• "et les arbres font
    de larges caresses aux plafond profonds"

    comment est-il possible de vivre sans plafond profonds ? quel désastre qu'une génération de gens qui n'ont même pas de plafond profonds, ni d'arbres, ni de greniers !
     

     
     
    "le cri court des cailles
    divisant l'été"

    existera-t-il encore ? et le bonheur, et la France et la vraie vie ? et les champs, et la liberté ?

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  • le site de change.org n'existe plus !!!!!!! il n'est plus possible de s'y connecter, ce qui fait que le site de la pétition, dont personne ne peut aisi même connaître le texte, est innaccessible totalement.
    s'agit-il d'une censure ?

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  • sept 2012 :

    J'ai commencé par être très pauvre – même qu'une fois un inspecteur des impôts est venu voir mon père, il ne voulait pas croire qu'on puisse vivre avec si peu, mais mon père lui a répondu que comme on n'avait pas de voiture, on ne partait jamais en vacances (le premier voyage lointain que j'aie fait, et aussi maman, fut en 1971 pour aller voir René Wargniez en traversant toute la France, à partir de là on en a fait d'autres), maman faisait ses robes et mes vêtements, on se nourrissait principalement de pommes de terre à l'eau (et des beefsteaks aussi il faut le dire), on ne payait pas de loyer; en fait nos ressources étaient faites de plein de petites sources additionnés : le mini-salaire de mon père comme chantre-organiste-sacristain, celui qu'il touchait à monter des chapelles mortuaires chez les gens pour le compte de l'entrepreneur de pompes funèbres, la pension d'invalidité qu'il touchait depuis l'age de 16 ans pour ses trois doigts coupés, le loyer de la maison de maman (eh oui ! Pauvres mais propriétaires), plus tard il y eu des lois de passées et maman s'est mise à toucher une retraite d'« aide familial agricole » et papa aussi, et puis bien sûr il y avait les commissions qu'on touchait en tant que correspondants de la vente par catalogue des Galeries Lafayette; une chose que papa n'a pas dit à l'inspecteur bien sûr c'était qu'il piquait aussi dans la quête de la messe, qu'il était chargé de compter – la maison n'avait bien sûr aucun « confort moderne », que seuls les bourgeois, les petits bourgeois aussi, avaient à l'époque; WC au bout de la cour ou petit pot de chambre, un robinet pour se laver (c'est de là que j'ai pris goût au fait de se laver à l'eau de Cologne, plus efficace et plus agréable) pas de machine à laver bien entendu, ni rien de tout ça. Même qu'au tout début il n'y avait pas non plus l'eau courante, mais une pompe qui puisait dans une citerne les eaux de pluie, mais dans la rue la municipalité mettait des bornes-fontaines (gratuites) à disposition des riverains (eh oui ! Maintenant réfléchissez un peu : l'eau courant ça a signifié l'entrée dans le rapport marchand …. tout bénef pour eux en fait … c'est comme l'abolition de l'esclavage, tant vantée en 1861, beaucoup de propriétaires étaient pour, car plus besoin de nourrir, vêtir, loger, soigner ses esclaves, ils passaient de l'état d'esclave à celui de salariés, à condition de trouver un travail ! … , et à eux de se démerder avec le peu qu'on leur donnait, sujet à creuser, et actualiser sur les choses qui se passent maintenant). On était (maman était ! Et selon elle papa en était jaloux, je ne le crois pas, mais il a toujours souffert de n'avoir jamais eu de maison à lui) propriétaires, mais on vivait dans une maison de fonction louée à titre gracieux par la paroisse, pour moi c'était « notre maison », « chez nous », et lorsque un incident vint me rappeler que en fait la maison n'était pas à nous, et qu'on pouvait en être foutus dehors à volonté par le curé, ça m'a très déstabilisé.
    Donc on était très pauvres, mais moi je ne le ressentais pas du tout comme ça, malgré les patates à l'eau et les meubles bricolés avec des grandes caisses en carton. Je savais bien que faire des voyages, par exemple à Moscou, c'était des choses que je ne ferai jamais (je ne me doutais pas qu'un jour je ferai un voyage en Inde et un en Ouzbékistan ! et que j'aurais pu même en faire beaucoup plus …), que « c'était pour les riches », de même que d'avoir le téléphone. Même si je me plaisais à rêver devant les cartes géographiques de si j'étais roi et pouvais recevoir un de ces pays en royaume lequel je choisirais ? Ou d'avoir les moyens de se faire créer dans mon jardin un labyrinthe comme je les aimais, bien grand et bien compliqué. On était même moins riches que des ouvriers, sans doute, mais dans un sens on était plus riches que les ouvriers, culturellement, on jouait aux cartes, maman quoi qu'inculte (et refusant de croire que l'homme était allé sur la lune, se demandant plutôt si les étoiles n'étaient pas les lumières des gens qui habitent là-haut) faisait des tableaux à l'huile (et bien sûr des tas de broderies, tricots et autres travaux d'aiguilles en tous genres), papa faisait des championnats de mots-croisés, harmonisait des pièces musicales pour l'église, et s'achetait le cours de composition musicale en quatre volumes professé par Vincent D'indy à la Schola Cantorum, et moi je feuilletais des heures durant les six volumes du dictionnaire encyclopédique Larousse en 6 volumes.

