures préconisées par Etienne Chouard

    https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/chouard-bonne-constitution-empeche-accaparement

    et plus généralement se souvenir que “Maximiser la vertu et minimiser le vice”, qui “existent en tout individu”, est toujours possible, selon Chouard

    alors que le capitalisme,(et l'élection !) a pour effet de maximiser le vice et minimiser la vertu !

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  • donc dans la vidéo ci-dessous le commentateur dit que la vision catholique de la vie humaine est une vision où celle-ci est améliorée glorifiée, etc et tous les commentaires qui suivent sont de la même eau, il oublie de dire l'essentiel : pour une vision religieuse (et pas seulement catholique, toutes les religions, à part le Yahvisme antique) la vie humaine (et normalement toutes vie consciente, c'est une grave lacune mais c'est un autre sujet, laissons) est ETERNELLE. En fait on sent très bien que ce qui embête les traditionalistes (et par le même mouvement leurs ennemis aussi forcément) c'est un débat sur une question de "valeurs" au sein de cette vie temporaire et mortelle, mais à cela MONTAIGNE a apporté une réponse radicale et de bon sens :

    "Vivre plus ou moins longtemps c'est tout un au regard de la mort, car le plus et le moins ne s'appliquent pas à quelque chose qui n'est plus".

    et le plus grand historien anglais du XIXè sièle HT Buckle :

    "Si la vie éternelle n'existe pas, alors il importe peu que quoi que ce soit d'autre soit vrai ou faux" .

    la vie humaine, toutes les vies humaines et toutes leurs réalisations, leurs "vérités éternelle" qui n'existent que dans leur cerveaux, tant qu'ils sont conscients, ne sont rien que "l'aventure falôte du protoplasma" dont parle Jean Rostand "promises dès le départ à l'échec final et à la ténèbre infinie".

    "tout doit être ramené à l'aune de la raison" mais justement la raison, le bon sens le plus drastique (Montaigne en témoigne bien) nous dit que et la vie humaine et l'économie et la Civilisation et tout le tintouin, une fois morts, c'est à dire dès la naissance puisque condamné à mourir ("elles accouchent à cheval sur une tombe ouverte" dit Samuel Beckett) ne sont que néant.
    Alors les débats entre la maçonnerie et l'Eglise traditionnelle ou bien ils sont sur l'existence ou non de la vie éternelle ou bien ils ne sont rien; et tout autre débat n'est que des états d'âmes de bourgeois, comme je le dis à propos du "genrisme" "woke" qui bien entendu n'a rien à voir avec le conflit droite/gauche, mais ne sont que de ridicules amusettes internes à la bourgeoisie, (donc à la droite).

    sur un autre sujet , dans la séquence qui suit minutes 24 et 25 il est vrai qu'une Eglise qui obéit religieusement aux autorités civiles est une hérésie, pas chrétienne (ni humaniste non plus d'ailleurs ! le sort de Giuseppe Belvedere le montre), des evèques, des papes sont MORTS ASSSASSINES ou EXECUTES (ou condamnés à de la prison dans des cas récents) pour avoir refusé de se plier sous les autorités civiles. Et une Eglise  qui se conforme aux principes du "monde moderne" n'est rien d'autre que nazie, car comme l'a montré le philosophe marxiste polono-anglais Zygmunt Bauman le nazisme est le fruit de "l'esprit de la modernité" "quand il n'y a rien pour l'arrêter".

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  •  

    comme dit un commentateur sous la fameuse vidéo de BIGARD chez France Soir  : (journal fondé en 1942 dans la Résistance)

    "La situation actuelle rappelle un avant goût des temps les plus noirs de notre époque. Les lanceurs d'alerte rentrent déjà dans l'histoire.
    Nos enfants se souviendront de cette époque. Courage et continuez à éveiller, alerter, sensibiliser, mobiliser : résistance face à un fascisme d'un nouveau genre et qui ne dit pas son NOM."

     

    CI-DESSOUS l'ANALYSE DE MICHAEL PARAIRE, éditeur :

    Le Covid-19 et le fascisme 2.0

    Le fascisme se conjugue au futur. Hier, il se conjuguait au passé. C’était l’époque de Franco en Espagne, de Mussolini en Italie, d’Hitler en Allemagne. Les faisceaux s’appelaient alors la Phalange, les Chemises noires, les SA ou Sections d’Assaut. En France aussi, pendant la seconde guerre mondiale nous avons eu nos fascistes avec le PPF de Doriot ou la milice de Darnand. Tous ces noms, tristement célèbres, ont durablement marqué notre mémoire. Ils ont laissé une trace de feu et de sang dans les pays où ils se sont implantés. Ils ont aussi laissé une trace indélébile car il n’est pas possible d’oublier l’étendue des crimes perpétrés par les différents fascismes, en Europe, au XXeme siècle. En France les assassinats se sont comptés par dizaine de milliers, en Espagne centaine et en Allemagne par millions. C’est le fameux « passé qui ne passe pas » et lorsqu’on regarde les chiffres on comprend pourquoi.

    Pourtant, à l’heure actuelle, les mouvements qui se réclament des mouvements fascistes anciens

    (1.0) sont totalement résiduels. Il suffit de lire un ouvrage comme Mon Cousin le fasciste (2017) de Philippe Pujol pour comprendre que le fascisme historique a été, fort heureusement, ramené à l’état de folklore. On ne peut pas aujourd’hui – sauf à se réclamer d’une définition métaphorique, non-historique du concept de fascisme – parler sérieusement de « danger fasciste » ou de « risque fasciste » à l’ancienne pour décrire la situation politique des pays d’Europe. En lisant Mon cousin le fasciste on s’aperçoit en effet qu’il n’y a dans ces mouvements héritiers du fascisme « old school » aucune force vive véritable. Quelques dizaines de jeunes paumés qui jouent à la guerre, dans des pseudo-camps de scouts fascistes et de vieux nostalgiques de la guerre d’Algérie 1 ne constituent aucun danger politique réel – et cela même si on peut, à bon droit, être inquiet des vagues réactionnaires qui fleurissent un petit peu partout sur le continent. On est cependant très loin de la puissance des fascismes historiques, qui étaient, au contraire, des mouvements de masse, composés pour la plupart d’hommes jeunes, qui avaient fait leurs armes lors de la première guerre mondiale, et qui avaient envie d’en découdre avec le monde entier.

    On oublie souvent, en effet, que le gros des troupes fascistes, des fameux « faisceaux » italiens, ou allemands étaient composés de soldats perdus, de gueules cassées, de guerriers traumatisés qui avaient appris à la guerre de 14-18, le goût de la violence, du meurtre et du sang. Le fascisme historique est en effet l’une des conséquences, une sorte d’effet secondaire de la guerre de 14-18, un « effet boomerang » qui a vu revenir, dans l’entre-deux guerre, les humiliés, ceux qui croyaient, comme en Allemagne, avoir été poignardés dans le dos – c’était la thèse de Ludendorff –, ou qui se sentaient trahis par « ceux de l’arrière », rongeant leur frein dans l’aigreur et l’amertume. Dans L’Italie de Mussolini, vingt ans d’ère fasciste Max Gallo rappelle ce lien originaire des mouvements fascistes avec la première guerre mondiale : « Souvent le guerrier de retour n’a pas de diplôme : devant lui les portes se ferment, les décorations ne servent à rien. (…) Lui, il était dans les tranchées, mais qui le sait encore ? S’il le peut, il retourne à l’université (au lycée vous voulez dire ? l’université à ‘époque seuls la haute bourgeoisie y allait, et jevous rappelle que le CAP est un diplôme (un CAP d’aide-comptable vous permettait d’entrer dans une entreprise, et de peut-re finir chef comptable de la boite), le BEPC est un diplôme (qui ouvrait à une carrière d’instituteur) le Bac estun diplôme, bandes de bourgeois racistes !), l’étude lui semble vaine, il s’aigrit » 2.  L’aigreur, le ressentiment, le déclassement produits par la guerre ont joué un rôle fondamental dans la constitution des mouvements fascistes.

    Mais, s’il est vrai que les conditions historiques ne sont plus présentes pour qu’émerge à nouveau un danger fasciste en Europe s’ensuit-il que l’idée du fascisme politique qui se caractérise par la volonté d’un contrôle d’Etat total sur l’ensemble de la population ait complètement disparu de la sphère politique ? Si le fascisme ne se conjugue plus au passé, se peut-il qu’il se conjugue au futur ? Dans quelle mesure l’épidémie de Covid-19 peut-elle être l’occasion de faire renaître de ses cendres le vieux rêve fasciste du contrôle d’Etat total 3 ? Quelle tactique faut-il adopter pour résister au fascisme du futur ?

    Marinetti et le fascisme du futur

     

    On l’a oublié, mais le fascisme n’est pas seulement une idée du passé. C’est aussi une idée du futur, ou plus exactement, une certaine idée du futur. [absolument ! Et une idée scientiste ! Surtout! regardez le nazisme ! « l’esprit de la modernité,quand il n’y a rien qui l’arrête »] dit Zygmunt Bauman. ] Dans la généalogie intellectuelle du fascisme on ne trouve pas seulement les synthèses bancales de Mussolini qui avec son parti, le PNF ou Parti National Fasciste,prétendait opérer une révolution sociale, en vue de construire un Etat-national, fort, conquérant, impérial. D’autres intellectuels ont contribué à la constitution de l’idéal fasciste et, parmi eux, l’écrivain Filippo Marinetti (1876-1944), auteur d’un Manifeste du futurisme(1909) qui a fait date. Dans cet ouvrage Marinetti qui créa les faisceaux futuristes un an avant les faisceaux fascistes de Mussolini déclare : « Notre cœur n’a pas la moindre fatigue ! Car il s’est nourri de feu, de haine et de vitesse ! ». De même il dit : « Le Temps et l’Espace sont morts hier. Nous vivons déjà dans l’absolu, puisque nous avons déjà créé l’éternelle vitesse omniprésente ». Un trader de marché à haute fréquence, shooté à l’accélération de la mondialisation des capitaux, les yeux rivés sur ses algorithmes, ne dirait pas mieux.

    Marinetti dans son Manifeste développe donc un véritable culte de l’accélération, s’appuyant sur les développements de l’industrie automobile. Il y fait l’éloge de la modernité industrielle, de la civilisation de l’acier vouant, au passage, le passé aux poubelles de l’histoire : « Admirer un vieux tableau, c’est verser notre sensibilité dans une urne funéraire, au lieu de la lancer en avant, par jets violents de création et d’action. » ; « Boutez donc le feu aux rayons des bibliothèques ! Détournez le cours des canaux pour inonder les caveaux des musées ». Eloge délirant du futur, mépris du passé, culte de l’accélération constante, de la modernité furieuse : n’est-il pas troublant de trouver chez Marinetti, tous les ingrédients du modèle prospectiviste tel qu’il sera développé chez Toffler, dans Le Choc du futur et chez ses épigones ?

    Mieux même, on trouve chez Marinetti le thème de l’homme nouveau, produit d’une hybridation , d’une fusion entre l’homme et la machine qui n’est pas sans rappeler les délires « transhumanistes » des futurologues du genre de Nick Bostrom, le fondateur de la World Transhumanist Association, rebaptisée aujourd’hui Humanity +. Ainsi dans Mafarka le futuriste (1910), Marinetti se plaît à rêver d’un nouveau « Prométhée pour le futur ». En même temps qu’il fait l’apologie de la vitesse, de l’élite, de la haine du passé, de la civilisation industrielle et d’un avenir libéré des vieilles études « humanistes », Marinetti se plait à glorifier l’idée de « métallisation du corps humain » à travers son héros Mafarka, engendrant par parthénogénèse un être ailé « métallique et immortel ». On retrouve bien là le thème délirant du « surhumain » ou du « surhomme » cher à Nietzsche – dont la pensée nourrit également, en son temps, l’idéologie fasciste allemande et italienne –, mais revu et corrigé aux goûts de la civilisation industrielle.

    Avec la révolution numérique, cette fameuse « révolution technologique 2.0 », le rêve de Marinetti est devenu réalité : toutes les possibilités d’hybridation entre l’être humain et l’intelligence artificielle sont aujourd’hui sur la table. Nick Bostrom, l’un des auteurs de la Déclaration transhumaniste qui propose de se « servir de la technologie pour accroître les capacités physiques, mentales et reproductives de l’être humain » entrevoit donc avec impatience l’émergence d’une nouvelle humanité, mi-homme, mi-cyborg, produite mécaniquement par les avancées de la technoscience. En réalité il n’y a là qu’un nouveau rêve fasciste, la perspective d’une nouvelle humanité pour le futur, régénérée, supérieure etc… Bostrom mais aussi les autres prospectivistes, constituent, comme Marinetti en son temps avec le futurisme, une forme d’avant-garde, l’avant-garde du fascisme 2.0, celui qui se développera dans les temps à venir et que les décideurs contemporains appellent de leurs vœux.

    Prospectivisme et fascisme 2.0 

    Car il ne faut pas s’y tromper, partout sur la planète, mais aussi au sein des plus hautes sphères dirigeantes, la séduction pour le projet totalitaire d’une humanité régénérée, d’un Etat mondial capable de contrôler l’ensemble des rapports politiques et sociaux, est à la mode. Au sein de ce que nous avons appelé les « appareils idéologiques de l’Etat du futur », à la Rand Corporation, au Santa-fé institute, au MIT, à l’Institut pour le futur de l’humanité de l’université d’Oxford mais aussi dans tous les cabinets prospectivistes des grandes firmes nationales et internationales on se passionne pour l’utopie néo-futuriste. Les intellectuels de la Gauche prolétarienne qui avaient participé au numéro des Temps modernes, la revue de Jean-Paul Sartre sur le thème « Nouveau fascisme nouvelle démocratie » n’avaient pas tort : le fascisme ne vient pas d’en bas, de la base, il vient d’en haut, des « think tank » du futur alliés aux différents pouvoirs d’Etat, partout sur la planète.

    Avec le paradigme de l’accélération en poche, en marchant sur les traces d’Alvin Toffler, l’élite de l’intelligence mondiale travaille à dessiner les plans du futur, les scénarios de l’avenir, les modèles de la vie de demain. Or si tous ces scénarii étaient fondés sur une recherche authentique, une interrogation véritable sur l’avenir incertain, – sur ce qu’Aristote appelait les « futurs contingents » dans De L’Interprétation –, il n’y aurait rien à redire. Mais, dans la mesure où l’image du futur « heureux » est constituée à l’avance, où le modèle du futur est en quelque manière préfabriqué, on ne peut que douter de la validité et du caractère bienveillant de ces réflexions.

    Les prospectives futuristes, – que ce soient celles de Jacques Attali avec son modèle de « Gouvernement mondial fédéral » imaginé dans Demain qui gouvernera le monde ? (2011) ou de Nick Bostrom qui se plaît à rêver d’une nouvelle ère, celle de l’ « explosion de l’Intelligence Artificielle » dans Super Intelligence (2017) –, constituent moins des pistes pour la réflexion sur l’avenir que des prophéties autoréalisatrices. En réalité Jacques Attali aspire ardemment à l’avènement du futur Etat mondial dont il croit avec une certaine naïveté qu’il sera la panacée à tous les problèmes, toutes les contradictions liées à la mondialisation hyperaccélérée. De même Nick Bostrom appelle de ses vœux l’émergence d’une nouvelle humanité, super intelligente, ayant opéré la symbiose avec l’intelligence artificielle. Nick Bostrom souhaite même que l’intelligence artificielle prenne le pouvoir, la question n’étant plus « quand » mais « comment » s’adapter au mieux à l’avènement de la nouvelle ère, entièrement contrôlée par le nouveau pouvoir numérique.

    C’est à ce niveau précis que l’on voit converger toutes les forces, toutes les directives pour la constitution d’un nouveau futur, totalement autoritaire et qui ne laissera aucune place ni à l’initiative ni à la décision humaine. Exit le discours sur la liberté individuelle et les droits de homme. Bienvenue dans le monde nouveau du contrôle total. Avec le paradigme de l’accélération on court à grandes enjambées vers un futur entièrement administré, une société de surveillance absolue, où l’intelligence artificielle serait en quelque manière au service de l’Etat global mondial, pour le plus grand bonheur des peuples, évidemment.

