• NON

    Une ville où les églises ne sont pas ouvertes n’est pas une ville.

     


    Une maison dont les fenêtres ne sont pas ouvertes n’est pas une maison.

    Une route sur le bas-côté de laquelle on ne peut pas s’arrêter n’est pas une route.

     

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  • oui, il y a quelque jours, cherchant des articles sur comment on peut bien dresser les éléphants et leur faire faire les tours assez bluffants qu'on les voit faire dans les cirques (bon je savais déjà, par le livre d'Elian Finbert, que les éléphants sont parmi les animaux les plus intelligents, etc, et aussi très rancuniers !), je suis tombé sur des articles, que j'ai eu la "faiblesse" de lire jusqu'au bout, ce que le lecteur moyen nous apprend-t-on ne fait pas ! se contentant de lire le titre
    ce qui fait que j'ai découvert queuque'chose .....
    J’ai constaté (il y en a plusieurs occurrences sur internet) des articles sur Internet avec un titre effrayant et racoleur disant que pour dresser les éléphants c’est très cruel : on commence par les « briser » psychologiquement pour les dominer (donc tout de suite dans l’esprit du lecteur association d’idée avec les récits de tortures staliniennes ou autre où on « brise » la volonté du prisonnier jusqu’à ce qu’il fasse tout ce qu’on veut    ), donc implication tout de suite dans l’esprit du mougeon de lecteur qui n’aura (comme nous l’apprennent les études psychologique !) lu que le titre et les premières phrases - mais pas l’article ! - les tours qu’on voit faire aux éléphants dans les cirques vous avez tort d’y prendre plaisir, c’est obtenu par des traitements cruels et dégradants, il faut aaaaboliiiir cette aaaaabomination que sont sont les cirques avec des animaux, CQFD ! Mais quand on lit l’article on vous raconte comment les mahouts en Inde au XIXè siècle brisaient la volonté des éléphants sauvages capturés pour s’en faire obéir. Mais là, on commence à tiquer    : euh et le dressage des éléphants de cirque il est où ? Et d’ailleurs plus loin l’article avoue que ce n’est pas ce qu’on fait aux éléphants de cirques, car ceux-ci sont nés en captivité, et que là on obtient leur obéissance en les mettent à côté d’un éléphant déjà soumis, et puis on dit carrément que pour le dressage des éléphants de cirque ce dont on a besoin surtout c’est de la psychologie et tout ça. Bref la vision apocalyptique et cruelle du premier paragraphe n’est pas du tout pertinente !!  

    Mais alors, si on a un minimum d’esprit d’examen, comme on nous apprenait à en avoir autrefois à l’école (au collège, bref tous ceux qui ont le bac doivent avoir appris ça!), de toutes façons les gens du peuple (en 1995 du moins) en ont spontanément sans qu’on ai à leur apprendre (par contre les intellos diplômés de l’université semblent l’avoir perdu!), donc un peu d'bon sens, comme l’inspecteur Bourrel par exemple, on se dit « mais alors cet article c’est de la désinformation !  De la manipulation mentale malhonnête ! » Dans quel but ? (ça je ne sais pas, mais désinformation calculée, manipulation des gens, ça c’est sûr). Et pour ceux qui ont (comme nous ! Eh eh!) l’expérience des trucs utilisés par les journaputes pour diaboliser Trump, ou Chavez par exemple, c’est tout à fait le même procédé. Exemple récent la Pologne. Le gouvernement actuel, eurosceptique, ne plaît pas à nos maître, alors les « journalistes » sortent un grand titre disant que « les polonais » manifestent contre leur (méchant ! méchant ! - comme Kadhafi quoi...) gouvernement. Bon au sein de l’article ils sont quand-même obligés de reconnaître que le dit parti au pouvoir, est très populaire auprès des polonais, et que sa côte loin de baisser reste allégrement élevée !   (bon, seuls les articles les plus copieux finissent par glisser, en passant, dans une toute petite phrase au fin fond de l'article, que si il est si bien vu c’est qu’il a allongé la durée des congés maternité (que le gouvernement libéral, « moderne », « démocratique », « réformateur » qui avait orchestré la tant vantée transition de la Pologne à la modernité capitaliste européenne et tout ça, avait raccourci ! Je me souviens quand Barbara Pierzak l’avait annoncé, sans aucune critique), et qu’il a doublé le montant des allocations familiales ! (ben, si Macron faisait ça en France sa côte cesserait d’être catastrophique) Mais comme (des études scientifiques viennent de nous l’annoncer, et les propagandistes doivent le savoir depuis longtemps eux) la majorité des gens ne lisent QUE LE TITRE des articles d’actualités, sans lire ce contenu, l’effet obtenu est ? Vous avez compris !  