    Plus tard, après avoir à une certaine époque du à plusieurs reprises coucher dans des asiles de nuits pour SDF (et même une fois passé la nuit assis à côté du feu que les clochards allumaient auprès des halles de Reims), je me suis retrouvé enfin salarié, fonctionnaire, dans un monde moderne. Et alors, j'ai, comme j'ai dit, joui d'un niveau de vie, que je ne pourrais tout juste que ….. retrouver ! maintenant que grâce à l'héritage de mon oncle, je suis, théoriquement, deux fois plus riche ! il y a eu entre temps tant de dégradation dans le pouvoir d'achat général des salariés français ! ….. depuis le début du « Grand Bon en Arrière » par lequel le grand capital, avec l'aide tant des ses copains « socialistes » que de la droite classique d'en face, a entrepris de nous enlever tout ce qu'on avait acquis en 1945 ! Bref je me suis mis, à aller au théâtre, au cinéma, en vacances, voyages ou stages, acheter des livres, des bibelots, rêver même de lithographies, à manger régulièrement au restaurant, et passer toutes mes soirées au café. Et puis aussi, suite aux résolutions que je m'étais faites dans ma période chrétien (ou presque), et intellectuel de gauche, je me suis mis à faire chaque mois un don de cent francs pour diverses « bonnes causes ». Depuis j'ai augmenté les cent à deux cent, et maintenant que « me voilà riche », je n'ai pas pu faire moins que de passer à 300 (soit 45,73 de ces sales machins états-uniesques qu'ils apellent « euros »). Comme j'ai dit, depuis 1981, paradoxalement (?), les augmentations d'échelons des fonctionnaires, bien loin de constituer un avancement, n'ont plus servi qu'à compenser, pour ceux qui vieillissent, (mais ça veut dire que les jeunes qui entrent dans la carrière sont de moins en moins payés, maintenant on est à – 30%), la perte de pouvoir d'achat qu'ils nous imposent à chaque revalorisation annuelle, toujours un peu inférieure à l'inflation (officielle ! ….).

    Puis je me suis retrouvé propriétaire de deux (même un certain temps trois) maisons, toutes payées en fait n'est-ce pas, essentiellement avec l'argent de mon père, la première c'est quasiment lui qui me l'a payée, et de maman, dont j'ai finalement vendu la maison, bref, et jusqu'à maintenant (voir la suite) je n'ai jamais été qu'un vautour, c'est comme ça en fait que je suis devenu riche, avec les cadavres des autres.

    Et pendant un moment j'ai été avec une femme qui était dans un sens plus riche que moi, et dans un autre moins, car avec son gros salaire de sage-femme elle devait payer les études, en boites privées, de ses deux enfants, et les réparations de sa grosse voiture, et question mentalité et relations aussi, dans un sens plus bourgeoise, et « notable », et elle aimait ça, et en même temps plus ouvrière, et en dépit de ses grands discours, et ses grands diplomes, nettement plus inculte que moi, niveau « les feux de l'amour » en fait.