    Un documentaire récent de Sylvain Louvet, intitulé Tous surveillés-7 milliards de suspects met en lumière les liens qui unissent les pouvoirs publics aux grandes entreprises productrices de logiciels de reconnaissance faciale, à l’univers de l’Intelligence artificielle, la fameuse IA. La Chine de XI Jin Ping y apparaît comme étant à la pointe de la « dictature numérique » 4 avec ses 600 millions de caméras, et son système de « crédit social » qu’elle tente d’exporter à travers les « Nouvelles Routes numériques de la soie » – un joli nom pour désigner le marché du contrôle des populations par les technologies de pointe. Il ne manque à cet intéressant documentaire que l’analyse du discours prospectiviste pour comprendre où ces politiques d’Etat vont nous mener. Fusionnant avec l’utopie de l’Etat mondial du futur, celles de l’Intelligence Artificielle et de la transhumanité convergent pour former l’un des plus incroyables projets qui ait jamais été imaginé : celui d’une société mondiale eugéniste entièrement contrôlée numériquement. Marinetti et Mussolini en rêvaient, les appareils idéologiques d’Etat du futur sont en train de le réaliser.

    Peu importe d’ailleurs que ces intellectuels ou ces institutions futuristes soient de bonne ou de mauvaise foi. Peu importe que Jacques Attali pense participer avec son association « Positive planète » et ses ouvrages de prospective à la construction d’un « Grand Etat mondial » de type keynésien destiné à faire face aux crises et à soulager les pauvres de leurs misères. Peu importe aussi que Nick Bostrom soit persuadé de rendre l’humanité augmentée, pucée, surveillée, plus grande et plus heureuse. Peu importe également que La Fondation Bill et Melinda Gates 5 se comprenne comme essentiellement philanthropique et tournée vers les autres. Peu importe enfin que les autorités publiques mettent en place des outils de surveillance partout dans l’espace public pour assurer notre sécurité. L’Enfer est pavé de bonnes intentions. [Hitler aussi se présentait pavé de bonnes intentions!]

    Pire encore il semble qu’il y ait dans toute cette histoire une sorte de « Ruse de la raison fasciste », comparable à ce que Hegel avait appelé dans La Raison dans l’histoire, la « Ruse de la raison ». Pris individuellement chaque prospectiviste, chaque décideur, chaque idéologue du futur a le sentiment de poursuivre des buts qui correspondent à ses centres d’intérêts personnels : soulager la misère pour Jacques Attali, faire bénéficier l’humanité des progrès de la technologie pour Nick Bostrom, soigner la population mondiale en universalisant les vaccins du futur pour Bill Gates, augmenter la sécurité de la population pour les pouvoirs publics qui travaillent main dans la main avec les grands groupes de sécurités et d’armement sur les questions de terrorisme. Mais en réalité tous travaillent à l’établissement d’un projet de domination du monde qui les dépasse totalement. Ils ne sont que des marionnettes, des pions semi-conscients, participant à un projet délétère, celui de l’avènement d’une nouvelle ère, celle du fascisme numérique d’Etat.

    Le Covid-19 et le fascisme numérique d’Etat 

    Bien que la crise du Covid-19 manifeste, comme nous avons déjà eu l’occasion de le montrer, une profonde défaillance du pouvoir d’Etat, qui s’est littéralement liquéfié pour reprendre le vocabulaire de Zygmunt Bauman, elle est aussi, paradoxalement, l’occasion pour le grand projet de domination des peuples, de reprendre de la vigueur, de l’élan, de la force. Loin d’analyser la crise comme le produit des conséquences liées à l’hyperaccélération mondiale, les dirigeants de la modernité liquide semblent décidés à faire avancer encore le projet de mainmise du pouvoir sur les populations.

    En France on ne parle plus aujourd’hui que de traçage numérique des personnes atteintes de Covid-19, – via l’application StopCovid – avec toutes les dérives que cela suppose en termes de surveillance généralisée. Il n’est peut-être pas loin le temps où les malades du Covid-19, – un peu comme les personnes malades dans le roman d’anticipation-fiction de Kurt Steiner, Brebis galeuses, – seront poursuivies, voire, éventuellement retirées de la circulation sociale. A cela on peut ajouter la commande massive par le gouvernement français de 650 drônes, en sortie de confinement, pour contrôler la population et ce n’est certainement qu’un début. La France marche dans les pas de la Chine. Par l’intermédiaire du « biopouvoir » théorisé en son temps par Michel Foucault, c’est-à-dire du pouvoir sur  la vie « des corps et la population », les stratégies de domination du monde vont se renforcer, parallèlement au développement à venir des nouvelles technologies numériques. L’avenir de nos dirigeants est à celui qui réussira la meilleure synthèse entre biopouvoir, modernité liquide et contrôle numérique fascisant des populations.

    Non contents donc d’avoir envoyé, – avec leur utopie dangereuse de l’accélération croissante des échanges mondiaux –, la voiture de l’économie mondiale dans le fossé, les décideurs de l’ère de la modernité liquide voudraient bien se refaire une santé publique sur le dos de la « révolution numérique » dont ils ont tant chanté les louanges. En sortie de crise, plutôt de remettre en cause les fondements hyperaccélérés de la mondialisation, les gouvernants « orientés futurs » souhaiteront mettre en place les institutions d’un contrôle mondial renforcé. Déjà Emmanuel Macron, le président de l’accélération, nous promet plus de drones et plus d’UE, pour notre salut, bien évidemment. [comme toujours !]

    Peu importe que la voiture sociale ait versé, comme le bolide de Marinetti, dans le fossé : « Oh, maternel fossé, à moitié plein d’une eau vaseuse ! Fossé d’usine ! J’ai savouré à pleine bouche ta boue fortifiante ». Savourons l’échouage de notre civilisation avec le Covid-19. Ne nous inquiétons pas, ne nous laissons pas aller au pessimisme, car d’énormes « éperviers de fer » nous dit Le Manifeste du futurisme, viendront repêcher « l’automobile, pareille à un grand requin embourbé », après avoir abandonné « sa lourde carrosserie de bon sens et son capitonnage de confort ». Sauf que les « éperviers de fers » ne sont plus les grues d’hier, ce sont les outils de l’intelligence artificielle de demain et les grandes institutions de l’Etat mondial en devenir. Ce sont ces structures-là qui sont censées nous sortir de l’ornière. Quant au « bon sens », il est clair que nos dirigeants l’ont abandonné depuis longtemps.

    En sortie de crise, loin de remettre en cause le logiciel de la « mondialisation heureuse » l’establishment de la modernité voudra nous vendre plus de mondialisation, plus de révolution numérique, plus d’intelligence artificielle, plus de logiciels de reconnaissance faciale, plus d’Etat planétaire, dans le but officiel de stabiliser les risques liés à l’hyper-accélération. Jamais les décideurs ne renonceront aux gigantesques profits que cette mondialisation a rendus possibles. Jamais ils ne voudront admettre leur erreur. Pour résister aux effets destructeurs de la chimère économique qu’ils ont eux-mêmes créée, ils proposeront d’accélérer la construction de la nouvelle chimère politique, celle de l’Etat mondial appuyé sur les nouvelles technologies liberticides.

    Bien sûr ce ne sera pas facile, car chaque Etat, à l’intérieur de ce mouvement de centrifugeuse accéléré qu’est la mondialisation, voudra prendre la direction des opérations. Entre la Chine et les Etats-Unis la lutte sera rude pour prendre le leadership du monde futur. L’Europe, toujours à la peine, de plus en plus affaiblie, devra choisir son camp. Mais peu importe, l’essentiel est que tous les dirigeants et les peuples adhèrent au projet d’unification global du monde, qu’ils adhèrent aux valeurs de la société de l’éphémère de Toffler, qu’ils se rangent du côté de l’ordre numérique, du transhumain, de l’Intelligence artificielle de Nick Bostrom, qu’ils soient, un jour, prêts à voter pour l’Etat fédéral mondial de Jacques Attali.

    Stratégie de rupture et futuro-fascisme

    Nous sommes à la croisée des chemins. Devant nous s’ouvrent plusieurs routes. D’une part celle, autoritaire et totalitaire, de l’Etat mondial du futur. Pour construire cette route, pour mener à bien ce grand chantier, des forces intellectuelles et matérielles considérables se sont réunies et agglomérées. [cf Jean Monnet]Elles forment ce que nous avons appelé les « appareils idéologiques d’Etat du futur ». Avec les prospectivistes elles ont trouvé leur avant-garde, leur fer de lance. Face à l’incertitude grandissante du monde – incertitude que la religion du futur, avec son culte de l’accélération, a largement contribué à accroitre – elles proposent des solutions très inquiétantes de contrôle autoritaire des populations.

    D’autre part on voit émerger avec les revendications autour de la démondialisation, de la décroissance, des circuits courts ou des exigences de contrôle drastique des nouvelles technologies, mais aussi autour des revendications politiques pour plus de démocratie directe, un chemin alternatif pour l’avenir de l’humanité. Plutôt que de chercher en permanence à contrôler un processus incontrôlable, en accélération croissante, il nous faut aujourd’hui réfléchir à la réunion de toutes les forces capables de résister à la mondialisation destructrice, à son idéal totalitaire. Il faut aussi être capable de constituer une sorte de Front uni contre le fascisme qui vient du futur, le fascisme numérique, le futuro-fascisme des prospectivistes, comme il y eut en son temps une stratégie de Front populaire, pour faire pièce au fascisme ancien.

    résistance au totalitarisme qui ne cesse de se renforcer, détruisant de plus en plus nos vies, au fur et à mesure que le pouvoir est confisqué au peuple, par une technocratie prédatrice.

    (un procès de Nüremberg ! pour toute la bande !)

    Dans cette perspective aussi, l’outil du référendum d’initiative populaire – tel qu’il était proposé par le mouvement des gilets jaunes – peut être utile. Il constituerait un gain de pouvoir véritable au plan démocratique, une autonomie retrouvée du peuple. Il faut en effet faire confiance au peuple, à son bon sens, à la compréhension naturelle de ses intérêts immédiats. Il est temps de redonner la parole au peuple, celui qui en première ligne dans la crise du Covid, celui qui fait des masques, qui offre des blouses aux soignants. Il est temps de redonner la parole au peuple. C’est l’une des clés de la réussite politique de la sortie de crise.

    Il n’est pas étonnant sous ce rapport qu’Emmanuel Macron, tout nourri du paradigme de l’accélération, de l’innovation et de la futurologie de Jacques Attali, se soit montré si violent à l’égard du mouvement des gilets jaunes. Les « gilets jaunes » représentaient précisément le passé que la France du futur, de l’innovation, de l’avenir, celle qui est connectée à la mondialisation, voulait oublier. Cela ne pouvait être que des ploucs, des arriérés, des provinciaux débiles, des gens « qui ne sont rien » et puis finalement des « chemises brunes » – dixit Bernard Henri Lévy. Tous les moyens de la violence d’Etat ont pu, dès lors, leur être appliqués, sans retenue. On a pu leur crever les yeux, leur arracher les mains, les enfermer à tour de bras. Le bilan de l’opération de répression du mouvement social est à peine croyable : 12107 personnes interpellées, 2495 manifestants blessés, 2000 condamnés, 24 éborgnés, 11 morts, 5 mains arrachées… Contre le retour d’un fascisme ancien fantasmé l’élite politique qui dessine les contours d’un véritable fascisme à venir ne pouvait réagir que par une violence extrême qui n’est pas sans rappeler les méthodes du fascisme « old school ».

    Incroyable paradoxe que celui de ces dirigeants autoproclamés « modernes » qui au nom d’un futur illusoire finissent par se rêver en « dandy antifascistes », allant jusqu’à prendre des mesures policières typiquement fascistes pour lutter contre un mouvement qui se contentait de réclamer une augmentation du pouvoir d’achat, la diminution du prix de l’essence et la fin de la réglementation de la vitesse automobile à 80 km/heure. Mais ce n’est un paradoxe que si l’on ne comprend pas que le fascisme du futur ou fascisme 2.0 doit inventer sa propre mythologie de résistance au fascisme afin de pouvoir imposer son agenda, ses réformes antisociales, ses « ajustements structurels » à la société ancienne.

    Pour imposer l’ensemble de la panoplie de la mondialisation hyper-accélérée il faut avoir le beau rôle et s’inventer des ennemis que l’on réprime avec la plus grande violence. Le fascisme 2.0 a besoin de se draper dans l’antifascisme pour survivre. Tout pour l’UE, le « Global gouvernement », la « mondialisation heureuse », l’ « humanité augmentée », la société de contrôle, rien pour les « sans-dents », les gilets jaunes, les « locaux » dont parle Zygmunt Bauman dans Le Coût humain de la mondialisation : tels sont les mantras de nos gouvernants dans la période de la modernité liquide. Enfin si, quand même, pour les gilets jaunes, il y a les LBD40…

    Dans son Manifeste du futurisme Marinetti appelait de ses vœux une nouvelle ère, celle du « Centaure », avec sa cohorte de destruction, de vitesse, de fer, de feu et de sang. On a vu ce que ce genre de pensée avait pu produire comme dégâts dans l’histoire du XXeme siècle. Marinetti aurait sans doute adoré l’ère du fascisme numérique d’Etat qui s’ouvre devant nous en ce début de XXIeme siècle. Espérons que nous serons capables de construire, à l’occasion de la crise du Covid-19, une autre ère, que nous appellerons celle de l’entraide, en hommage à Pierre Kropotkine qui écrivit il y a bien longtemps un formidable ouvrage : L’Entraide, un facteur de l’évolution. L’entraide c’est l’idée antifasciste par excellence !

    Michael Paraire le 02/05/2020

    1. – Sur la faiblesse numérique des groupuscules du fascisme historique voir dans Pierre Pujol, Mon Cousin le fasciste, la description du « camp d’été » fasciste avec ses « dizaines de militants » pp. 41-42 ou la commémoration d’une stèle de l’OAS avec son « public qui n’est plus en âge de s’y rendre à pied » pp.48-49.

    2. – Max Gallo, L’Italie de Mussolini, vingt ans d’ère fasciste, livre 1, « les origines du fascisme et la conquête du pouvoir », chapitre II, « les malheurs de la guerre ».

    3. – Sur l’idéal fasciste de l’Etat total, voir Mussolini cité par Max Gallo dans L’Italie de Mussolini, livre 2, chap. V : « Anti-individualiste, la conception fasciste est faite pour l’Etat…Tout est dans l’Etat, rien d’humain ou de spirituel n’existe en dehors de l’Etat. Dans ce sens le fascisme est totalitaire […] L’Etat est l’absolu. Ni groupement, ni individu en dehors de l’Etat…. L’Etat fasciste est une volonté de puissance et de domination. »

    4. – Dans le documentaire Sylvain Louvet explique comment Xi Jin Ping a mis en place dès les « jeux de Pékin » un système totalitaire de surveillance très efficace. Le fait que la Chine soit à la pointe des programmes de dictature numérique moderne n’est sans doute pas étranger aux méthodes de dictature « démocratique » mis en place sous l’ère maoïste (culte du chef, dénonciation sur la place publique des individus « déviants », développement de camps de rééducation idéologiques etc...).

    5. – Pour une critique intéressante de l’ambivalence du fonctionnement de la Fondation Bill et Melinda Gates on lira avec profit Lionel Astruc, L’Art de la fausse générosité. La fondation Bill et Melinda Gates, (2019). Lionel Astruc y explique notamment comment, sous couvert de philanthropie, Bill Gates investit via sa fondation dans les groupes d’armement et les grands groupes agroalimentaires (Coca cola, Monsanto). Il met également clairement en cause l’obsession technologique du fondateur de Microsoft.

    Et lisez aussi les textes du psychiatre Frédéric BADEL sur le sujet, et regardez les vidéos du Dr Louis Fouché.

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  • plus ça va plus il se confirme que tout parti, et toute association, prétendument "de gauche" et composée de bourgeois ne peut être que de la merde, des social-traîtres, des bobos, avec des petites préoccupations de bourgeois collabos et déconnectés de la "galère" et des humiliations du peuple. Comme j'ai dit dans mon article en Esperanto sur SENNACIULO, seuls les gilets jaunes, ou les maîtres à penser des gilets jaunes pourront créer un nouveau parti de gauche, à condition de ne pas s'embourgeoiser (ni se faire acheter par la CIA comme les "antifas" !) et de garder leur dignité (devant tous les chantages, honte à ceux qui se sont "déculottés" !) et leur liberté de pensée, et leur enracinement dans les conditions de vie des GENS du peuple.