    Donc ceux qui ont l'expérience de ces "trucs", les reconnaissent tout de suite ! et donc :

    voilà une manipulation du même type sur le dressage des éléphants !

    Ce qui par ricochet DECONSIDERE complètement l’ensemble des articles et propos qu’on nous entonne (c’est vrai au fait !  c’est très « tendance », d’autres diraient orchestré ….) sur les animaux des cirques malheureuuuuux, traités cruuueeeelement, et tout ça.

    La seule chose qui me manque c’est pourquoi ? « à qui profite le crime ? », quand il y a des intérêts capitalistes à la clé, on comprend tout de suite (les vaccins par exemple …. bon j’dis ça, j’ai rien dit, mais hein ?), ou des intérêts géostratégiques, et tout ça. Mais là ? C’est quoi les intérêts qui essayent de nous « bourrer le mou » ?

    Je sais pas.

    La passion idéologique plus l'aiguillon de la volonté de convaincre à tout prix ?
    Mais, déjà, en tous cas, que cette campagne soit ainsi orchestrée et formée visiblement de (au moins beaucoup, peut-être 100 % ? ) mensonges, et de manipulation malhonnête du subconscient du « bon peuple », ça déconsidère tout ce discours, et jette le soupçon sur cette campagne !

     

    J'ai bien l'impression qu'on peut continuer à aller au cirque avec plaisir ! http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2017/11/20/vive-le-cirque-5998645.html

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  • http://divergences.be/spip.php?article1614&lang=fr

    Quand on vous disait que le fameux "terrorisme" dont on vous rebat les oreilles depuis quelques années et au nom duquel on vous enlève une à une toutes vos libertés et toutes vos dignités, n'était que de l'arnaque, qu'un faux semblant, qu'un concept manipulé et pervers, pervers, tout à fait pervers au sens étymologique.

     

    DE PIRE EN PIRE ! (ET DE PLUS EN PLUS CLAIR !     )

    Le sénat belge a adopté ce mercredi 30 janvier 2013 le projet de loi, déposé par la ministre de la Justice belge, qui dote le code pénal belge d’un article 140 bis incriminant pour terrorisme l’auteur de « tout message public » qui « préconise directement la commission d’infractions » visant à déstabiliser ou détruire le système économique et/ou politique qui régit nos sociétés et, ce, malgré l’avis rendu par le Conseil d’Etat, le 18 septembre dernier, qui estimait que cet article restreignait les libertés d’association et d’expression garanties par la Constitution belge. Par exemple tout acte de lutte de classes, de désobéissance civique, les "faucheurs volontaires", diffuser les idées de Chouard, etudier le marxisme-léninisme, appeler à la Grève Générale, etc, etc.

    comme dit le groupe esperantiste de rap "la pafklik'"  :

    Por miaj ĵurnalistoj agado de teroro
    Sinonimas kun nura kontestado 


    Vous avez peut-être lu une définition dans le dictionnaire dans le temps, oubliez-là, ce n'est pas du tout ça !! En tout cas l'usage qu'en font les apprentis dictateurs qui vous mênent vers l'enfer et le totalitarisme pour le "bétonnage" de leurs interêts mafioides, ce n'est pas ça.

    vous ne croyez pas?

    Vous n'avez pas déjà remarqué cette dérive de plus en plus poussée de la part de nos chers "flics" politico-Busho-Sarkozysto-pensée-unique à qualifier de "terrorisme" (et, surtout !!, dans les termes mêmes de la loi !)  une foule de comportements qui n'ont absolument rien à voir avec ce que dans l'imaginaire moral on agite devant vos yeux pour vous convaincre et vous ... terroriser ! comme casser des vitrines, saboter des antennes, occuper son usine, manifester quand même même si ça a été interdit ! etc, etc

     

    Et voici le plus beau ! et qui est en même telmps le révélateur absolu de la nature de l'opération ! ... un aveu presque (faut-il qu'ils se croient sûr d'eux maintenant, sûrs d'avoir lavé le cerveau des gens tellement que des manipulations conceptuelles égalées seulement par celles des soviétiques ou de Hitler, ne les font même plus sauter sur leur chaise):
    Aux Pays-Bas 90% des votes se font maintenant avec des machines à voter; or ça commence à se savoir, et pas seulement aux Etats-Unis, que les ordinateurs de vote, ça ne présente aucune sécurité contre la fraude et la manipulation, surtout quand le logiciel est la propriété d'une entreprise qui refuse même de le divulger  aux instances de contrôle!
    Une association  "Nous ne faisons pas confiance aux ordinateurs de vote" présisée par Rop Gonggrijp commence à faire des ennuis à l'entreprise qui posède le marché des élections Néérlandaises, Groennendaal,
    qulle est la réaction  de Gro ennendaal ?
    Essayer de faire arrêter (ouii      !    arrêter) Rop Gonggrijp sous le prétexte que "ses activités sont en train de déstabiliser la société et sont donc  en celà assimilable à du terrorisme" (1)

    Vous avez bien lu.
     