    Et voilà, maintenant « grâce » (grâce à la mort ! Faut-il s'en féliciter ?) à l'héritage de mon oncle, me voilà riche - enfin tout est relatif ! - me voilà deux fois plus riche, en capital du moins, je pourrait m'acheter « tout » ce dont je pourrais avoir envie, l'ennui c'est que je n'ai plus envie de rien !

    Voilà

    Je pourrais m'acheter carrèment encore deux maisons supplémentaires et les louer, mais j'ai déjà assez de problèmes et assez de dépenses avec une ! Et je me rends compte maintenant (mais ça ne suffit pas à me faire comprendre par exemple comment vivait mon oncle justement, deux fois plus riche que moi : car il ne faut pas perdre de vue que plus de la moitié de ses possessions est allé à l'Etat, donc ça faisait une sacré somme ! mais vivant de ses légumes et de son mouton dans sa baraque qui avait l'allure d'un squat de chiffonnier), que quand on a été habitué à vivre chichement on ne saurait plus prendre l'habitude de dépenser. Résultat, je n'ai presque pas changé mon mode de vie.

    Je n'ai donc même pas retrouvé en fait mon niveau de vie des années 80, car dans la société actuelle il n'est plus possible d'aller au théatre, et même aux concerts d'orgue, sans avoir réservé plusieurs mois à l'avance; les centre-ville devenus avec ces immondes caméras de vidéo-surveillance, des morceaux d'Union Soviétique sous Staline, sont à fuir; des voyages lointains, il n'y faut plus compter, je n'en ferai plus jamais - tout perdu ! - pour des raisons de plusieurs ordres... L'une d'elles étant que pour voyager loin (sauf si on va à Hanoï en passant par le Transsibérien comme j'aurais pu le faire cet été …) il faut prendre l'avion, et que dans la société actuelle on a PEUR de passer ce genre de frontières, ça crée trop d'angoisse, et il faut se faire traiter comme des acteurs de film pornos ou des juives du ghetto devant les soldats nazis. A vomir !

    Ilne me reste plus qu'à mourir entre mon ordinateur branché sur Internet et mes deux chats, et mon jardin qui dans les camp de concentration totalitaire qu'est devenue la France actuelle, ne m'appartient même plus. En 1960 j'était plus riche. Et d'abord riche d'amour et de calins.



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  • Nous sommes là tous deux

    comme devant la mer

    sous l'avance saline des souvenirs
    ......

    Ne t'afflige point, toi dont le tourment ne remonte pas comme le mien,

    jusqu'aux âges qui tremblent derrière les horizons,

    tu ne sais pas ce qu'est une vague morte depuis trois mille ans,

    et qui renaît en moi, pour périr encore,

    ni l'alouette immobile depuis plusieurs décennies

    qui devient en moi une alouette toute neuve,

    avec un coeur rapide, rapide,

    pressé d'en finir.

    Ne t'afflige point, toi qui vois en la nuit

    une amie qu'émerveille ton sourire aiguisé

    par la chute du jour,

    la nuit armée d'étoiles innombrables et grouillante de siècles,

    qui me force pour en mesurer la violence,

    à renverser la tête en arrière

    comme font les morts, mon amie,

    comme font les morts.


    Jules Supervielle

    (In Gravitations)

     

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  • communiqué de StartPage.com & Ixquick.com :

    « PRISM »: l'énorme scandale d'espionnage d'Internet par le gouvernement des États-Unis dévoilé.

    Le Washington Post et le Guardian ont révélé l'existence d'un programme géant de surveillance de l'internet dont le nom de code est « PRISM ». Ils annoncent que la NSA et le FBI ont eu un accès direct au serveurs de neuf fournisseurs d'accès, comprenant Facebook, Microsoft, Google, Apple, Yahoo, YouTube, AOL et Skype, et que ce programme a été lancé depuis au moins sept ans.

    Ces révélations suscitent un considérable émoi international.

    Des programmes comme PRISM violent l'intimité de nos communications, brisent la confiance dans nos gouvernements et représentent un danger pour la liberté sur notre liberté sur internet.