     

    Et où on voit que la façon dont le pouvoir, et sa bourgeoisie,  considère les gilets jaunes n'est pas nouvelle, dans les années 50 du XIXè siècle il y avait "les Marianneux", lisez :

    "En demandant à un inconnu des nouvelles de Marianne, les républicains, les "rouges", savaient immédiatement par sa réponse s’il faisait, ou non, partie d’une société affiliée.
    Les « Marianneux », qui étaient particulièrement nombreux dans l’Ouest, furent poursuivis en 1854, et condamnés à des peines allant jusqu’à quatre ans de prison.
    - Nous sommes, écrivait l’historien Viel-Castel, en présence de sociétés secrètes les plus sauvages, les plus ennemies de toute civilisation et de tout progrès….... Les incendiaires, les voleurs, les assassins et les pillards sont prêts. Tous ces gens s’appellent « La Marianne ».

    on croirait entendre ce que disaient en 2019 contre le peuple des gilets jaunes nos ministres macroniens, ou les journaputes de BFM-WC !

    et de nos jours contre les "conspirationnistes" !

    et déjà du temps de la Révolution française (menée par des bourgeois affairistes et propriétaires ne l'oublions pas !)  - cette Révolution dont la Convention le 19 mars 1793 a voté un décrêt punissant de  MORT toute personne qui PROPOSERAIT  une loi de REFORME AGRAIRE ...  - il y a eu Babeuf, dont la "Conspiration des égaux" fut le premier mouvement socialiste concret, eh bien par exemple "En Bresse, l’instituteur Robin est également appréhendé pour avoir « prêché les monstrueuses théories babouvistes » à Arbigny et à Pont-de-Vaux" les théories babouvistes font tellement peur aux possédants qu'elles sont tout de suite qualifiées de "monstrueuses" ! RIEN DE NOUVEAU SOuS LE SOLEIL ! ce sont des termes semblables qui accueillent de nos jours ceux qui défendent la chloroquine (menace aux énormes profits escomptés par Big Pharma), ou les gilets jaunes ! ou ceux qui prônent le Frexit, critiquent la 5G (énormes profits en vue là aussi et esclavagisation totale de tous les humains !) qui dévoilent l'imposture de l'assimilation de la démocratie avec le système de l'élection, menaçant ainsi les grasses carrières de politiciens actuels et aussi tout le système de corruption et de domination bourgeois !!! (cf les ignoble et sournoises attaques contre Etienne Chouard, le plus profond et puissant penseur de la démocratie que la france aie connu depuis deux siècles). Rien d'étonnant que le colonel Nasser aie fini par être TUE par les services Secrets US! - 

    de nos jours l'interview de ce "député Baudin du XXIè siècle Fabrice Lalanne le seul gars du show-biz (caractérisé comme dit Dieudonné par la lâcheté et l'indignité) à avoir eu le courage de se lever (comme Brigitte Bardot fut la seule de ce milieu à avoir eu le courage de soutenir les gilets jaunes), une interview qui comme celle de Jean-Jacques Crèvecœur restera dans l'histoire : 
    ss

    voilà  un de ces être "inéduqués et inéducables" qui "ne pouvaient simplement pas faire autrement" dont parle Michel Terestchenko dans son livre sur la morale personnelle "un si fragile vernis d'humanité" !


    (Cette vidéo a été regardée 200.000 fois en 24 heures ! et ça a continué au même rythme le lendemain : 400.000 en 48 heures  Et qu'est-il arrivé ? imaginez, par des procédés dignes de Staline, les propriétaires de Youtube ont remis le compteur à zéro !  Il semble que ça a provoqué un tollé et qu'ils se sont repentis, aussi le 28 au matin on retrouve les chiffres non trafiqués, qui sont arrivés à 458 mille vues - en 2 jours et demi)

    y a une peur (cf Goering ...) créée par ce monde des journaputes appartenant aux 9 milliardaires, la classe même qui a mis son pion Macron au pouvoir, et qui fait partie du Business-Plan de la vaccination. Quand à la "solidarité nationale" c'est un truc qu'à bien su exploiter aussi Hitler en 33, et son obligation du masque, pardon ! du salut hitlerien dans la vie quotidienne.

    Florian Philippot, admirateur de Chavez, est lui contre l'hyper-capitalisme mondialisé, principal ennemi de l'écologie (et des peuples, et de nos libertés !) :

     

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  • Il va y avoir une espèce de justice immanente : les peuples occidentaux qui à force de puritanisme bien-pensant, de bourgeoisisme, d’égoïsme, (et https://blogs.mediapart.fr/patrick-cahez/blog/140520/et-elles-et-ils-cesserent-denfanter) etc, ne se reproduiront plus  (sauf de manière commercialisée par PMA), et disparaîtront, tandis que resteront seuls les peuples qui ont encore gardé le goût de l’amour et de la famille.

     

    à *****-********* on a transformé (c’est représentatif ! Comme dans une autre rue, sur Arras, les locaux d’une entreprise qui a mis la clé sous la porte, qui vont servir à bâtir une  "résidence pour personnes âgées" !) les bâtiments de l’école en «annexe de la mairie » (comme si la mairie d'une si petite banlieue avait besoin d’une annexe  ) ça montre qu’il n’y a plus d’enfants en France. Comme j’ai dit il y a une justice immanente: seuls survivront les peuples qui ont gardé le sens de l’amour, de l’accueil, de la vie, et de la famille. Les peuples de « bourges » égoïstes, « politiquement corrects », soucieux de leurs carrières, et des normes sociales de la DDASS, disparaîtront.

     

    et maintenant il y a un autre problème, question justice immanente : les sales collabos nazis, qui se font dûment vacciner car ils croient bien décemment en tout ce que dit "Notre Très Sainte Mère l'Eglise", non, pardon not' bon Fuehrer Herr Veran, seront incapables de se reproduire, et même si ils ont des enfants ce seront des être au sang plein d'oxyde de graphène et aux défenses naturelles affaiblies, etc, lisez les scientifiques qui nous alertent là-dessus ! et donc les prochaines générations seront faites de ceux engendrés par les NON-VACCINES ! Bon signe : génocide des crétins et des larves soumises et haineuses, et leur remplacement par des gens humains et qui n'ont pas de télé mais ont un cerveau !

    Et les marchands ne s'y trompent pas : lisez-ça ! Dans les banques de sperme le prix du sperme de non-vacciné a monté en flèche, de 21.000% !

    https://arnauddebrienne.wordpress.com/2021/09/10/21-000-daugmentation-de-prix-sur-le-sperme-des-non-vaccines/

    Luc Montagnier a dit avant de mourir : "les non-vaccinés seront les gardiens de l'humanité"

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    Il y a deux ans, on a enterré le président tanzanien John Magufuli. C’est le cas le plus connu de toute une série de décès soudains et mystérieux de personnalités influentes. Y a-t-il entre ces décès un lien plus profond ?

    Il y a deux ans, le 22 mars 2021, on a enterré le président tanzanien John Magufuli avec de nombreuses marques de condoléances. Dans sa nécrologie, le président du Malawi, Lazarus Chakwera, a souligné les réalisations exceptionnelles de Magufuli pour son pays pendant ses six années de règne. Il était une icône et un héros. Un héros tragique, comme nous allons le montrer ci-après. Parce que malheureusement ce n’est que le cas le plus connu de toute une série de morts soudaines et mystérieuses de personnalités influentes qui ont attiré l’attention en raison de leur prises de position contre la politique mondiale du Covid et ont été, pour ainsi dire, enterrées avec elles. Kla.TV a enquêté sur ces faits. Voici un aperçu :

    Tanzanie

    Magufuli s’est fait connaître au niveau international lorsqu’il a publiquement mis en doute la pertinence des tests PCR et mis fin à leur utilisation ainsi qu’à l’enquête de statistiques sur le Covid.

    Il est l’un des rares chefs de gouvernement au monde à avoir résisté à la pression d’introduire des mesures coercitives contre son peuple. En juin 2020, il a déclaré son pays exempt de Covid. Son peuple l’a ensuite réélu le 28 octobre avec 84% des voix. Après avoir refusé les vaccins Covid début 2021 parce qu’ils n’avaient pas été suffisamment testés, un article sponsorisé par la fondation Bill et Melinda Gates a été publié le 8 février dans le quotidien The Guardian, déclarant que Magufuli représentait un danger pour la santé publique. Quelques jours plus tard, du 12 au 22 février, la Tanzanie a connu une série de décès d’hommes politiques de haut rang : le ministre du Travail dans un accident de la route, le secrétaire en chef de la présidence ainsi qu’un secrétaire d’État de longue date pour une raison inconnue. Le vice-président de Zanzibar et le directeur de la Banque de Tanzanie sont également décédés à cause du Covid-19. Le président Magufuli a été vu pour la dernière fois en public fin février et son décès a été annoncé en mars. Les causes évoquées sont aussi bien une maladie cardiaque que le Covid-19. Après la mort de Magufuli, sa successeuse Hassan a réintroduit le 6 avril l’enregistrement du nombre de cas de Covid pour la Tanzanie et a lancé peu après une campagne de vaccination.

    Burundi

    Le 12 mai 2020, le président Pierre Nkurunziza a expulsé les représentants de l’OMS du pays, car il ne souhaitait pas d’ingérence. Il s’est fermement opposé à un confinement et a qualifié la pandémie d’escroquerie. Il meurtle 8 juin 2020

    Son successeur, Évariste Ndayishimiye, a qualifié le coronavirus de pire ennemi du pays et a lancé une campagne de détection.

    Eswatini (= Swaziland)

    Le Premier ministre Ambrose Mandvulo Dlamini souhaitait lutter contre la pandémie par ses propres moyens et continuer à développer les structures de santé déjà en place dans son pays. Il est décédé le 13 décembre 2020 à l’âge de 52 ans. Deux de ses ministres sont décédés peu après, en janvier, tous avec le Covid-19 comme cause de décès.

    Le gouvernement a commandé 1,3 million de doses de vaccin pour l’Eswatini en janvier et les vaccinations ont commencé en mars avec AstraZeneca.

    Afrique du Sud, Zimbabwé et Malawi

    En janvier 2021, douze hommes politiques étaient morts en Afrique du Sud et quatre ministres au Zimbabwe voisin en l’espace d’une semaine.

    Les événements au Malawi ont été particulièrement frappants : un tribunal a estimé qu’un confinement affecterait injustement la population pauvre, ce qui a poussé le gouvernement à ne pas l’imposer. En l’espace de 48 heures, trois ministres en exercice et l’ancien chef de la banque centrale sont décédés, tous victimes du Covid-19.

    Six jours après ces décès, le gouvernement du Malawi a imposé pour la première fois un confinement, et en mars, les vaccinations ont commencé avec AstraZeneca.

    Haïti

    En Haïti, ni les autorités ni les habitants du pays n’ont respecté les mesures Covid, les centres de traitement ont fermé en raison du nombre insuffisant de patients. En mai, plus de 700 000 doses de vaccin ont été refusées, et en juin, à nouveau 130 000 doses d’AstraZeneca en raison d’effets secondaires possibles. Selon ce rapport, les autorités ont stoppé à plusieurs reprises l’importation de vaccins Covid, de sorte qu’en juin 2021, Haïti était le dernier pays américain où la vaccination n’avait pas encore commencé.

    Dans la nuit du 7 juillet, 28 hommes lourdement armés se sont avancés vers la maison du président Jovenel Moïse. Certains ont pénétré dans sa chambre à coucher et l’ont abattu.

    Après la mort de Moïse, des troubles massifs ont éclaté dans le pays. Insensible à cela, Haïti a lancé peu de temps après une vaste campagne de vaccination.

    Allemagne

    En automne 2020, trois hommes influents ont annoncé qu’ils s’opposeraient à un deuxième confinement : Thomas Oppermann, Mario Ohoven et Franz Klein.

    Thomas Oppermann a été vice-président du Bundestag allemand et a vivement critiqué la chancelière Merkel pour avoir voulu imposer les mesures Covid sans la participation du Parlement. Fin octobre, il a demandé un débat général sur les restrictions des droits fondamentaux. Il s’apprêtait à exposer sa position le 25 octobre dans l’émission « Berlin direkt » de la ZDF lorsque, à 66 ans, il s’est soudainement effondré et est décédé. La cause du décès n’a pas été élucidée.

    Mario Ohoven était président de l’Association fédérale allemande des petites et moyennes entreprises depuis 1998. Il a écrit plusieurs fois directement à la chancelière fédérale pour éviter un deuxième confinement. Dans un appel publié le 29 octobre, les points suivants ont été remis en question – je cite : « … si les mesures sont également proportionnées au sens juridique et donc en accord avec notre constitution. En tant qu’association, nous allons demander un tel examen dans l’intérêt des classes moyennes. A la fin, il pourrait y avoir une saisine de la Cour constitutionnelle fédérale. » Deux jours plus tard, le véhicule d’Ohoven a percuté la glissière de sécurité centrale sur l’autoroute pour une raison inconnue (tiens come ce qui est arrivé à la voiture de Lady Di, dont on sait aintenant que c'tait téléguidé par electronique), entraînant son décès.

    Franz Klein était le chef de l’association des hôtels et restaurants de Hambourg. Lorsqu’en novembre, la loi sur la protection contre les infections devait être renforcée, l’association a annoncé qu’elle allait porter plainte devant la Cour constitutionnelle fédérale. Deux jours plus tard, Franz Klein est décédé de manière soudaine et inattendue à l’âge de 72 ans.

    À partir du 2 novembre, l’Allemagne a connu un nouveau confinement, qui s’est durci en décembre. Ce n’est qu’au bout de quatre mois que des assouplissements progressifs ont été décidés.

    Entre-temps, la campagne de vaccination, massivement promue comme seule issue à la pandémie, avait commencé.

    Conclusion

    Il est finalement impossible de dire si la mort de toutes ces personnalités est liée à leur attitude critique envers les mesures Covid. Ce qu’on peut dire, c’est que l’élimination de porteurs d’espoir qui s’opposent au diktat imposé d’un agenda global s’est déjà produite plus souvent. Selon les révélations de John Perkins, tueur en col blanc et ancien agent de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA), les opposants indésirables sont soit destitués de leur poste, soit ouvertement écartés du pouvoir, soit assassinés dans le cadre d’opérations clandestines des services secrets. Il semblerait donc qu’un énorme appareil composé de services secrets corrompus, d’organisations terroristes et même de tueurs à gages agisse dans l’ombre et ne recule devant rien pour influencer les développements dans la direction souhaitée.

    Mais il semble que depuis le vent ait tourné. En effet, alors que les décès décrits par John Perkins (TEn touscasorrijos du Panama et Roblos de l'Equateur) n’ont été mis en lumière qu’après des décennies, l’accumulation frappante de décès mystérieux chez les opposants à la politique Covid est aujourd’hui révélée en temps réel. Cela montre la dynamique que le mouvement de clarification a atteint aujourd’hui et que rien ne peut plus rester caché.

    "Quel hasard et quelle coïncidence !" comme dirait Ionesco ! (la cantatrice chauve, si vous préferez un autre auteur "bizarre ? vous avez dit bizarre ? comme c'est bizarre"
    Euh, les gens de la CIA on une règle qui dit  "une fois, c'est un hasard, deux fois, c'est une coïncidence, trois fois, c'est un complot" et six fois on dit quoi ?

    Hasard ? ah oui ? et pourquoi ces choses là n'ont arrivées qu'à des chefs d'Etat qui résistaient à Big Pharma ? pas un de ceux qui on docilement appliqué le fascisme "sanitaire" et la rentable vaccination n'est mort ni n'a été assassiné. "Quelle coincidence !" comme dirait Ionesco.

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    Le complotisme c’est quoi ? (analyse)

    Depuis quelques temps on parle à tors et à travers de « complotisme ». Ce mot aux origines obscures (non ! il a été créé par les spécialistes de psy-ops de la CIA, à l'époque de l'enquête sur l'assassinat de JK Kennedy !) est défini dans les différents dictionnaires de la langue française mais sans une analyse complète ni de son origine ni de sa définition détaillée.