    (2)

    bref quand les militaires argentins faisait "disparaîtres les syndicalistes, les torturaient  puis laisait leurs cadavres défigurés sur le bord d'une route, ce n'était pas du terrorisme puisque c'était pour défendre l'ordre établi (et donc pas davantage quand les SS ont masacré toute la population d'Oradour), par contre le MDRGF, qui parle à l'opinion des dangers toxiques des pesticides agricoles, est une organisation terroriste puisque'elle déstabilise la société!

    Récemment je viens de lire que les actions des amis des bêtes qui montent des opérations illégales pour s'emparer des chiens de laboratoires (promis à une mort horrible après toute une vie en cages) les sauver et leur rendre la liberté sont officiellement quallifiées de  ... "terroristes" (ben oui, puisque ce qu'ils font est illégal, comme était illégal avant 1861 les actions des anti-esclavagistes qui aidaient les noirs fugitifs du Su, par exemple, etc). Pourtant si il y a bien quelque part de la terreur c'est bien dans dans les yeux des chiens promis à la vivisection qu'elle est ! Il n'y a plus de limite à l'insanité de l'usage rituel et dévoyé de ce terme par les officiels du Libéral-fascisme

     

    ENCORE MIEUX !!!!
    aux USA (oui aux USA, autrefois s'aurais été en URSS maintenant le totaalitarisme s'est déplacé ) si vous dénoncez les dangers de l'extraction des gaz de schiste vous êtes arrếté !! et vous êtes ...... fiché sur la Terror Watch List du Department of Homeland Security 

    http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-usa-arrestation-de-josh-fox-realisateur-du-film-gasland-98680191.html



     

     

     


    Et noubliez pas que dans les années 40 on apellait "terroristes" ceux que après 45 on a appelé "Résistants". de Gaulle et Jean Moulin étaient de dangereux chefs terroristes.

    Bref ,ceux qui gagnent s'appellent des  résistants , ceux qui perdent, des terroristes.

    (Et Staline quand il s'est mis à fusiller plein de gens, comme par exemple le romancier espérantiste Varankine c'est sous l'accusation de "terrorisme". Quand à Hitler il se plaignait de la "propagande terroriste" qui à l'étranger dénigrait la "nouvelle Allemagne"....)



    (1) et en plus il veut poursuivre l'émission de télévision qui a soulevé le lièvre pour .... dommages et interêts pour les pertes de recettes que cela a pu entraîner ! ...
     si vous n'avez pas compris la nature de la distature mafioïde actuelle !)

    Un fois qu'on a compris le sens de cette dérive, même pas naturelle, mais bien savamment pensée, on dit:
    Quand j'entend le mot "terrorisme" je sors mon révolver!


    "MAL NOMMER LES CHOSES C'EST PARTICIPER AU MALHEUR DU MONDE" – Albert Camus

    Tout ça est très bien analysé par Patrick MIGNARD, économiste à Toulouse, dans ce texte : Les "avantages" collatéraux du terorisme

    (2) ah ces marchands de machines à voter! non seulement c'est suspect dès le départ mais quand on voit sur le site d'une boite française ( http://www.france-election.fr/rd.pdf)  http://www.france-election.fr/ReponseSV.pdf )  cet extrait de la conclusion du premier papier ("rd.pdf"), qui devrait être recopié dans cet article, tellement il est édifiant : Début de citation «On entend dire régulièrement que nous sommes un danger pour la démocratie. Mais comme on peut le voir, le danger pour la démocratie vient plutôt des fausses informations, des demi-vérités et des rumeurs qui circulent de plus en plus facilement grâce à Internet. La régulation de ces "phénomènes non démocratiques" tarde à arriver car le législateur est bien perplexe vis-à-vis de cette toile immense qu'il faut protéger afin de protéger les libertés individuelles. La liberté d'expression est essentielle. Mais dans le respect des lois et des règles de la République.» Fin de citation Que voit-on? Nous avons une société commerciale entièrement privée, qui prétend œuvrer par ailleurs pour des résultats d'élections "plus précis" et "plus démocratiques". Critiquée par plusieurs sources différentes de manière parfaitement recevables et argumentées, cette obscure société en appelle à un plus grand contrôle d'Internet et finalement, à de la censure. Ça ne vous rappelle rien?