    Protéger l'intimité des communications privées et de défendre les libertés publiques, telle a toujours été la vocation de StartPage.

    Aussi, ne vous étonnera-t-il pas que nous soyons des opposants farouches à tous les programmes d'espionnage à grande échelle, tels que PRISM. Dans le passé, même les programmes de surveillance d'internet lancés par des gouvernements avec de bonnes intentions sont devenus des outils débouchant sur des usages abusifs, utilisés par exemple pour la surveillance des mouvements de défense des droits civils ou de mouvements opposés à la guerre.

    StartPage et son moteur de recherche jumeau Ixquick n'ont, dans leur histoire déjà vieille de 14 ans, jamais fourni un seul bit d'information à aucun gouvernement ou à aucun de ses « services ». Qu'il s'agisse bien sûr de PRISM ou d'aucun autre programme américain. Ni d'aucun autre programme dans le monde. Nous ne sommes pas, comme Yahoo, Facebook, Google, Apple, Skype, ou toute autre société américaine, pris dans les filets de la surveillance d'internet par un programme tel que PRISM.

    Voici comment et en quoi nous sommes différents :

    * StartPage n'enregistre et ne conserve aucune donnée personnelle de ses utilisateurs. Ceci doit être clair pour tout le monde, y compris les agences gouvernementales concernées. Nous n'enregistrons pas les adresses IP de nos utilisateurs ni n'utilisons des cookies de suivi. Si bien qu'il n'y a littéralement aucune donnée vous concernant accessible sur nos serveurs. Puisque nous ne savons même pas quels sont nos clients, nous ne pouvons informer de quelque manière que ce soit Big Brother. De fait, depuis 14 ans, nous n'avons jamais reçu aucune demande d'aucune autorité gouvernementale réclamant des données sur nos utilisateurs.

    * StartPage fait appel à des communications cryptées par défaut (HTTPS). Le chiffrage prévient la curiosité. Votre navigation est cryptée de sorte que des tiers ne puissent siphonner votre connexion à internet pour voir quelles recherches vous faites. Cette méthode, conjuguée avec l'absence de stockage de données vous concernant sur nos serveurs, assure la protection de votre vie privée.

    * Notre Société a son siège en Europe, aux Pays-Bas. La législation américaine ne s'y applique pas, du moins pas sans restrictions. Toute demande de fournir des données sur un utilisateur, de quelque gouvernement qu'elle vienne, est, le cas échéant, soumise au crible de l'examen par nos juristes. Et nous n'y donnons pas suite, sauf à ce que la législation à laquelle nous sommes soumis dans notre pays ne nous y oblige sans équivoque. Et même dans cette hypothétique situation , comme indiqué ci-dessus, nous ne détenons aucunes données utilisateurs susceptibles d'être fournies.

    * Jamais nous n'accepterons d'apporter délibérément notre concours à des programmes d'espionnage comme PRISM

    * StartPage ne peut être obligée à vous espionner. Étant donné la robuste protection de la vie privée qui règne en Europe, les gouvernements européens ne peuvent légalement forcer des fournisseurs d'accès comme nous à participer à un programme d'espionnage de nos utilisateurs. Et si cela devait évoluer, nous le combattrions sans faillir.

    La protection de la vie privée,
    ce n'est pas seulement notre politique,
    c'est notre mission!

    StartPage.com & Ixquick.com
    Robert E.G. Beens, Président

    le moteur de recherche qui, contrairement à Google ou Yahoo, ne vous espione pas : Startpage

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  •   De nos jours les femmes sont habillées exactement comme les hommes, c’est à dire en cow-boys, comme Lucky Luke ( mais sans chapeau et sans cigarette !) : blue-jean’s de marque ostentatoire et tee-shirt noir. 
    - Alors il n’y a vraiment aucune manière de les reconnaître ? Si ! les femmes on les reconnaît à ce qu’elles ont les joues creuses, les traits aigus, la physionomie glacée et l’air hargneux.