     

    Le 29 décembre 2020 nous avions déjà publié une étude de Guillaume de Rouville sur le complotisme. Au vu des derniers évènements je crois nécessaire de rappeler de quoi il s’agit.

     

    A suivre à la fin du présent, un article de Eric Zemmour dans Le Figaro, un article de Yves Barraud dans Actu chômage.org et un article de Alain Leduc dans FranceSoir.

     

    Si vous avez eu le courage de me lire jusqu’au bout, quelle est maintenant VOTRE interprétation du mot « Complotiste » ?

     

    Permettez moi de conclure, avec un peu d’humour et sans insulte ni agressivité, par cette phrase :

     

    Le “Mougeon” est le résultat de l’accouplement d’un Mouton avec un Pigeon, mais si vous êtes ici je suis certain que vous ne faites pas parti du troupeau.

      "Nous sommes complotiste, comme toute personne intelligente maintenant" (les auteurs du "manifeste conspirationniste)

    La liberté, c’est toujours la liberté de celui qui pense autrement ( Rosa Luxemburg )

     

    Quand la liberté d’expression n’existe plus, c’est la liberté de penser que l’on jette en prison  ( Pascal Mourot )

     

    Ronald Guillaumont

     

    Le Penseur de Rodin

     

    Le Génie du Complotisme

     

    Le complotisme présente cinq caractéristiques majeures qui le distinguent de l’anti-complotisme et qui résument tout son génie. Ses caractéristiques, que nous passerons rapidement en revue (partie 1), sont autant d’avantages sur l’anti-complotisme qui nous feront comprendre, par contraste, les limites épistémologiques de ce dernier, ses motivations profondes et ses soubassements idéologiques

     

    1 – Seul le complotisme permet d’appréhender la nature du pouvoir. L’anti-complotisme est une émanation du pouvoir dont la vocation est de le protéger et de lui permettre d’échapper à la compréhension de ceux sur lesquels ce pouvoir s’exerce.

     

    2 – On ne dialogue pas avec le pouvoir : on s’y soumet ou on le combat. Il s’ensuit, naturellement, que les complotistes n’ont plus à chercher les faveurs des anti-complotistes ou de leurs maîtres, ni à s’excuser de penser hors des sentiers battus ou d’émettre des hypothèses de travail audacieuses. Il est temps pour les complotistes de se montrer offensifs et face à l’idéologie du chaos que le pouvoir incarne et projette sur le monde à travers ses relais médiatiques et institutionnels, de présenter le complotisme comme un remède aux pulsions mortifères de l’hydre mondialiste. Le complotisme est un humaniste.

     

    Les 5 avantages du complotisme

     

    1.    Avantage Méthodologique

     

    Tandis que l’anti-complotiste se contente la plupart du temps d’énoncer la thèse (officielle s’entend), le complotiste est contraint de travailler, d’approfondir à la fois la thèse et l’antithèse. Ainsi, le complotiste a une connaissance fine de la version officielle et des arguments de la version opposée. Cela le contraint à chercher et à ausculter plus profondément les faits, à les présenter dans un ordre cohérent et à les soumettre à un examen critique poussé.

     

    Tandis que l’anti-complotiste n’a qu’à répéter la thèse officielle sans avoir besoin de la justifier, le complotiste est obligé de chercher des preuves solides à l’appui de ses propos et finit par acquérir une connaissance bien plus large que celle de l’anti-complotiste qui a borné son champ d’investigation parce qu’il lui suffit de citer une source « prestigieuse » pour gagner la bataille du pouvoir médiatique et la considération de ses pairs.

     

    Que ce soit, par exemple, pour le 11 Septembre ou le réchauffement climatique anthropique, seuls les complotistes appliquent le principe du contradictoire, principe fondamental à la fois pour les journalistes, les historiens et les juges qui devraient examiner méthodiquement et en profondeur les thèses en présence avant de se prononcer sur le fond de l’affaire dont ils s’occupent. L’anti-complotiste ne voit pas l’absurdité de sa position qui consiste à penser que la version officielle est toujours la bonne (comme la raison du plus fort). Ce qui revient à interdire toute alternative, toute contradiction, toute possibilité de remettre en cause la version des faits une fois qu’elle a été estampillée par le sceau officiel et crachée sur les ondes des médias dominants.

     

    L’anti-complotiste confine ainsi le réel dans une forme figée pour les siècles des siècles. Il se comporte comme le gardien d’une prison où les faits récalcitrants sont tenus en joug et passés à tabac, loin du regard des foules, tant que leur volonté d’indépendance et de franchise n’a pas été brisée. Il rééduque et torture les faits qui ne suivent pas ses mots d’ordre ou son catéchisme et ne les relâche dans l’arène publique qu’une fois qu’ils ont perdu leur prétention à dire leur part de vérité. Le complotiste libère les faits cadenassés qui retrouvent tout leur sens caché et leur autonomie, il les rend à l’air libre où se meuvent à leur aise la vérité et le réel.

     

    Le complotiste n’ayant pas droit aux arguments d’autorité (par exemple, l’invocation d’un prétendu « consensus scientifique » des experts sur le réchauffement climatique anthropique) et étant soumis au feu permanent des critiques, il lui faut devenir un orfèvre dans son domaine pour pouvoir contrer un adversaire qui se contente de répéter un message univoque et balaie d’un revers de mains dédaigneux les arguments qu’on lui adresse.

     

    Enfin, le complotiste cherche à donner du sens à ce qui, apparemment, n’en a pas toujours. Il ne se contente pas de laisser l’inexplicable inexpliqué. Si trois immeubles s’effondrent sur eux-mêmes alors que seulement deux ont été percutés par des avions, le complotiste essaie de comprendre ce phénomène étrange en convoquant des causes humaines et physiques qui sont dans l’ordre naturel des choses. Là où l’anti-complotiste, à court d’idée et d’arguments, finira pas se contenter de hausser les épaules, le complotiste, ira chercher des causes humaines (des volontés) si les causes physiques (mécanique des corps et mécanique des fluides) ne sont pas suffisantes.

     

    De son côté, l’anti-complotiste, n’hésitera pas à réinventer les lois de la physique, juste pour l’occasion, afin de s’interdire de penser au-delà de la thèse officielle. Car, s’il devait s’aventurer sur le terrain glissant d’une hypothèse alternative, cela pourrait le conduire à devoir désigner un coupable inattendu, à découvrir un acte humain, voire une entente entre plusieurs personnes conscientes de leurs actes. Ainsi, pour expliquer l’absence de débris d’avion sur le Pentagone ou sur le site de Pennsylvanie en septembre 2001, l’anti-complotiste invoquera la possibilité que les avions se soient gazéifiés (thèse défendue par le très « prestigieux » journal Le Monde), ajoutant de la sorte quelques règles nouvelles aux lois de la thermodynamique. Il ne lui viendrait jamais à l’esprit qu’un mensonge volontaire se cache peut-être derrière l’inexplicable. Dans le même ordre d’idée il en vient à voir, dans les guerres menées par les démocraties occidentales, des événements naturels que ne guident aucune pensée maléfique ni volonté humaine.

     

    Pour résumer les avantages méthodologiques de son approche, on peut dire que le complotiste travaille plus que l’anti-complotiste, connaît mieux son sujet et les arguments des parties en présence, ne se repose pas sur des arguments d’autorité pour avancer ses idées et accumule les éléments de preuve pour justifier ses propos et donner du sens aux événements et aux faits qui se déroulent devant lui.

     

    Ce sont là des raisons qui expliquent que les anti-complotistes ne répondent presque jamais positivement aux offres de dialogue que leur font les complotistes : ils savent, en effet, qu’ils finiront généralement déboités par les arguments de leurs contradicteurs. Pour justifier un tel refus, ils rangent volontiers leurs adversaires sous l’appellation générique et bien commode du « camp de la haine », mettant ainsi entre eux et les complotistes une sorte de cordon sanitaire émotionnel qu’il serait difficile et dangereux pour tout un chacun de rompre impunément. Cette technique de la rhétorique de disqualification utilisée à l’encontre du complotiste, à la quelle vient généralement s’ajouter des menaces et des injures, est le signe que, sur le terrain de la méthode, le complotiste vient bousculer son adversaire dans ses derniers retranchements, lorsque celui-ci est au bord de son propre gouffre intellectuel.

     

    2.    Avantage Psychologique

     

    Le complotiste n’a ni d’apriori ni de tabou. L’impensable est pour lui toujours pensable. Si le complotiste navigue ainsi volontiers, par méthode et par prudence, dans l’air du soupçon et ne prête sa confiance à quiconque, il traite tout le monde à la même enseigne, les puissants comme les faibles ; il les écoute avec le même degré d’attention, sans chercher à plaire ou à déplaire à leurs susceptibilités respectives. Il veut comprendre et non pas justifier.

     

    De son côté, l’anti-complotiste est enfermé dans le dogme de l’infaillibilité démocratique, ce qui lui interdit automatiquement tout un champ des possibles. Il est psychologiquement incapable d’imaginer que nos dirigeants démocrates puissent faire le mal intentionnellement. C’est bien cet apriori qui, aux yeux des complotistes, rend les anti-complotistes aveugles à la compréhension d’une part importante de notre monde. Et pour le dire plus clairement, les anti-complotistes sont dans l’incapacité de comprendre la nature et les ressorts du pouvoir (nous y reviendrons). Ils ne voient pas que le pouvoir, ontologiquement, est une physique de la contrainte et une métaphysique de la domination.

     

    L’anti-complotiste est tellement engoncé dans cette opinion, qui est pour lui une sorte d’article de foi, qu’il ne pourra jamais concevoir que nos dirigeants puissent, par exemple, en toute connaissance de cause :

     

    (i) empêcher l’utilisation d’un remède peu couteux et efficace contre un virus, cousin de celui de la grippe, afin de favoriser une solution imaginaire et hypothétique (le vaccin) lors d’une pandémie annoncée et voulue, pandémie qui n’est pas tant le résultat d’une incompétence généralisée de nos commis en charge des affaires de l’État, que d’un chaos organisé par ces derniers comme un jeu de rôle mondialiste planétaire ;

     

    (ii) s’allier avec des mouvances terroristes islamistes pour faire tomber des régimes laïques en Lybie et en Syrie en ayant recours à des actes de terrorisme à grande échelle et en organisant le massacre et le gazage de populations entières tout en accusant le camp adverse d’en être responsable. De telles conclusions, iraient au-delà de ses forces psychologiques et l’amèneraient, sans doute, au bord de la crise de nerf et de l’hystérie.

     

    Ainsi, pour l’anti-complotiste, la démocratie occidentale ne peut commettre de crime puisqu’elle ne peut avoir de mauvaises intentions : elle ne tue que par dommages collatéraux, jamais volontairement. Par conséquent, on ne peut lui imputer des crimes de masse, seulement des erreurs circonstancielles et contextuelles qui ont eu de tragiques conséquences humaines inattendues. La culpabilité de la démocratie occidentale ne dépasse jamais celle de l’élève qui aurait pu mieux faire.

     

    Les anti-complotistes ne voient et n’admettent de complots que chez les terroristes musulmans ou les Russes, les Iraniens ou les Chinois, quand cela arrange leurs affaires et conforte leurs représentations du monde binaire (« eux » contre « nous »). Là, en général, aucune preuve tangible n’est exigée, il suffit à l’accusation de désigner les coupables pour emporter la conviction de la foule conformiste des bourgeois cultivés qui ne craignent rien tant que d’émettre des hypothèses et, encore plus, d’avancer des théories qui sortiraient de la vulgate publiée régulièrement dans les gazettes officielles (Le Monde, The Guardian ou le New York Times).

     

    3.    Avantage Conceptuel

     

    Le complotiste offre des outils intellectuels pour appréhender le monde. Il propose des termes (qu’il a ou non construits lui-même) pour désigner des événements, des phénomènes difficiles à cerner ou à concevoir : Mondialisme, Atlantisme, Empire, Opposition Contrôlée, État Profond, Satanisme, Nouvel Ordre Mondial, Injonctions Paradoxales, Dogme de l’Infaillibilité Démocratique, Crimes Médiatiques, Rhétorique de Disqualification, sont autant de concepts outils permettant de sortir de l’hébétude dans laquelle le complexe médiatico-industriel progressiste nous maintient, afin de mieux cerner et comprendre le monde dans lequel nous évoluons.

     

    Le complotiste apprécie la clarté d’un concept là où l’anti-complotiste préfère la confusion, l’absence de sens et de signification, ou le sens inversé de l’absurde : non pas le mystère qui pourrait nous ouvrir la porte d’une transcendance porteuse d’espoir, mais le vide comme explication universelle. L’anti-complotiste ne nous laisse qu’un champ de bataille sémantique chaotique où le néant et l’ambiguïté sont maîtres du réel et de nos neurones.

     

    Empêcher la compréhension du réel et l’émergence des concepts explicatifs est sans doute l’un des objectifs du pouvoir pour demeurer « le pouvoir » et persévérer dans son être. Son crédo est de rester insaisissable, « im-pensable » et impensé, pour n’être point combattu. Un totalitarisme dont on ignorerait l’oppression ne susciterait sans doute pas d’opposition autre que contrôlée. C’est tout le génie de la démocratie représentative, instrument privilégié de l’oligarchie occidentale, que de nous empêcher d’établir clairement des liens de causalité entre des décisions humaines de quelques-uns et la longue chaîne des malheurs des peuples.

     

    4.    Avantage Moral

     

    Le complotiste a un avantage moral immense par rapport à l’anti-complotiste parce qu’il doit montrer plus de courage et affronter les difficiles conséquences sociales de ses propos. Tandis que l’anti-complotiste, en bon conformiste adorateur de la normalité sociale, ne fait que relayer et répéter les paroles de l’évangile médiatico-politique qui lui est servi quotidiennement, le complotiste sait qu’il aura contre lui les puissants et la masse des bourgeois cultivés qui peuplent les cercles mondains des multiples socialités auxquelles la vie nous invite tous à participer.

     

    Le complotiste prend constamment des risques dans sa vie professionnelle et privée pour simplement émettre des doutes et proposer des explications alternatives : on ne compte plus le nombre de complotistes débarqués de leur poste pour avoir avancé quelques hypothèses dérangeantes sur le 11 Septembre, l’implication des démocraties occidentales dans le terrorisme islamique ou la responsabilité du CO2 dans le réchauffement climatique anthropique. Si le courage ne donne pas raison, il a une valeur intrinsèque qui distingue nettement le complotiste du bourgeois cultivé conformiste qui fait office d’adversaire.

     

    Le complotiste ose nommer le mal, il ose désigner les puissants et les puissances qui sont derrière ces manifestations humaines : il ne se contente pas, comme les professionnels de la révolte, d’attaquer des abstractions (par exemple, le capitalisme), il confronte des pouvoirs concrets (dont la somme des liens et des alliances fait et révèle le pouvoir dans toute sa puissance et ses nuisances) et nomme les responsables. Pour le 11 Septembre, il désignera volontiers le petit groupe de néoconservateurs comme responsables ou au moins complices des attentats ; il en fera le portrait détaillé en égrenant leur CV et leurs méfaits avérés. Concernant l’hystérie sanitaire mondialiste déclenchée au printemps 2020, il n’hésitera pas à pointer du doigt le rôle de Bill Gates et des dirigeants de l’OMS, de certaines firmes pharmaceutiques (comme Gilead) ou de certains médias (comme BFMTV en France) dans le déclenchement de cette expérience orwellienne à l’échelle mondiale.

     

    L’anti-complotiste, lorsqu’il dénonce, est plutôt dans la délation puisqu’il désigne à la vindicte médiatique et judiciaire, à la censure et aux poursuites pénales, les lanceurs d’alertes qui n’ont en général que leur plume pour se défendre. L’anti-complotiste utilise volontiers la menace et l’intimidation pour faire taire ceux qui s’aventurent hors des sentiers battus et rebattus : la rhétorique de disqualification et l’hystérie émotionnelle sont ses outils préférés.

     

    Ainsi, tandis que le complotiste dénonce les puissants et se met volontairement dans leur ligne de mire, l’anti-complotiste établi des listes d’opposants isolés à exécuter en place publique sans leur donner la parole. Il y a du Cyrano de Bergerac chez le complotiste : s’il n’a, bien évidemment, pas toujours raison, il avance empanaché d’indépendance et de franchise et revendique le droit de se tromper.

