• ce poème qui a lontemps baigné ma vie

    « le vent est vif, les nuages sont hauts, le singe pousse ses cris lamentables ; Aux bords argentés de l’eau transparente des oiseaux rasent le sable en tournoyant. De tous cotés le bruissement des feuilles qui tombent, et devant soi les vagues enflées du grand fleuve qui viennent, qui viennent sans jamais s’épuiser. Ne voir au loin que l’aspect désolé de l’automne et se sentir étranger partout où l’on va…"

    (Tou Fou)

    « quel sale pays !en Belgique comme en France les "socialistes" sont devenus des traîtres »
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