    De plus si quelqu'un se conduit de manière détendue, sociable et aimable, c’est que c’est un homme

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  • "L'histoire ne se répète jamais mais elle begaye tout le temps" dit-on, une nouvelle sorte d'Union Soviétique se met en place, la fameuse Union "Européenne" avec son idéologie imposée, ses diktats, ses privilèges qu'on cache (voir le lien), ses oligarques autoproclamés, son flicage totalitaire des "citoyens" (projet INDECT, et les autres !), sa propagande, son mensonge médiatique, le filet de plus en plus dictatorial qu'il jette sur les nations (et les gens ! et même les entreprises, enfin, les petites !) ressemble de plus en plus à feue l'URSS, l'URSS à peine tombée on en a construit une nouvelle sauf que ce n'est plus pour imposer" le communisme mais à celui le capitalisme sauvage, et la soumission à l'impérialisme Eatsunien, et maintenant l'annexion de l'Europe à l'empire US, en commençant par le "Marché Atlantique", dont la suite sera comme pour la CEE une union/soumission monétaire puis politique, et ce sera la FIN ! donc on est sous la dictature du PCURSA : le PARTI CAPITALISTE DE l'UNION des REPUBLIQUE SECURITAIRES ATLANTISTES.

    (et comme l'ancienne avait imposé l'usage universel de la langue russe et la destruction des cultures, celle-ci impose l'usage universel de l'anglo-américain lui aussi aliénant destruction de nos cultures au profit de la puissance colonisatrice !)

    http://www.dailymotion.com/video/x11bt9d_scandale-au-parlement-europeen-argent-facile-champagne-a-gogo-et-autres-privileges_news

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  • Qu’elle plaisir de voir tous ces traitres et bon á rien se faire piquer les oreilles par la Vérité !! (quand aurons-nous ce genre de député(e) en France ??. honnèteté et courage : respect total.)

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  •  

    La grande différence entre le protestantisme et le catholicisme est la notion de PARDON. Le pardon des péchés (et tout ce qui va avec) est quelque chose de central dans le catholicisme, dans le protestantisme ça n’existe pas, on est prédestiné dès la naissance pour être sauvé ou damné, il n’y a pas de pardon !

    Ça fait des sociétés tout différentes !

    et surtout ça laisse des traces, indélèbiles, dans les sociétés, après que les religions sont mortes.

     

    Il y a aussi la notion du Démon. Chez les protestants la chasse au péché rend coupable le pécheur, l’Axe du Mal à lui tout seul ! intrinsèquement mauvais ; tandis que chez les catholiques le mal c’est le Diable, et le Diable devient la hantise, la peur, mais aussi le Diable entre dans le corps du pécheur, on peut donc l’en faire sortir, et alors le pécheur est libéré, et redevient innocent comme l’enfant qui vient de naître.

     

     

     

    « Quand tu vois ton frère en train de pécher, couvre-le du manteau de ton amour »

    Saint Isaac le Syrien

     

     

    et puis il y a toutes les névroses totalitaires du puritanisme. L'eugénisme est né et a été pratiquée - chronologiquement USA, puis Suisse, puis Scandinavue, l'Allemagne seulement après, quand Hitler est venu au pouvoir - dans les pays protestants, pareil ce sot eux qui ont lancé la "tolérance zéro" et le Libérl-Fascisme, c'est pourquoi Pierre Jovanovic dit http://www.youtube.com/watch?v=D-bYgeDCzUQ minutes 22-24 "c'est ce monde protestant typiquement orwellien"  -" le vol de la démocratie va avec le fait qu'il y ait des espèces de connards qui interdisent aux gens d'acheter des bouteilles de coca-cola de deux litres"
    Ne pas oublier aussi de revoir le film "Breaking the waves"

     


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  • quand aux "antifas" prétendûment d'extrème-gauche, je crois que ce sont en fait des agents d'influences appartenant "Services" de l'OTAN ou manipulés par ceux-ci. D'ailleurs ça fait des décennies qu'il y en a Gonzales-Mata, qui en fut un, le raconte dans ses livres.

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  • C'est pourquoi les capitalistes en ont horreur ! pour rien d'autre, et c'est pourquoi la lutte des classes pratiquée par les financiers passe par la fameuse "indépendance" des banques centrales, l'esclave des nations par la "dette", et tout ça; Rougeyron explique tout ça avec beaucoup de compétence, c'est une "tête" !