     

    Les complotistes sont à la fois une dissidence et une résistance. Peut-être même les seuls à s’opposer aux expériences orwelliennes que nos démocraties oligarchiques nous imposent de temps à autres pour éprouver leur puissance : hystérie sanitaire, hystérie réchauffiste, hystérie anti-Trump (qui n’est que le syndrome d’une hystérie contre les souverainistes et les partisans de la diversité des nations), etc. Comme nous le verrons en partie 2, l’anti-complotisme est une hystérie.

     

    5.    Avantage Prédictif

     

    Ce qui frappe, quand on fait le bilan du complotisme sur les deux dernières décennies, c’est l’incroyable capacité de celui-ci à avoir raison, à prédire ce qui va advenir. En analysant avec sérieux et pertinence le présent et le passé récent, le complotisme est capable de mieux appréhender les grandes orientations qui se dessinent devant nous que tous les experts réunis en conclaves officiels.

     

    Sur le 11 septembre, sur la guerre en Irak et en Syrie, sur le réchauffement climatique anthropique, sur le Russiagate et l’affaire ukrainienne aux États-Unis, sur le Covid-19 et sur tant d’autres sujets scientifiques ou géopolitiques, le complotisme engrange les victoires les unes après les autres.

     

    La démonstration de la force prédictive de la pensée complotiste a été particulièrement spectaculaire lors de l’épisode de totalitarisme sanitaire et sécuritaire que nous avons tous vécus au printemps 2020. Aux modèles prédictifs délirants (souvent informatiques) invoqués par les comités « scientifiques » mis en place un peu partout en Occident lors de cette drôle de crise sanitaire qui prévoyaient l’apocalypse tous les matins du monde, les complotistes ont opposé le bon sens, l’analyse cartésienne, le raisonnement et le sang-froid, et ont ainsi pu identifier rapidement des solutions efficaces pourtant décriées par tous les médias dominants tombés volontairement dans une hystérie destinée à faire perdre l’entendement collectif. Le complotiste est parvenu à s’extraire du bruit et de la fureur de l’actualité brouillonne et a eu raison sur toute la ligne : de l’analyse du problème à la proposition d’un remède. N’ayant d’apriori à l’égard de personne, le complotiste a écouté toutes les parties en présence et à pu saisir au vol le réel avant qu’il ne soit confisqué et défiguré par les tortionnaires de l’information qui lui ont substitué la peur comme seul vecteur de la représentation du monde. Nous y reviendrons en détail dans la deuxième partie ou dans un article séparé.

     

    Depuis le début du conflit en Syrie, seuls les complotistes savaient que le Président Bachar el-Assad était soutenu par la grande majorité de son peuple et n’était pas au bord de la déroute, bien que tous les journaux ayant pignon sur rue en Occident annonçaient à longueur de colonnes la fin imminente du « régime sanguinaire ». Concernant le Russiagate et l’implication de clan Obama dans l’espionnage dont la campagne de Trump a fait l’objet en 2016 et 2017, seuls les complotistes ont compris qu’il s’agissait bien d’une tentative de déstabilisation d’un candidat (puis d’un Président) pas assez mondialiste, de la part de l’État profond américain et qu’aucun élément probant ne permettait d’affirmer qu’il était, de près ou de loin, un agent russe (tous les documents récemment déclassifiés confirment cette analyse). Concernant le réchauffement climatique, nous détaillerons dans un papier à venir, les nombreuses victoires épistémologiques emportées de haute lutte contre (i) les prédictions arrogantes et foireuses de « l’unanimité » des scientifiques de la planète et (ii) l’intime conviction d’une opinion publique mondiale chauffée à blanc à l’encontre d’une menace qui n’existe que dans les modèles informatiques délirants des marchands de peur !

     

    Le complotisme est la grande aventure humaine, intellectuelle et politique de notre siècle. Si nous voulons que l’homme perdure dans ses fondamentaux humains, loin des promesses trans-humaniste et technicistes qu’on veut nous imposer sans débat, il est temps d’affirmer ce que nous sommes : un humanisme.

     

    « Le propre du prestige est d’empêcher de voir les choses telles qu’elles sont et de paralyser tous nos jugements. Les foules toujours, les individus le plus souvent, ont besoin, sur tous les sujets, d’opinions toutes faites. Le succès de ces opinions est indépendant de la part de vérité ou d’erreur qu’elles contiennent; il dépend uniquement de leur prestige. »

    Psychologie des foules - Gustave Le Bon - 1895

     

    Guillaume de Rouville

     

    Source : L’idiot du village

     

    Éric Zemmour: «Le complotisme, ce mot des élites pour disqualifier toute critique»

     

    CHRONIQUE – Il y a une vérité, elle est officielle, et il est interdit de la contester.

     

    Complotisme. C’est le mot qui fâche, qui délégitime, qui tue. Enfin, qui veut tuer. Qui doit tuer. Complotisme est le mot des élites, le mot des bien-pensants, l’arme suprême du politiquement correct lorsqu’il est attaqué, contesté, déconstruit. Le mot qui interdit toute analyse , bref le mot anti-scientifique, qui interdit de chercher une explication rationnelle à l'apparent chaos du donné, de regarder ce qu’il y a derrière le rideau du discours dominant, ce que heureusement a fait Karl Marx par exemple, type de l'écrivain "complotiste" ! La frénésie autour du documentaire Hold-Up en est la dernière preuve. Ce documentaire, pourtant, ne mérite ni cet excès d’honneur ni cet excès d’indignité. Trop long, interminable même, il mêle des analyses fouillées, des informations inédites, des témoignages percutants, pour l’englober dans une théorie finaliste: le virus de la Covid-19, fabriqué dans les laboratoires de l’institut Pasteur, avant d’être livré aux Chinois, serait utilisé par les partisans affichés d’un gouvernement mondial (Bill Gates, Jacques Attali, etc.) pour imposer à des populations apeurées la cryptomonnaie, arme suprême du Big Brother de demain.

     

     

    Toute personne intègre devrait être complotiste !

     

    Ce titre interpelle. Dérision, exagération, provocation ? Non, démonstration. 

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  • Diana a le courage d'appeler les choses par leurs noms - en Roumanie

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  • L’obsession dans laquelle on veut nous faire vivre de l’éclairage, des lumères à éteindre sans cesse, et des économies à faire dessus – alors que c’était dès le départ une dépense en énergie des plus mineures, c’est parce que c’est un conditionnement qui est SIGNE DE SOUMISSION, comme le masque (comme le salut Heil Hitler !) c’est une psy-op. C’est comme l’obligation autrefois des gens « inférieurs » de toujours enlever leur bonnet (le chapeau était réservé à la classe supérieure) et rester tête nue devant un gars de la classe supérieure.

    En effet d’un point de vue rationnel ça n’a pas de sens, si on vaut faire des économies d’énergie, l’éclairage est la dernière zone à aborder ! bien loin derrière l’automobile (et la mondialisation du commerce, les délocalisations spéculatives et les infinis coûts de transports engendrés). Et bien sûr, d’ailleurs, cette histoire de « climat », de réchauffement anthropique, c’est de la foutaise ! Le climat se réchauffe actuellement, comme il a toujours ondulé, mais ce n’est en rien du à l’activité humaine, mais comme toujours aux variations de l’activité solaire.

    Mais leur but étant de « dresser » le « troupeau » il est important que ça soit constamment dans la tête des bestiaux, des esclaves, il faut donc que ce soit un acte quotidien et toujours présent ! (il ne faut pas oublier qu’ils ont derrière eux des armées de psychologues, d’universitaires, de sociologues, de spécialistes du comportement, et de la manipulation, ce ne sont pas des cons ) donc comme le salut nazi, comme le bonnet des gens du peuple, comme la cigarette ! comme le masque (sauf qu’ils n’ont pas pu l’imposer ad vitam aeternam, sauf aux médecins et aux vendeuses des pharmacies ! )

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  • bien sûr il y a d'autres sujets de critiques, amplement (et de manière très bavarde et à rallonge) traités par Farida, mais je tiens à souligner cet aspect, qui comme toujours (....) est un aspect qu'on a soigneusement tenu caché et qu'on n'a que trop tendance à notre époque à refuser de voir ...
    (autre aspect ; ces méthodes permettent de décérébrer le peuple, ce qui permet 1° de justifier leur racisme de classe ! "le peuple c'est mal ! ils pensent mal , le "populisme",  donc le biaâân c'est les riches,  "diplômés de l'université" NOUS on détient le Vrai, le Bon, et le Bien, le  peuple c'est le mal ! c'est comme pour Voltaire "la Canaille qui n'est point faite pour penser", et tout ça, et puis 2° ça permet d'éviter qu'ils analysent et comprennent en profondeur les réalités et leur faire perdre leur sens critique et leur culture politique et syndicale, sinon ils risqueraient d'avoir une culture marxiste, ou républicaine (ce qui serait sain et constructif, n'en déplaise à Mme Belghoul ! petite crotte sur son nez ! comme dirait Dieudonné) et comme ça on les fait voter pour les "mauvais objets" comme les appelle Asselineau, qui neutralisent leur révolte, des "chiffon rouge" tels le père Le Pen, ou maintenant Zemmour, qui les emmène dans un cul-de sac qui ne risque pas de gagner ce qui permet de neutraliser leur révolte ! et le tour est joué, depuis 1983 on nous fait ça !


    le lien libre pour télécharger la vidéo et lire les commentaires :
    https://ruclip.com/video/VsHl4X038bA/les-mensonges-de-la-m%C3%A9thode-montessori.html

    Je sais, Farida professe des idées extrémement conservatrices, exactement comme celles des catholiques conservateurs de 1910 ! mais au moins elle est humaniste et courageuse ! et défend les parents menacés par l'infâme et totalitaire DDASS. Et elle aborde des sujets intéressants.

    et une fois de plus encore!!! je rererererererépète  : une petite remarque en passant et il y en aurait pleins d'autres : "dans la NOVLANGUE actuelle on appelle les vieux  des "seniors". Mais de appeler les vieux des "seniors" ça ne les fait pas vivre plus longtemps !!!! (Surtout si on les euthanasie au Rivotril !!! n'est-ce pas ..... )

    Autre critique  à Belghoul : pour moi ça ne me choque pas du tout qu'on dise l'enfant est une personne , au contraire j'ai toujours été une personne dès tout petit, je m'en souviens très bien ! (et ne comprend pas comment tant d'adultes ont l'air de l'avoir oublié !) ce que je leur reprocherait c'est l'HYPOCRISIE de ce discours, car apparemment être une personne ça ne vous donne pas le droit d'arborer son visage sans qu'il soit déshumanisé par un masque de rhinocéros (les personnes cultivés me comprendront !) ou si vous préférer par le port d'une couche-culotte nazie sur le visage, apparemment d'être une personne ça ne donne aucun droit à la différence, ni aucun autre, juste celui d'obéir, de se CONFORMER et de se taire et ne vous donne pas le droit de refuser les CAMERAS DE VIDEO-SURVEILLANCE ni les COOKIES ! ni celui d'avoir un esprit critique et ne pas suivre les "paroles d'Evangile" de not' bon Fuehrer et des journaputes de la télé !

    "sans effort" ! mais il faut fournir de terribles efforts pour obéir à la flicaille ! les innombrables "devoirs", "responsabilités", "citoyennetés" que ces gens veulent imposer à chaque seconde à tout le monde sont un effort, (et une aliénation et une somme d'humiliations et une déshumanisation) énorme, et ils osent vous vanter un monde "sans effort" ! D'ailleurs et c'est valable pour plein de choses, y compris d'actualité : "la liberté ne s'accorde pas elle se PREND !" de vive force parfois.

    (un autre penseur d'origine maghrebine Mohamed Tahiri nous rappelle les bases de la morale   https://www.francemediasnumerique.net/2021/12/le-comportement-des-convaincus-qui-se-font-piquouzer-me-laisse-perplexe/

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  • quelques questions  :  quelle sentiments avez-vous envers


    les femmes ? - beaucoup de méfiance

    les policiers ? - le mépris et le dégoût

    les bourgeois ? - un peu d’aversion

    les musulmans ? - aucune opinion générale ! Il y en a de toutes sortes.

    Les banquiers ? - ce sont les ennemis, c’est clair.

    Les publicitaires ? - beurk !

    Les journalistes ? - ce sont des "putes", et les agents de désinformation et de manipulation du régime comme autrefois en URSS

    Quelle valeur mettez-vous le plus haut ? - la tendresse

    Les choses que vous aimez ? - les caresses, la poésie, la philosophie, l’espéranto, l’histoire, les chats, les roses, les galaxies, les sciences, le rire, l’amitié

    qu’aimez-vous entendre ? - au hasard : un plénum de cloches, le chant d'une grive musicienne, la musique de Couperin, ou Geeta Chisti, France Gall, etc, etc

    Comment vous définissez-vous politiquement ? - lutte des classes !
    république, services publics, Bernard Friot, Asselineau bien entendu ! Et puis aussi le Pardem, et Etienne Chouard; humanisme et résistance.

    Croyez-vous en Dieu ? - si on ne peut répondre que par OUI ou NON, je dirais NON. Mais en fait c’est plus compliqué. Je ne sais pas. Je suis très intéressé par Rupert Sheldrake, les EMI, les témoignages de réincarnation, les apparitions de Zeitoun, etc, et comme Jean Rostand je suis stupéfait et ne comprend pas.

    Vous intéressez-vous à votre monde intérieur ? Pas du tout ! Le « monde intérieur » est de toutes façons toujours beaucoup moins intéressant que le monde extérieur. Lui, oui, est intéressant.

    Etes-vous pour ou contre l’avortement ? - Contre. Je suis athée, donc je suis contre la mort. Je suis contre la mort donc je suis contre l’avortement. CQFD

    Que pensez-vous du bouddhisme ? - J’ai horreur de ça ! Une façon de s’euthanasier déjà de son vivant. L’amour du Néant ! Sinistre, beaucoup plus que le Théatre de l’Absurde, les philosophes de l’Absurde eux ils refusent la mort de toutes leurs forces.

    Votre plus grand espoir ? - non; aucun espoir.

     

    Les scènes de films que j'ai le plus aimées et qui me hantent le plus (et qui me donnent les larmes aux yeux) :
        *
    la scène finale de "Manhattan" , de Woody Allen https://www.youtube.com/watch?v=ylZgG5kC6cI

        * la scène finale de "L"invitée de l'hiver", de Alan Rickman (bizarrement aucun descriptif de ce film ni critique n'en parle ! tout le monde se focalise sur le couple mère-fille, et rien sur ces enfants !!! (ni les chatons ... ) pourtant c'est selon moi la partie la plus tragique la plus profonde et la plus importante du film)

        * la scène finale de "Les joueurs d'échecs" ("Chatrandj ke Khilari") de Satyajit Ray. http://www.youtube.com/watch?v=8lvnl_W59IE

    * ET puis le dernier paragraphe du roman de Haruki Murakami: "La course au mouton sauvage"

    Autres films :
    * "La Strada"
    * "Central do Brasil"
    * "Mon oncle" (de Jacques Tati)

     

    Mes tableaux préférés:
        * "Le chant du rossignol à minuit et la pluie matinale" de Joan Miró
        * "Toutes les lumières" tableau de Paul Delvaux, peint en 1962

         *  "la voix du sang" de Magritte
        * (ce n'est pas un tableau au sens strict, c'est une tapisserie) : "Avant l'aube" de Manessier - 1967.

     

    Mon sculpteur préféré:
        *  Georges JEANCLOS
        *  Sabine Cherki aussi, mais il n'est plus possible de voir ses oeuvres sur internet, le féminisme est passé par là, de nos jours il n'est plus permis à aucun artiste, même si elle est elle-même une femme, de représenter une femme nue !
        

    interprêtes préférés:

        * Rosalyn Tureck


    Les espèces d'oiseaux pour lesquels j'ai une attirance particulère:
        * le rougequeue noir (Phoenicurus ochruros)https://www.hautetfort.com/admin/posts/post.php
        * et, bien sûr, les grues
        * Le merle, le plus beau, et le plus créatif, sans doute de la terre entière.
        * l'alouette, bien sûr
        * celui de la fauvette à tête noire!
        * le gazouilli des hirondelles (hirondelles de cheminée) entendu depuis chez soi perchées sur les fils électriques  pour les rares qui ont encore cette chance (y en a-t-il encore seulement? ou est-ce totalement disparu? alors que pourtant ça devrait être le B A ba dans toutes les villes !!!  seuls les sales cons fascistes intolérants et ennemis de la vie qui grouillent dans la France profonde se réjouissent de leur disparition)
        * le chant des martinets:mais attention à condition que ce soit dans le ciel au-dessus de villes de France ! et que ce soient de vraies villes, de vraies villes avec des églises (ouvertes) des hôtels (au choix pour toutes les bourses), des rues (sans caméras de vidéo-surveillance), des magasins, des cafés, des bancs, des vraies villes quoi ! dans un vrai pays,  qu'on peut sillonner toute la  journée d'une ville à l'autre sans problème par de vrais trains, dont on peut ouvrir les fenêtres, des trains qu'on prend dans des gares qui sont de vraies gares: commodes, conviviales  et à visage humain, tenus par une SNCF qui ne se foutrait pas du monde et ne serait pas stalinienne.
    Bref rien que des choses qui n'existent plus

    Mes races de chiens préférés:
        * Les colleys !!! sans hésitation. Je ne peux pas un voir un sans me sentir fondre et m'écrier "oh ! un beau gros toutou tout velu !"

    les poètes français que j'aime le plus :
        * Apollinaire
        * Prévert
        * Francis Jammes
        * Norge
        * Saint-John Perse
        * Verlaine
        * Jules Laforgue
        * Jean Tardieu

    et plein d'autres

    les poètes étrangers:
     *
    Xu Zhimo
     *Tagore
     *Trakl
     *Yeats
     *Juan Ramon Jimenez
     *J Ringelnatz
     *et Morgenstern

    en Espéranto: Marjorie Boulton  et Angel Arquillos

     

    les dramaturges :

    * Jean Giraudoux

    * Henry de Montherlant

     

    les romans : (voir in "livres recommandés")

    *Sed nur fragmento (Trevor Steele)

    *La course au mouton sauvage (Haruki Murakami)
    *La femme des sables (Kobo Abe)
    *En gagnant mon pain (Maxim Gorki)
    *Le Château (Franz Kafka)
    *Le facteur humain (Graham Greene)

    *les Chroniques martiennes (Ray Bradbury)

     

    les autobiographies:
    *en n°1 ! : "Le bonheur d'être suisse" (Jean Ziegler)
    ensuite:
    *"Les mémoires d'outre-tombe" (Chateaubriand)
    *"Mémoires d'un enfant" (Jean Dutour)


     Les peintres:
        * Le Lorrain
        * Daumier le plus extraordinaire original et intense peintre du XIXè siècle !
        * Miro
        * Giorgione
        * Delvaux
        * Magritte
        * Jesus de Perceval https://www.bing.com/images/search?q=j%C3%A9sus+de+perceval&qs=n&form=QBLH&scope=images&pq=j%C3%A9sus+de+perceval&sc=1-17&sp=-1&sk=&cvid=1CE680E74278456A9026A795E79C93C1
        * Feng Zi Kai
       
    et plein d'autres

     

    Journalistes:

        * Michel Collon

        * Thierry Meyssan

        * Marie-Monique Robin

        * Frédéric Lordon


    voix d'acteurs:
        * Fabrice Lucchini

        * Michel Bouquet
        * Claude Rich
        * Suzanne Flon
        * Claude Piéplu
       
    Chanteurs/euses:
        * Barbara
        * France Gall
        * Alain Souchon
        * Nicoletta
        * Aznavour

        * Pierre Vassiliu

        * Eddie Constantine

    Tous des "vieux" ? non, aussi:
        * Keny Arkana

        * El Matador

        * La Pafklik

        * Césaria Evora

        *Juliette
     
    les femmes que je trouve le plus séduisantes :

         * Annie Lacroix-Riz (si si ! absolument ! regardez-la sur ses vidéos) 

         * Martha Argerich

         * Giulietta Massina

         * Béatrice El-bèze quand elle appellait à la grève générale

         * Lydia Bourguignon (au passage voici la plus instructive conférence de Claude   https://www.youtube.com/watch?v=LmF06t-V13U

     

    ) 2019 : Quels sont les personnages français contemporains vivants, que vous

    considérez les plus éminents ?

    euh, Bernard Friot, François Asselineau bien sûr, Etienne Chouard,

    Claude Bourguignon, Jean-Pierre Petit, Dieudonné, Brigitte Bardot, et ajoutons

    Giuseppe Belvedère, tant qu’il vit.

     

    Quels sont les œuvres litttéraires que vous appréciez particulièrement ?

    euh, « Alcools » d’Apollinaire,
    « Caligula » de Camus

    « La femme des sables » de Kobo Abé 

    « Le Château » de Kafka

    « La course au mouton sauvage » de Haruki Murakami

    « Memoires d’outre-tombe » de Chateaubriand

    « Candide » de Voltaire 

     

     
    Parmis les personnages de l'antiquité dont nous sont parvenus les portraits statufiés, mon visage préféré:
        * Euripide


    philosophes:
        * Carnéade

        * Bernard Charbonneau
        * Parménide
        * Hobbes
        * Thomas Kuhn
        * Paul Feyerabend
        * Blaise Pascal

        * Michel Terestchenko
        * Miguel de Unamuno

     

     

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  • un des mérites de la crise covidiste, est que en considérant tout ce qui a été combiné dans ce cadre,, bon seulement nous rappelle le fascisme 1.0 (celui des années 30), la valeur des principes d'analyse marxiste, l'esclave antique, l'esclavage dont rève Davos étant un esclavage 2.0, et tout ça, voir mes autres articles sur le sujet, et l'article en Espéranto que j'ai fait paraître sur Sennaciulo.

    Mais rétrospectivement, on est amené à reconsidérer certaines autre manipulations du passé ! bien sûr à commencer par la "crise" du H1N1 en 2009, qui était un premier essai de la mêmem chose, sauf que 1 leur virus n'était pas assez mortel, aussi leurs battage de la peur, face aux faits faisait trop ridicule, c'était trop voyant ! Et puis ils n'ont pas censuré Internet, et les critiques des dangers du vaccins ont pu diffuser librement leurs critiques. Aussi cette fois ça ayant pris les leçons de leurs erreurs, ils ont fait des recherches de "gains de fonction" (qu'en des termes galants ces choses là sont dites !) pour avoir un virus au moins aussi mortel et contagieux que la grippe saisonnière (voir les analyses du Dr Vernon Colemant et puis ils ont censuré à mort, avec la complicité des fameux "gafams" tous les esprits critiques.

    Mais dont on est amener à "revisiter" à la lumière de tout ce qui a été pratiqué par la mafia du grand capital, ceux que Jean-Jacques Crèvecœur appelle "les psychopathes milliardaires", le grand matraquage hallucinant qu'on a subit vers l'an 2000 sur le tabac ! Je trouvais déjà ça bizarre, et pas vraiment justifié, en fait c'était  encore pire ; c'était une "psy-op" un essai pour voir jusqu'à quel point en jouant sur la PEUR, sur le prestige des hommes en blouses blanches (comme dans la fameuse expérience de Stanley Milgram), le reflexe de soumission, d'auto-flagellation chrétienne, d'obéissance inconditionnelle, de la masse, on allait pouvoir convaincre des centaines de millions de gens de se défaire d'une des habitudes de sociabilité les plus profondément ancrée, se considérer comme des "pêcheurs", des juifs de 1933 interdit partout, obligés de se cacher sous le regard agressifs des bons aryen, pardon des non-fumeurs. A quel point on allait pouvoir soumettre les gens.

    Eh bien ils on vu ! alors ils foncent !

    Une autre chose aussi : la Sida. Là-dessus j'ai recopié un article de Vernon Coleman.

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  •  

    comme j'ai dis dans mon article en Esperanto (sur Sennaciulo) Longdaŭra historia tendance faŝismo 2.0), et comme l'avait découvert Zygmunt Bauman, le nazisme, cet "esprit de la modernité" cette hubris d'un pouvoir total, psychopathologique, purement techniciste et amoral sur le reel, "quand il n'y a rien pour l'arrêter, est une tendance lourde, depuis au moins début du XIXème siècle (le Panopticon, "le médecin de campagne", Auguste Comte, etc) . Et comme en 1945 on a refusé de comprendre la véritable nature de ce qui s'était passé, on a voulu se rassurer, on a poussé la poussière sous le canapé, et les vraies causes du nazisme on n'en a pas du tut pris conscience. Et les nazis (les 1.0) ont commencé à se réinfilter dans les sphères du savoir et du pouvoir dès après la guerre.

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  • il n'est pas assez lu, peut-être décourage-t-il par ses longueurs et sa rhétorique, mais si on prend la peine de lire quelques phrases choisies, et de les méditer, on s'apperçoit soudain à quel point elles sont vraies, et profondes.

    par exemple


    Un jour, les yeux lassés de veilles et de larmes,
    Comme un lutteur vaincu prêt à jeter ses armes,
    Je disais à l'aurore : « En vain tu vas briller ;
    La nature trahit nos yeux par ses merveilles,
    Et le ciel coloré de ses teintes vermeilles
    Ne sourit que pour nous railler.

    « Rien n'est vrai, rien n'est faux; tout est songe et mensonge,
    Illusion du cœur qu'un vain espoir prolonge.
    Nos seules vérités, hommes, sont nos douleurs.
    Cet éclair dans nos yeux que nous nommons la vie
    Brille à peine un moment à notre âme éblouie,
    Qu'il s'éteint et s'allume ailleurs.

    « Plus nous ouvrons les yeux, plus la nuit est profonde ;
    Dieu n'est qu'un mot rêvé pour expliquer le monde,
    Un plus obscur abîme où l'esprit s'est lancé ;
    Et tout flotte et tout tombe, ainsi que la poussière
    Que fait en tourbillons dans l'aride carrière
    Lever le pied d'un insensé. »


    Je disais ; et mes yeux voyaient avec envie
    Tout ce qui n'a reçu qu'une insensible vie
    Et dont nul rêve au moins n'agite le sommeil ;
    Au sillon, au rocher j'attachais ma paupière,
    Et ce regard disait : « A la brute, à la pierre,
    Au moins que ne suis-je pareil ? »


    n'aurait-on pas envie de les apprendre par coeur et se les réciter chaque matin ?

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  • https://expose-news.com/2023/01/27/aids-the-true-story/Il est désormais clair que le SIDA a été la première tentative de convaincre le monde que tout le monde était menacé par une nouvelle pandémie. C’était un galop d’essai pour le covid-19 – la grippe rebaptisée. PAR LE DOCTEUR VERNON COLEMAN ,via EXPOSE NEWS

     classée

    Il est désormais clair que le SIDA a été la première tentative de convaincre le monde que tout le monde était menacé par une nouvelle pandémie. (et que le sexe c’est mâal! Surtout pas de relations humaines ! comme je dis dans mon billet, et si n arrive à empêcher les gens de faire l’amour et de se reproduire naturellement, la PMA/GPA et tout le tintouin ouvrent un fabuleux MARCHE pour les officines ad hoc !!) C’était un galop d’essai pour le covid-19 – la grippe rebaptisée.

    (De même que le matraquage sur le tabac pour culpabiliser soumettre et perroquetiser les gens par la peur et le prestige des blouses blanches, un essai préparatoire du Covidisme)

    (Pour mémoire, je ne crois pas que le covid-19 ait été créé par l’homme. Il s’agit simplement de la grippe ordinaire avec un budget marketing. Mais, comme je l’ai expliqué ailleurs, cela arrange les conspirateurs d’encourager le mythe qu’elle provient d’un laboratoire en Chine).

    À l’époque, j’ai été autorisé à écrire des articles et à faire des émissions sur MSM mettant en doute l’ampleur de la menace. Ce n’est qu’après que la répression a commencé. L’impact potentiel du SIDA a été sauvagement exagéré par les médias grand public et par des organismes tels que le BMA et le RCN.

    Aujourd’hui, on entretient le mythe du sida en décrivant des patients africains atteints de tuberculose comme souffrant du sida (vérifiez si vous ne me croyez pas). Aujourd’hui, les conspirateurs et la CIA ont fait de mon opposition aux mensonges sur le sida une arme. Mais combien de personnes connaissez-vous qui ont le SIDA ? (Moi j’en ai connu un, qui s’appelait Claude Roatta, né le 17/7/1940 et mort le 19/5/1992 et que je n’oublie pas)

    Cet essai est tiré de Betrayal of Trust de Vernon Coleman, publié pour la première fois en 1994. Une nouvelle édition de poche de l’édition originale de Betrayal of Trust est disponible dans les librairies sur http://www.vernoncoleman.org et http://www.vernoncoleman.com.

    lien ici du docteur VERNON COLEMAN This essay is taken from Vernon Coleman’s Betrayal of Trust which was first published in 1994.   A new paperback of the original edition of Betrayal of Trust is available from the bookshops on www.vernoncoleman.org and www.vernoncoleman.com

    Par le Dr Vernon Coleman

    À voir la façon dont les journalistes et les politiciens ont traité l’histoire du sida, on pourrait croire que le virus à l’origine de cette maladie est un mystère total, qu’il est arrivé de nulle part et que les médecins et les scientifiques luttent maintenant, coude à coude, pour trouver un remède. Ce n’est pas tout à fait vrai. Le SIDA, comme tant d’autres maladies modernes, a été créé par l’homme. Et pour les chercheurs médicaux, le sida a été davantage une manne financière qu’une cible mortelle à éliminer.

    Personne ne sait exactement d’où vient le virus à l’origine du sida (si, en fait, le sida est causé par ce seul virus – à l’heure où nous écrivons ces lignes, il y a une controverse considérable à ce sujet, bien que la communauté scientifique, qui a un énorme intérêt dans la théorie désormais traditionnelle du VIH-sida, soit réticente à l’idée même que le sida puisse avoir une autre cause). Il existe cependant plusieurs théories sur l’origine du sida et ces théories ont toutes un point commun : elles suggèrent toutes que la maladie est née à la suite d’expériences en laboratoire.

    Dans des circonstances normales, saines et naturelles, il existe des barrières qui empêchent la propagation des virus d’une espèce à l’autre. Les êtres humains ne sont normalement pas vulnérables aux virus qui touchent les chiens ou les chats, par exemple. Mais des chercheurs scientifiques, en transférant délibérément des virus entre espèces, ont surmonté ce mécanisme de sécurité naturel et ouvert une boîte de Pandore d’horreur qui ne pourra jamais être refermée. [le fameux « gain de fonction » …. renseignez-vous !]

    En 1989, dans le Journal of the Royal Society of Medicine, le Dr J. Searle soulignait que « les espèces virales ont tendance à se limiter à l’espèce animale hôte qu’elles infectent », mais il lançait un avertissement : « Il semblerait que l’épidémie de SIDA ne soit qu’un des derniers transferts viraux inter-espèces de mammifères déclenchés par les techniques de virologie développées au 20ème siècle, qui se sont ensuite répandus de manière incontrôlée dans la nouvelle espèce hôte ».

    Quand et comment le virus VIH, responsable du sida, s’est installé pour la première fois chez l’homme reste un mystère.

    Un chercheur britannique a affirmé que le sida a été introduit dans le sang humain en 1922, lorsqu’au moins 34 personnes se sont vu injecter du sang de chimpanzés pour voir si les parasites du paludisme de l’animal avaient un effet sur les humains. Trente-trois autres personnes ont reçu du sang de ce groupe initial et l’on prétend que ce sont ces individus qui ont été les premiers porteurs du SIDA.

    Une deuxième possibilité, rapportée en détail dans le magazine Rolling Stone par l’écrivain Tom Curtis, est que le virus du sida a été injecté à des patients humains en même temps que le vaccin contre la poliomyélite. Le milieu utilisé par les scientifiques pour produire le vaccin – les reins de singes capturés dans la nature – était parfois contaminé par des virus de singe qui étaient ensuite transmis à des patients humains sans méfiance, innocents et généralement en bonne santé. Entre le milieu des années 1950 et le début des années 1960, plusieurs dizaines de millions de personnes dans le monde ont reçu un vaccin contre la polio qui contenait un virus de singe. (On a prétendu par la suite que ce virus rendait les cellules humaines sujettes au cancer. Nous ne saurons probablement jamais si les mères qui ont consciencieusement emmené leurs enfants se faire vacciner contre la polio leur ont involontairement injecté des virus cancérigènes).