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  • "Quelle belle vie !" Et après on meurt, et

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  • Le 22 mai, Ibragim Todashev, un témoin clé dans les événements entourant les attentats à la bombe du marathon de Boston, a été assassiné par un agent du FBI à sa résidence en Floride. Todashev, une présumée connaissance de Dzhokhar et Tamerlan Tsarnaev, les suspects dans l’attentat, n’était pas armé et en garde à vue lorsqu’il a été abattu de sept coups de feu, dont un à la tête.

    Cet événement extraordinaire, dont les quelques reportages ont été enfouis dans les médias américains, a toutes les apparences de dissimulation, de tromperie et de criminalité. Quatre ou cinq explications complètement différentes du meurtre ont été présentées par le gouvernement en l’espace d’une semaine. Aucune de ces explications n’est crédible.

    L’assassinat de Todashev a eu lieu un peu plus d’un mois après l’explosion des deux bombes – qui avait fait 3 morts et 264 blessés – à proximité de la ligne d’arrivée du marathon de Boston. Très rapidement, on a dit à la population que les responsables avaient été identifiés. Peu de temps après, Tamerlan, 26 ans, a été abattu par les policiers. Son frère Dzhokhar, 19 ans, fut grièvement blessé alors qu’il se cachait, sans arme, dans un bateau remisé.

    Dans les jours qui ont suivi l’attentat, la loi martiale fut essentiellement imposée dans la ville de Boston. Dans une opération sans précédent de la police et de l’armée, la population reçut l’ordre de «rester à l’abri» pendant que des véhicules blindés étaient déployés dans les rues et que des équipes SWAT lourdement armées faisaient des perquisitions dans les résidences sans le moindre respect pour les droits fondamentaux.

    À la suite des événements de Boston, on apprit que l’aîné des Tsarnaev – comme presque tous ceux qui ont commis ou tenté de commettre un tel acte – était connu depuis longtemps des services du renseignement et avait possiblement établi des liens avec eux. Des avertissements précis avaient été émis par la Russie et ces avertissements avaient été ignorés. On apprit aussi qu’un proche collaborateur de Tamerlan et deux autres personnes avaient été tués au moment du dixième anniversaire des attentats du 11 septembre 2011, un an et demi avant les attentats de Boston.

    C’est dans ces conditions qu’une personne qui connaissait les frères Tsarnaev et qui pouvait détenir des renseignements précieux vivait en Floride. Mais avant même que ce témoin clé put être publiquement interrogé, et avant qu’une quelconque accusation ne soit portée contre lui, il fut abattu par un agent du FBI dans des circonstances extrêmement douteuses.

    Le jour de la mort de Todashev, en l’absence de tout avocat et, on présume, ses droits «Miranda» bafoués, au moins quatre agents des services fédéraux et régionaux ont passé huit heures avec lui dans sa résidence pour supposément lui faire avouer qu’il était responsable des meurtres commis avant le marathon de Boston.

    Avant cet interrogatoire, Todashev avait confié à son colocataire, qui a lui aussi été interrogé, qu’il craignait pour sa vie.

    Le père de Todashev a récemment déclaré lors d’une conférence de presse à Moscou que les photos provenant de la morgue prouvaient que certains coups de feu devaient avoir été tirés pendant que son fils était étendu au sol, le tireur au-dessus de lui. Le père a décrit en russe le tir à la tête comme un «tir d’assurance», c’est-à-dire un tir à bout portant pour garantir que la victime est bien morte; une pratique digne de la mafia.

    À la suite de l’incident, plusieurs explications officielles contradictoires des moments précédant la mort de Todashev ont été communiquées et répétées scrupuleusement par les médias américains.

    D’abord, l’Associated Press a rapporté que «les responsables des forces de l’ordre disent que l’on a tiré sur [Todashev]… après qu’il s’est jeté avec un couteau sur un agent du FBI». Selon l’article, les blessures qu’avait subies l’agent n’étaient «pas mortelles». Cependant, il fut par la suite admis qu’il n’y avait pas de couteau sur la scène du crime.