    Ce que nous savons, c’est que des vaccins ont été administrés à de nombreuses personnes en Afrique à la fin des années 1950. Si, comme on l’a prétendu, l’un des vaccins utilisés était contaminé par un virus de singe inconnu, il est possible, je le soupçonne, que le virus du sida provienne de ce programme d’inoculation massive.

    Malheureusement, je doute que nous soyons un jour en mesure de savoir avec certitude si le virus du sida provient ou non d’un programme de vaccination. Les dirigeants de l’establishment médical semblent réticents à l’idée même de discuter de cette possibilité et les revues médicales orthodoxes ont consacré peu d’espace à l’étude de cette question. On peut se demander si leur réticence à enquêter n’est pas due au fait qu’ils sont conscients que si un lien est découvert, le coût pour leur industrie pharmaceutique bien-aimée pourrait être insupportable, à la fois par le biais de procès coûteux et par le fait que si un lien est prouvé, cela pourrait effrayer définitivement le public et l’inciter à refuser les vaccinations.

    Ces théories sont loin d’être les seules à expliquer comment le virus VIH a commencé à affecter les êtres humains. Mais toutes les théories que j’ai pu trouver impliquent des animaux de laboratoire et des chercheurs.

    Quel que soit le laboratoire de recherche sur les animaux d’où est sorti le virus du sida, il ne fait aucun doute qu’une fois le sida apparu, les sociétés pharmaceutiques du monde entier ont rapidement saisi l’idée de tirer profit de la maladie.

    C’est l’industrie pharmaceutique, en grande partie grâce à son main-mise plus ou moins totale sur l’ « Establishment » médical, qui a contribué à fabriquer et à entretenir le mythe du sida. Le mythe – l’affirmation inexacte selon laquelle le SIDA était la plus grande menace pour l’humanité depuis la peste de la peste noire – a commencé par accident, a été construit pour des raisons commerciales grossières et a finalement été exagéré par des groupes de pression qui avaient leurs propres raisons très spéciales de transformer une maladie désagréable en une menace mondiale. Le SIDA a rassemblé plusieurs groupes de personnes qui n’avaient rien en commun et les a unis d’une manière unique.

    Au début, ce n’était qu’une bonne nouvelle : une autre maladie potentiellement mortelle pour laquelle il ne semblait pas y avoir de remède évident. Quelques victimes connues – en particulier des vedettes de cinéma – ont conféré à la maladie un rare glamour qui a permis aux rédacteurs d’articles de fond de donner un peu de relief à ce qui était au fond une histoire plutôt banale. Les laboratoires pharmaceutiques ont rapidement compris que le sida offrait des possibilités de gain sans précédent ; en peu de temps, ils ont gagné des millions de dollars en vendant des tests de dépistage du sida et de nouveaux médicaments.

    Au plus fort de la peur du sida – au milieu des années 80 – les actions des sociétés proposant des produits liés au sida s’envolent. En avril 1987, Fortune, le magazine économique américain, a publié un article spécial intitulé « Aids stocks worth the gamble » (les actions liées au SIDA valent la peine d’être pariées) dans lequel il indiquait que les actions de plusieurs sociétés individuelles avaient augmenté de 360 % en douze mois. Au cours des trois premiers mois de 1987, un portefeuille d’actions offrant des solutions au SIDA a connu une hausse stupéfiante de 41 %.

    Le corps médical a fermement soutenu la théorie de la peste. Dans les années 80, un porte-parole de la British Medical Association a averti que d’ici 1991, chaque famille britannique serait touchée par le SIDA et m’a attaqué vicieusement lorsque j’ai cité des preuves soutenant un point de vue moins « effrayant ».

    [l’évolution ultérieure a montre que, ben, il avait raison, et ses détracteurs tort ! Ce qui porte à donner du poids ses propos actuels ...]

    D’autres groupes de l’establishment médical ont pris le train en marche du « SIDA va tous nous tuer » et la ligne officielle a été défendue avec une férocité sans précédent. [qui ne fut dépassée que par la férocité actuelle …] (J’ai mené de nombreuses campagnes contre l’establishment, mais celle sur le sida a semblé susciter un venin particulièrement moralisateur et culpabilisateur, et j’ai été raillé et vilipendé par de nombreux théoriciens du « sida est la peste moderne »).

    [on nous a joué le même jeu au sujet du tabac aussi, souvenez-vous !!! a posteriori, on se rend compte maintenant que c’était une compagne de manipulation, et les gens sont écrasés, soumis ! Auto-culpabilisés ! Ils n’ont plus parlé du tabac qu’en ajoutant de rituelles dénonciations et mea-culpas ! Comme des perroquets bien dressés, les pauvres cons !] L’Organisation mondiale de la santé prévoyait que 100 millions de personnes pourraient être infectées d’ici 1990 et le Royal College of Nursing prévoyait qu’une personne sur cinquante en Grande-Bretagne serait atteinte de la maladie au début des années 1990.

    Puis, avec l’industrie pharmaceutique derrière la promotion du SIDA, au moins quatre groupes distincts de personnes ont réalisé qu’il y avait des avantages à tirer de la transformation de cette histoire en une menace internationale majeure.

    Les premiers à réaliser l’importance du SIDA ont probablement été les activistes religieux qui, pendant des années, ont détesté les attitudes de « sexe libre » qui avaient survécu aux années 60. Ils ont rapidement compris que le sida leur offrait une occasion rêvée d’effrayer les gens pour qu’ils abandonnent leurs habitudes de liberté sexuelle. Au début, une grande partie de la propagande la plus terrifiante sur le sida provenait de groupes de pression religieux qui voulaient diffuser leur propre message moralisateur et étaient parfaitement prêts à exagérer un peu les faits afin d’effrayer l’électorat dans leurs bras.

    Deuxièmement, de nombreux autres groupes d’entreprises ont reconnu les occasions de profit associées au SIDA. Les compagnies d’assurance se sont servies de la menace du SIDA comme d’une prétexte pour augmenter leurs primes à un rythme beaucoup plus rapide que celui qu’elles auraient osé faire sans le SIDA. Les directeurs d’hôpitaux et de cliniques ont commencé à faire de l’argent en proposant des tests de dépistage et des conseils sur le sida.

    Naturellement, les politiciens n’ont pas tardé à tirer profit de la maladie. Ils ont compris que le sida était une occasion rêvée de faire peur à leurs électeurs. Les politiciens adorent faire peur aux gens – cela leur donne une bonne excuse pour introduire des lois sévères qui, autrement, ne seraient jamais adoptées.
    [cf la réponse de Goering devant le tribunal de Nüremberg] Et les administrations conservatrices – en particulier celles qui sont au pouvoir – savent très bien que les gens votent toujours pour des politiciens de droite (et pour le statu quo) lorsqu’ils se sentent menacés. Lorsqu’ils ont vu à quel point la campagne de peur du sida prenait de l’ampleur, les politiciens ont pris le train en marche et ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour exagérer la menace. Certaines des campagnes publicitaires lancées pour avertir le public de la menace du sida auraient été ridicules si les gens n’avaient pas déjà été effrayés.

    Un dernier groupe a joué un rôle essentiel dans la création du mythe du sida. Dès le début, il semblait clair que le sida était avant tout une menace pour les homosexuels, ce qui inquiétait énormément les groupes de pression homosexuels. Ils ont rapidement compris que si le SIDA restait une maladie essentiellement «homosexuelle», il y aurait un risque réel que les politiciens, les médecins, les chercheurs et le public se lassent rapidement de la maladie et que des fonds ne soient pas disponibles pour poursuivre les travaux de recherche qui avaient été entamés. Ils ont réalisé que pour maintenir l’intérêt du public pour la maladie, ils devaient changer la perception de la maladie par le public ; le SIDA devait devenir une maladie essentiellement hétérosexuelle. Ainsi, dans le monde entier, les groupes de pression homosexuels ont travaillé dur pour changer la perception du public. Comme de nombreux homosexuels travaillent à la télévision et à la radio, dans l’édition, le journalisme et le monde du spectacle, la campagne n’a pas été difficile à mettre sur pied et, en très peu de temps, le message a été déformé avec tant de succès que beaucoup de gens ont commencé à croire ce qui était diffusé.

    Malgré le blitz médiatique international fourni par une armée de journalistes médicaux aux ordres des compagnies pharmaceutiques, il était clair dès le début que le SIDA ne serait pas une menace majeure pour la société en général.

    En 1987, le magazine médical Pulse rapportait que la « seule pratique sexuelle » susceptible d’entraîner une infection par le virus du sida était le rapport anal réceptif. Le magazine citait les données de l’étude San Francisco Men’s Health Study, publiée dans le Journal of the American Medical Association. L’étude, portant sur plus d’un millier d’hommes hétérosexuels, homosexuels et bisexuels, rapporte que – je cite – « le contact génital anal réceptif est le principal mode de transmission de l’infection par le VIH ». Le rapport poursuit en disant qu' »il n’y avait aucune preuve de propagation épidémique due à un autre mode de transmission sexuelle. »

    Ce rapport était logique. Après tout, les preuves montraient que le SIDA était avant tout une maladie transmissible par le sang et, alors que les rapports sexuels vaginaux ordinaires n’entraînent généralement pas de lésions des tissus (et donc de saignements), les rapports sexuels anaux le font.

    En 1988, le British Medical Journal a publié un article intitulé « Heterosexual transmission of HIV by haemophiliacs ».

    Cet article a été rédigé par trois médecins de l’hôpital universitaire de Rotterdam, aux Pays-Bas, qui ont suivi pendant trois ans treize hémophiles et leurs partenaires. Leur conclusion était – je cite – « en l’absence d’autres facteurs de risque, la transmission du VIH de l’homme à la femme par des rapports vaginaux est peu fréquente ».

    Dans un article intitulé « Infection par le virus de l’immunodéficience humaine, infection par le virus de l’hépatite B et comportement sexuel des femmes fréquentant une clinique de médecine génito-urinaire », des auteurs de l’hôpital de Londres Ouest, de l’hôpital Charing Cross et du Central Public Health Laboratory de Londres ont étudié 1 115 femmes qui fréquentaient une clinique génito-urinaire de l’ouest de Londres. Les auteurs ont rapporté que plus de la moitié des 424 femmes qui ont déclaré avoir des partenaires sexuels non réguliers n’ont jamais utilisé de préservatif. Ils ont également indiqué que les deux femmes séropositives pour le VIH qui ont rempli un questionnaire sur leur comportement sexuel ont déclaré avoir eu des relations sexuelles anales.

    Les auteurs de ce document ont conclu que – je cite – « les femmes hétérosexuelles de Londres courent un faible risque d’être infectées par le VIH. »

    Dans un autre article scientifique, également publié dans le British Medical Journal, des chercheurs de la London School of Economics and Political Science et du St Mary’s Hospital ont étudié des prostituées. Ils sont arrivés à la conclusion que – et je cite leur article – « le facteur de risque le plus important pour les prostituées en Occident est le partage d’aiguilles et de seringues pour les drogues. » En 1992, des chercheurs ont constaté que moins de 30 prostituées sur 1 000 à Glasgow étaient infectées par le virus du sida – toutes étaient des consommateurs de drogues injectables. Les chercheurs de Glasgow ont souligné que le virus était plus susceptible d’être transmis par les prostituées par l’utilisation de matériel d’injection sale que par des rapports sexuels non protégés.

    L’un des articles les plus importants publiés sur le sujet du sida est probablement celui produit par le groupe d’étude européen en 1989. Il a été publié dans le British Medical Journal sous le titre « Risk factors for male to female transmission of HIV ». Le centre de coordination de ce rapport était le Centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé sur le SIDA à Paris et il y avait des centres participants en Italie, en Grèce, aux Pays-Bas, en Allemagne et en Espagne. Les auteurs de ce rapport ont conclu – je cite – « La seule pratique sexuelle qui augmente clairement le risque de transmission de l’homme à la femme est le rapport anal. » Les auteurs poursuivaient en disant que – je cite à nouveau – « aucune autre pratique sexuelle n’a été associée au risque de transmission. »

    Lorsqu’il est devenu évident que le sida n’allait pas devenir le fléau redouté, de nombreuses tentatives ont été faites pour justifier les prévisions initiales. Dans certaines régions, il a été suggéré que les patients souffrant de cancer soient répertoriés comme des victimes du sida. Dans d’autres régions, il a été suggéré d’inclure les patients souffrant de tuberculose dans les statistiques sur le sida. [les filoux! Remarquez pour le Covid ils ont fait pareil !!]

    Finalement, dans un éditorial publié dans le British Medical Journal au début des années 1990, le coordinateur international de la lutte contre le sida à l’Institut national du cancer des États-Unis d’Amérique a annoncé que « l’épidémie de VIH en Amérique du Nord et en Europe a probablement atteint son apogée… au milieu des années 1980 », tandis que l’Institut des actuaires de Grande-Bretagne a fini par admettre qu’il n’y avait « aucune preuve pour soutenir l’hypothèse d’une « explosion hétérosexuelle » du sida ou de l’infection par le VIH dans ce pays ». Mais il était alors trop tard car le mythe du SIDA avait créé une nouvelle industrie de chercheurs, de conseillers et d’experts autoproclamés et les journaux publiaient régulièrement des articles sur des régions où le nombre de conseillers en matière de SIDA dépassait le nombre de malades du SIDA. En 1992, dans de nombreuses régions, on a constaté qu’il y avait deux ou trois fois plus de conseillers en matière de SIDA que de victimes. De nombreux experts du SIDA sous-employés semblaient s’occuper à faire de leur mieux pour entretenir le mythe du SIDA – le mythe qui payait leurs salaires tout à fait injustifiés.

    Malgré les preuves, le sida était constamment présenté comme un « fléau ». En consacrant un temps extraordinaire au problème du sida et en refusant de présenter tout point de vue qui ne soutenait pas l’idée du sida comme un fléau majeur, la télévision a provoqué plus de peur et d’hystérie que toute autre chose dont je me souvienne. Il est bon de rappeler qu’en septembre 1987 – probablement l’année de pointe pour le SIDA, où il était difficile d’allumer un poste de télévision sans trouver un programme décrivant les horreurs du SIDA – l’estimation officielle du gouvernement britannique était que huit hétérosexuels avaient contracté le SIDA lors de rapports sexuels depuis 1981. Pour mettre les choses en perspective, il convient de souligner qu’en deux ans seulement, quatre fois plus de personnes étaient mortes en faisant de l’équitation. Au lieu de dépenser des millions pour encourager les hétérosexuels à porter des préservatifs,

    [marché ! Et SURTOUT création d’une hantise anti-sexualité dans le public] le gouvernement aurait peut-être mieux fait de dépenser son argent pour encourager les cavaliers à porter des casques de protection.

    L’efficacité du lobby de l’industrie pour promouvoir le sida comme une maladie effrayante (et donc rentable)  [ça rappelle des choses] m’est apparue à plusieurs reprises dans les années 1980, lorsque j’ai été vilipendé pour avoir dit la vérité sur la maladie. Les invités d’un dîner où j’intervenais en tant qu’invité d’honneur sont sortis lorsque j’ai osé suggérer que le sida n’était pas une menace majeure pour les hétérosexuels. Les rédacteurs en chef qui ont publié mes articles sur le sida ont reçu des appels téléphoniques indignés d’experts autoproclamés insistant sur le fait que je ne devais pas avoir droit à une quelconque tribune publique pour exprimer mes opinions. [déjà!] J’ai été menacé et attaqué à plusieurs reprises pour avoir osé citer les documents de recherche qui prouvaient que le sida n’était pas le nouveau fléau.

    Dans la seconde moitié des années 1980, il était devenu professionnellement dangereux d’oser suggérer que le sida n’était pas une peste mortelle. Peu de gens à la télévision ou dans l’édition voulaient même écouter un argument scientifique rationnel.

    Au début de 1987, j’ai reçu un appel téléphonique d’un chercheur d’une société de télévision qui m’a dit qu’il prévoyait un documentaire sur le SIDA.