    Personne n’a tenté d’expliquer pourquoi les responsables ont affirmé qu’un couteau avait été utilisé même s’il n’y en avait pas. Au contraire, une série de nouvelles explications, toutes plus incroyables les unes que les autres, fut offerte. Dans une version fournie par un réseau de télé d’Orlando, Todashev aurait tenté d’agripper le revolver de l’agent. Dans une autre, celle d’ABC News, Todashev aurait essayé de s’emparer d’une «épée de samouraï» qui avait été apparemment laissée à proximité.

    Selon l’explication fournie par un groupe associé à Fox News, Todashev se serait effectivement emparé de l’épée de samouraï (pas une véritable épée, mais plutôt un objet décoratif) pour ensuite attaquer l’agent.

    Dans la dernière version, celle du New York Times, Todashev aurait attaqué l’agent du FBI avec une «barre de métal» qui «aurait pu être [?] un balai».

    L’explication où la personne «s’empare d’une arme» est une pratique bien connue dans les «enquêtes» policières qui tentent de justifier l’assassinat d’une personne non armée.

    D’autres déclarations demeurent inexpliquées et contradictoires. LeWashington Post a rapporté le 29 mai que, pour une raison inconnue, tout juste avant le meurtre, tous les autres interrogateurs ont laissé l’agent du FBI seul dans la pièce avec Todashev.

    Dans l’article du New York Times paru le lendemain, on lit qu’il y avait un agent de plus dans la pièce. Cet agent, d’après un haut représentant que leTimes cite avec crédulité, n’a jamais fait feu, car, supposément, il craignait de blesser son collègue. Il faut croire que celui qui a tué Todashev ne partageait pas cette préoccupation.

    Ni l’agent du FBI qui a tiré sur Todashev, ni personne d’autre, n’ont été nommés publiquement ou détenus à des fins d’interrogation.

    Il existe une explication du meurtre de Todashev beaucoup plus probable que les histoires opportunes et ridicules publiées dans les médias : Todashev était en possession de renseignements sur le présumé responsable des attentats de Boston, Tamerlan Tsarnaev – peut-être, ce qui est fort possible, sur ses liens avec le service des renseignements américain – qui pouvaient miner le scénario officiel. À un certain moment du long interrogatoire, les agents à Orlando auraient reçu l’ordre, possiblement de quelqu’un à Washington, de se débarrasser de Todashev «par extrême préjudice».

    L’assassinat de Todashev remet encore plus en question l’explication officielle des événements de Boston.

    La semaine dernière, le Service fédéral de sécurité de Russie a affirmé qu’il avait fourni aux autorités américaines suffisamment de renseignements pour empêcher les attentats de Boston. Cette assertion a été confirmée par le député américain William R. Keating après une visite à Moscou.

    Keating, pendant qu’il était à Moscou, a aussi admis que le service des renseignements russe avait exigé d’être averti si Tsarnaev se rendait en Russie. Les autorités américaines n’ont jamais expliqué pourquoi elles ne l’avaient pas fait ou pourquoi elles avaient laissé Tsarnaev se rendre en Tchétchénie, et en revenir, sans l’interroger.

    Comme pour les attentats du 11 septembre 2001, il y a près de 12 ans, on ne peut expliquer l’attitude du service des renseignements des États-Unis comme une incapacité à «établir les liens». Que ces agences – grassement financées dans le cadre de la «guerre contre le terrorisme» – eurent été complètement inconscientes de ce qui se passait tout juste sous leur nez met la crédulité à rude épreuve. En fait, si quelqu’un du service des renseignements américain avait simplement «failli à la tâche», on serait en droit de s’attendre à des démissions, des congédiements et même des poursuites. Plutôt, personne n’est tenu responsable et personne n’a démissionné.

    Les faits sont têtus. Ce que nous savons clairement est qu’un témoin clé lié aux attentats de Boston a été assassiné par l’État. Ce témoin, qui craignait pour sa vie, détenait probablement des renseignements compromettants.