    Que pensez-vous du sida ? m’a-t-il demandé.

    Je lui ai répondu que je pensais que le SIDA était un problème sérieux, mais qu’il n’était qu’un des nombreux problèmes médicaux sérieux et que la menace qu’il représentait avait été exagérée par certains médecins, beaucoup de politiciens et la plupart des journalistes. Le chercheur est resté silencieux pendant un moment ou deux. Je pouvais voir à ce silence qu’il était déçu. Ce n’était pas tout à fait ce qu’il espérait entendre.

    « Nous prévoyons un grand documentaire », a-t-il dit. « Nous voulons couvrir tous les aspects. N’avez-vous rien de nouveau à dire sur le sida ? »

    « Je ne pense pas que le sida soit un fléau qui menace l’humanité », ai-je insisté. « Je pense que c’est une maladie infectieuse dangereuse qui touche actuellement un petit nombre de personnes et qui pourrait, dans les prochaines années, en toucher des milliers d’autres. » J’ai ensuite souligné que je pensais que les preuves concernant le sida avaient été déformées et les faits exagérés.

    « Nous voulons vraiment que vous veniez à l’émission et que vous parliez de certains des problèmes susceptibles d’être produits par la maladie », a persisté le chercheur.

    « Je suis heureux de participer à l’émission et de dire que je pense que les dangers posés par la maladie ont été exagérés », ai-je répondu.

    Le chercheur soupire. « Pas mal de médecins m’ont dit ça. Mais ce n’est vraiment pas le genre d’angle que nous recherchons. »

    Je ne m’attendais pas à entendre à nouveau parler du chercheur et ce ne fut pas le cas. Sa société a produit un programme télévisé sur le sida qui est apparu sur nos écrans peu de temps après cette conversation et la plupart de ceux qui l’ont regardé se sont couchés en pensant que le sida était la plus grande menace pour l’humanité depuis la peste noire.

    Au cours des dernières années, j’ai perdu le compte du nombre de fois où j’ai eu cette même conversation avec des chercheurs et des producteurs de télévision. À la fin des années 1980, je recevais en moyenne trois ou quatre demandes par semaine pour apparaître à la télévision. Mais durant cette même période (alors que d’innombrables programmes sur le sida étaient réalisés), je n’ai reçu aucune invitation à parler du sida à la télévision.

    À maintes reprises, les faits concernant le SIDA ont été soigneusement sélectionnés pour satisfaire l’image publique de la maladie (et pour fournir une bonne histoire) plutôt que pour relater la vérité.

    Lorsqu’il est devenu évident que les discours sur les fléaux avaient été sauvagement exagérés, on a tenté d’entretenir le mythe en affirmant que la maladie était sur le point de dévaster l’Afrique.

    Une fois encore, cette affirmation était frauduleuse.

    La plus cruelle des ironies est certainement que le SIDA, qui a presque certainement été créé à la suite d’expériences sur des animaux, a conduit à la création d’une sous-industrie massive consacrée à l’utilisation d’animaux de laboratoire pour tenter de trouver un remède à la maladie. L’industrie de la recherche qui a été créée a consommé d’énormes sommes d’argent, a suscité des accusations de double jeu et de jalousie professionnelle et n’a jamais été en mesure de trouver un remède à la maladie.

    Tout au long des années 1980, les instituts de recherche du monde entier qui avaient besoin de fonds supplémentaires n’avaient qu’à ajouter le sida au titre de leurs projets et attendre que l’argent rentre. L’industrie du sida est devenue très vaste. En 1991, le montant total des dépenses consacrées à la recherche sur le sida dans le monde s’élevait à 1 500 000 000 $. En 1992, on estimait que les dépenses pour la recherche sur le SIDA atteindraient 1 625 000 000 $. La majeure partie de cet argent a été allouée à l’expérimentation animale. (Cette somme n’inclut pas le vaste montant collecté par les bénévoles, dont un grand nombre semble constamment désireux de contribuer à la collecte de fonds pour le SIDA. Je me demande s’ils seraient aussi désireux de collecter de l’argent pour des maladies peu à la mode mais néanmoins mortelles comme le cancer du côlon).

    L’histoire du SIDA, qui avait commencé dans le laboratoire d’un expérimentateur animal, a bouclé la boucle. Au final, c’est l’industrie qui avait créé la maladie qui en a tiré le plus grand profit. Pas vraiment un ‘triomphe’ pour la science médicale. »

    Cet essai est tiré du livre de Vernon Coleman « Betrayal of Trust », publié pour la première fois en 1994. Une nouvelle édition de poche de l’édition originale de « Betrayal of Trust » est disponible dans la librairie du site Web de Vernon Coleman.

    https://expose-news.com/2023/01/27/aids-the-true-story/

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    Coluche avec une plume dans le cul avait encore eu le droit d'être candidat à la l'élection présidentielles (quoi que par la suite on l'a tué) mais à l'époque les règles de DROIT étaient encore respectées. Maintenant le fascisme ne se cache même plus comme disait MC Solaar

    Maintenant les maires donnent son nom à des édifices municipaux - ça ne mange pas de pain - les morts ne parlent pas ! - un jour Dieudonné sera honoré comme le fut Béranger (deux fois incarcéré, pour blasphème ....)

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  • L’élimination des idiots

     

     

     

    On nous informe que 80% des gens sont allés se faire « vacciner » contre le covid-19, plus ou moins selon les pays. Je ne peux pas vérifier ces chiffres personnellement mais ils semblent plausibles d’après ce que je vois autour de moi. Est-ce que ça signifie qu’on assiste actuellement à l’élimination des 80% d’idiots ?

     

    Ceux qui ont reçu l’injection expérimentale tentent de se rassurer en pensant que la majorité a sûrement raison et que les dirigeants veulent leur bien et se soucient de leur santé. Ils se disent qu’il ne peut pas y avoir 80% d’idiots. Est-ce vraiment une question d’intelligence ? Je ne saurais définir ce qu’est un intelligent ou un idiot de façon générale. On peut avoir un raisonnement intelligent fondé sur de mauvaises hypothèses et en refusant de prendre en considération de meilleures hypothèses. On peut passer pour un idiot incapable de raisonner tout en ayant une bonne intuition permettant de percevoir la fausseté des hypothèses de l’intelligent.

     

    Plutôt que de discuter de concepts indéfinissables, j’aimerais rappeler les résultats de l’expérience de Milgram, effectuée en 1963 afin d’évaluer la soumission des individus à une autorité médicale : 62,5 % des sujets ont obéi pour aller jusqu’au bout en infligeant des électrochocs de 450V à des inconnus parce qu’on leur demandait de le faire. Une variante récente en 2009 de cette expérience est encore plus édifiante, où on a remplacé l’autorité médicale par une animatrice de télévision : 81% des candidats au jeu ont obéi pour torturer à mort un innocent, sans autre raison que celle de participer à un jeu dont c’était la règle. Je vous invite vivement à le regarder, c’est terrifiant : Le jeu de la mort (documentaire France 2 réalisé par Christophe Nick).

     

    Ces personnes étaient-elles idiotes ? Apparemment non, certains avaient de gros doutes durant les expériences de Milgram et l’émission du jeu de la mort, ils questionnaient parfois l’autorité et émettaient des doutes et des objections. Mais ils continuaient quand même, en sachant qu’ils infligeaient des chocs mortels à des inconnus innocents, ils ont fait ce que l’autorité voulait. Ils n’avaient pourtant rien à gagner et pouvaient se retirer à n’importe quel moment. Mais la pression sociale, la peur de ne pas faire partie du troupeau est plus forte.

     

    En 2021, les gens sont-ils aptes à dire non à une injection venant de l’autorité alors que tous les médias en font l’apologie ? Ce battage médiatique devrait lui-même être considéré comme suspicieux. Mais l’humain est très influençable et il préfère se ranger du côté de la majorité du troupeau plutôt que de se faire et défendre sa propre opinion si elle ne s’y conforme pas. Beaucoup ne veulent pas imaginer qu’on leur ment délibérément. Il est pourtant avéré que des mensonges divers ont été propagés sur des sujets importants, souvent pour maintenir la domination des élites sur le reste de la population ignorante. Voir par exemple –Extraterrestres et mensonges historiques

     

    Lorsque des décisions absurdes, contradictoires et basées sur des mensonges sont constatées, la majorité des gens dociles se rassure en disant que les décisionnaires font des erreurs. Pour les dirigeants manipulateurs c’est une aubaine de passer pour des incapables plutôt que pour des psychopathes qui savent très bien ce qu’ils font. Il est plus rassurant de se dire que Macron et ses ministres cafouillent plutôt que de considérer qu’ils suivent avec toutes les élites mondialistes un plan parfaitement de soumission et de contrôle bien établi depuis longtemps.

     

    Pourtant toutes les preuves sont disponibles : les politiciens ne sont que la partie visible d’un contrôle qui se fait plus haut. Je ne vais pas répéter tout ce qu’on a divulgué sur la familles Rothschild et Rockefeller par exemple, sur les francs-maçons, la cabale, les illuminatis, quel que soit le nom qu’on. Les 80% n’ont jamais voulu s’y intéresser et ça ne changera pas maintenant.

     

    Jacques Attali a lui-même écrit en 1981 (dans « L’avenir de la vie » un recueil de Michel Salomon) comment effectuer la dépopulation :

     

    « Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une une pandémie qui cible certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont, les peureux et les stupides y croiront et demanderont à être traités. Nous aurons pris soin d’avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux mêmes à l’abattoir. »

     

    Cette citation a été largement partagée, et naturellement les médias ont réussi à laisser croire qu’elle n’existait pas. Sauf qu’ils ont, comme toujours, détourné les propos et répondu à côté. Ils ont déclaré qu’Attali ne souhaitait pas ce genre de chose, ou que c’était sorti du contexte, parfois même ils ont expliqué que ce n’était pas dans un certain livre cité par erreur quelque part. Ils expliquent qu’ils ont contacté l’auteur ou l’éditeur qui a démenti sans le dire franchement, mais jamais ils ne disent avoir vérifié dans le livre en question. Faites-le, si vous avez des doutes, plutôt que de croire des réponses de médias qui servent à défendre le contrôle des élites.

     

    Lorsqu’il en parle, il n’explique évidemment pas qu’il s’agit d’un plan, il s’efforce plutôt de passer pour une sorte d’alerteur de diverses menaces. Mais il s’agit bel et bien d’un plan, qui n’est pas nouveau puisque les francs-maçons l’ont bien détaillé depuis plus de deux siècles. La révolution française faisait partie de ce plan (voir –La révolution française-), pour remplacer les monarques par le pouvoir des banquiers et mettre en place l’illusion d’un certain pouvoir par le peuple avec le suffrage universel, car il est très facile pour ceux qui contrôlent les médias et orientent les opinions de faire élire ceux qu’ils veulent. De nos jours ils contrôlent même les machines et logiciels de comptage des votes.

     

    Ils n’ont pas totalement dissimulé leur plan, car l’objectif n’est apparemment pas de se débarrasser de toute l’humanité, mais seulement de la partie qui se contente de suivre le troupeau et accepte docilement tout le discours médiatique et politique. Voir mon article –Techniques de mensonge et manipulation-.

     

    Ils ont eux-mêmes donné toutes les informations et mis en place l’opposition contrôlée. Divers alerteurs et experts se sont exprimés pour expliquer la supercherie à tous les niveaux. (On s’est même ouvertement moqués d’eux, quand on voit par exemple que le site proposé par le gouvernement pour trouver un centre de vaccination est « Vite ma dose« .)

     

    Voilà où nous en sommes. Les informations sont toutes disponibles, l’intérêt des élites n’est pas de les cacher s’ils veulent réellement se débarrasser uniquement de ceux qui n’auront pas été assez raisonnables pour remettre en question les informations les plus médiatisées, et qui auront préféré faire partie du troupeau de la majorité pour continuer leur petite vie matérialiste. Une injection d’ARN pour pouvoir aller au cinéma ou au fast-food, alors que le principe même de la vaccination est un mensonge (voir –Le mythe de la vaccination-, voir aussi –Vaccins : la catastrophe immunitaire– et encore –Médecine : généralités-). Pour lutter contre une maladie dont la mortalité s’est montrée équivalente à la grippe malgré des chiffres gonflés artificiellement, mais les médias ont réussi à instaurer une peur absurde.

     

    Je préfère garder mon esprit critique et ne jamais céder au chantage émotionnel. A chacun de faire son choix, mais évitez de vous contenter de suivre le troupeau, que ce soit par paresse, par peur d’être mal vu, à cause d’une crainte irrationnelle qui a été instaurée délibérément pour vous manipuler.

     

    « Si l’être humain n’était pas égoïste, il ne serait pas influençable. » (John G. Bennett, disciple de Gurdjieff)

     

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  •  9/2/2004 Vu « LA FIN DU REGNE ANIMAL » c’est un film horrible. C’est un très beau film.

     C’est un film (de Joël Brisse) qui a tout pour devenir un film-culte, auprès de écologistes par exemple.

     C’est un film aussi horrible qu’un film qui raconterait Auschwitz.

     (Et c’est révèlateur de l’unité foncière du mal, croyez vous qu’il y ait une différence entre les
     gendarmes français (que faisaient-ils en 40-45 au fait ? ils ont obéis aux ordres) et les SS ? non,
     non, les SS aussi faisaient leur devoir sans état d’âme, c’est pareil, on leur avait dit sur les juifs la
     même chose que les autorités vétérinaires, et ils étaient aussi sans âme et impavide devant des
     êtres qu’ils ne reconnaissaient pas)

     Le titre de ce fim devrait être en fait « Le triomphe de la mort » et de tous ceux qui sont de sont côté, qui la
     propagent, l’imposent en font le culte, sont ses hommes de mains fanatiques et dévoués.

     A la fin il ( le héros du film, Noël) s’enferme avec tous les animaux restants du village et se fait bruler
     vif avec eux dans sa grange. Après ce qu’il a vu quelques heures avant, et ce qu’il a été amené à faire
     (la vieille brebis) ça se comprend. C’est logique.

     Ca n’a rien d’étonnant que cette France se met à voir rouge pour le moindre bout de tissu qui
     témoigne que quelqu’un croit en Dieu !

    Eh oui on fait une chasse paranoïaque à tout ce qu’on soupçonne de faire même silencieusement de la propagande pour Chanel, non, pardon pour Adidas, non eux ils ont le droit, pardon ! pour la croyance en Dieu et toute autre idée religieuse, et en même temps par exemple l’institutrice du film « La fin du règne animal » quand elle tient à bien enfoncer dans le crâne de son élève que « ressusciter, ça n’est JAMAIS arrivé et ça n’arrivera JAMAIS » elle fait de la propagande antireligieuse très nette et pas neutre du tout, ça c’est autorisé, alors que quelqu’un, qui ne ferait même aucune propagande, mais qui simplement s’habillerait – en choisissant un vêtement traditionnellement occidental ! – de telle sorte qu’on pourrait en présumer qu’elle croit en Dieu, ça ils le considèrent comme une atteinte à la neutralité !!!!

    Là ils jettent le masque ! et on voit bien ce dont il s’agit en fait……

     C’est bien l’alliance de Raffarin-Sarkozy-la-ligue-d’action-Laïque-les-nouveaux-calotins-de-l’Ordre,
     et la société décrite dans « Brave New World » qui est la notre aujourd’hui, la flicaille (la flicaille
     éternelle, le seul Internationale imperturbable) les ayatollahs du Freudisme et du culte de la mort.
     Les bonnes–femmes  de notre époque, ces Anges de la Mort,  qui ont d’ailleurs le physique de
     l’emploi : maigres, raides et glacées, toujours tendues, aussi blindées et fermées qu’une Entreprise
     moderne, elle ont le même look qu’un tiroir de morgue et contrairement aux chiens, (et même aux
     moutons, si l’on en croit le film) elles sont incapables d’aimer qui que ce soit, c’est tout à fait
     incompatible.

     Enfin, la morale est sauve ! (la morale de l’athéisme et du matérialisme !) puisque que tous les
     phénomènes bizarres du film ont en fait une explication naturelle !

     
    Un film désespéré et désespérant.

     

    Et plein de scènes inoubliables. (ne fusse que celle où les moutons se mettent à former un cercle autour de Noël pour le protéger.)

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