    Le meurtre de Todashev n’a suscité aucune critique au sein de l’établissement politique. Les médias ont joué comme à l’habitude leur sale et servile rôle de dissimulation. À l’exception d’un seul éditorial paru dans leWashington Post qui exprimait la crainte que la mort de Todashev puisse «alimenter de folles théories du complot», personne dans les médias ou les institutions fédérales, d’État ou municipales n’a demandé d’explication ou d’enquête sur ce qui s’est passé.

    Après le meurtre, en septembre 2001 au Yémen, d’Anwar Al-Awlaki, citoyen américain et imam, des questions furent posées quant à la possibilité d’assassinats en territoire américain. Il semble maintenant que c’est ce qui s’est produit. Une autre étape vient d’être franchie vers la mise en place d’un État policier.

    Tom Carter

    Article original, WSWS, paru le 3 juin 2013

    Mondialisation.ca

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  • c'est un véritable appel du 18 juin - l'appel du 18 juin de la situation actuelle

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  • maintenant réfléchissez et tirez-en les conséquences !

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  • Vi kaj mi du kontraux la ter' tuta

    (la video)

    (Claude François)

    1975

     

     

    Mi blondas, vi blondas, vi

    Havas okulojn kiel mi

    Vi ‘stas la sukces' kiun mi ne esperis

    Ni du : ‘stas vira afer’

    Ne diru al panjo, ne ŝi

    Kapablas kompreni

    Mian sorĉon sur ter’ :

     

    Vi kaj mi du

    Kontraŭ la ter’ tuta, vi ĉiam miaflanke

    komprenas miajn tristojn, ombro de mia kor’

    malĝoj’ de mia malĝoj’.

    Ja vi kaj mi du, kontraŭ la ter’ tuta.

    Kaj viaj armeoj da ludosoldatoj,

    Vidinta vin venki, mi nenion plu timas.

     

    Ne ĉiam mi bone amis vin

    Ne ĉiam ni interkomprenis

    Sed vi fariĝas vir’ kaj mia amiko.

    Kiam iam foriros vi

    Kiel la dudekjaruloj

    Se iam ploras vi

    La tempon memoru,

     

    Kiam vi kaj mi du kontraŭ la ter’ tuta

    Mi ĉiam viaflanke, komprenis viajn tristojn,

    ‘Stis ombro de via kor ’malĝoj’ de via malĝoj’.

    Jes vi kaj mi du, kontraŭ la ter’ tuta.

    Kaj viaj armeoj da ludosoldatoj,

    Ni venkis konstante kaj nenion timis.

     

    Vi kaj mi du Kontraŭ la ter’ tuta,

    Vi ĉiam miaflanke komprenas miajn tristojn,

    Ombro de mia kor’ malĝoj’ de mia malĝoj’.

    Jes vi kaj mi du, kontraŭ la ter’ tuta.

    Kaj viaj armeoj da ludosoldatoj.

     

     

     

    Esperantigis Roland PLATTEAU 8-12/10/2003

    Por vidi la tuton de esperantigitaj francaj kanzonoj

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  • article d'actualité http://www.toulouseinfos.fr/index.php/dossiers/breves/7840-printemps-des-peres-l-les-feministes-ne-sont-quune-minorite-dextremistes-r.html

    et

    Si vous voulez savoir ce que vivent les pères divorcés et quel est leur sort, cherchez dans ce forum:

    http://www.paternet.net/salon/forum/


    SOS papa

    et ceci :


    Et sur le problème plus général de la perte du sens moral, et par là même de la capacité à aimer et en entretenir des rapports humains solides profonds et normaux avec les êtres, lisez, en espagnol la réflexion de sans doute le plus pertinent penseur politique contemporain Zygmunt Bauman:
    http://www.rebelion.org/noticia.php?id=24178

     

    http://www.amazon.fr/Lhomme-battu-Un-tabou-coeur/dp/2922598047

     

    Et sur les préjugés, bien pratiques ... qui font des femmes des saintes et des victimes, on découvre enfin qu'l y a aussi des hommes battus ! http://www.egaliteetreconciliation.fr/Hommes-victimes-et-Femmes-violentes-premier-colloque-de-l-association-SOS-Hommes-Battus-8761.html

     

    http://laviedeperes.over-blog.com/

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