    - autre usage révélateur du mot, dans la nouvelle loi votée au Parguay visant à interdire la lutte des paysans  pour leurs terres:
    "A Câmara de Deputados aprovou ontem a chamada "Lei antiterrorista", sob pressão da Embaixada dos EUA, que criminaliza a luta pela terra no Paraguai e que perseguirá os lutadores antiimperialistas, acusando-os de "terroristas", assim como Stroessner perseguia a todo combatente contrário à ditadura, acusando-o de comunista."

    et ici, dans cet article qui parle des Mapuches, ce paragraphe, encore ! :
    Sous la dictature, les mapuches ont perdu 200 000 des 300 000 hectares qui leur restaient. L’avancée des entreprises forestières et hydro-électriques sur leurs terres a provoqué une augmentation exponentielle de la pauvreté et de l’émigration. Désespérées, beaucoup de communautés envahissent les terres dont se sont emparées les entreprises forestières, et pour cela sont accusées de « terrorisme ». ...

      - Autre usage vraiment frappant: Les israeliens bombardent le Liban, tuant des  centaines de civils innocents, juste pour terroriser  la population et faire plier le pays, et plus encore se retrouvent sans toit, leur maison, tout leur avoir, détruit; après la fin des hostillités le Hezbollah offre son aide aux familles sans abris, et les victimes, sur présentation d'un dossier composé simplement d'attestations de voisins se voient remettre sans autre formalité une indemnité pour réparer sa maison, ou la reconstruire. Cet argent vient de la République d'Iran. Via la banque Saderat. Conclusion: les Etat-Unis la banissent immédiatement du système bancaire international en l'accusant de .... "financer le terrorisme international"

    Sans commentaire.


    Et en prime on se fait un petit plaisir, on écoute Chavez (à Londres, à coté du maire de Londres Ken Livingstone) iom da plezuro:


    "Ces dipositions (la décison-cadre de la Comission eropéenne en 2001), définition du terrorisme et MAE, permettent de qualifier de "terroriste" tout acte de contestation et éclairent le sens de l'état de guerre d'un nouveau genre décrété par le président Etat-Unien G.W. Bush, relayé par les instances du régilme européen: l'épouvantail du terrorisme aux milles visages permet au capitalisme de tomber le masque droitdelhommiste. ....

    Et, donc, à propos de la lutte des classes, dont certains aimeraient tellement qu’elle soit finie qu’ils ont déclaré qu’elle était effectivement terminée, qui a dit : « Oui, Messieurs, c’est la guerre entre les riches et les pauvres : les riches l’ont voulu ainsi ; ils sont en effet les agresseurs. Seulement ils considèrent comme une action néfaste le fait que les pauvres opposent une résistance. Ils diraient volontiers, en parlant du peuple : cet animal est si féroce qu’il se défend quand il est attaqué.  » ? (Blanqui)

     

    Le Terrorism Act 2000 britannique, entré en vigueur en février 2001,  quidéfinit comme terroristes un certain nombre de délits lorsqu'ils sont commis ou que l'on menace  de les commettre "pour influercer le gouvernement" (sic)
    Et dans le mêm temps  :
    A rebours du sens comun qui perçoit immédiatement le caractère politique de telles "motivations", la Comission rapelle que la convention pour la repression du terrorisme de 1977 dénie tot caractère politique aux actes qualifiés de "terroristes" et aux motivations de leurs auteurs.
    et parmi les motivations retenuees par la décision-cadre du 13 juin 2002 on trouve : "lorsque l'auteur les commet dans le but de .... - contraindre "indûment" des pouvoirs publics ou une organisation internationale à accomplir ou à s'abstenir d'accomplir un acte quelconque" (Claude Guillon, in La Terrorisation démocratique, 2009)
    (ce qui veut dire que les compagnes d'Amnesty Internationales en faveur des prisonniers d'opinion étaient du terrorisme, que quand des fonctionnaires font grève c'est du terrorisme, que les pression que l'Occident avaientfait sur l'URSS pour demander la libération de Sakharov, ou empêcher Cuba d'exécuter des preneurs d'otages, c'était du terrorisme )


    En ce jour anniversaire de l'appel d'un "chef terroriste" des années 40 (!) n'oublions pas tout ça !

     
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  • nos maîtres  libéral-fascistes n'osent pas supprimer ouvertement les communes (seules cellules de démocratie encore vivantes en France ...) alors elles les vident de leurs substance par la bande en leur otant toutes leurs prérogatives et en les tranferant à des structures non démocratiques de technocrates et de "copains et coquins", le tout bien soumis aux lobbies capitalistes !

    ainsi la revu de  de presse de l'UPR, le parti de François Asselineau, nous apprend que :

    Les maires perdront le pouvoir de l’eau

     

    Le transfert aux intercommunalités de la compétence de l’eau potable et de son épuration vient d’être confirmé par la loi. Seules quelques communes rurales pourront conserver ce pouvoir au-delà de 2020.

     

    Source : les Échos (8 août)

     

    Nouvelle étape dans la mise à mort de nos communes pour détruire l’âme de la France. Le but des européistes est de remplacer le triptyque français commune – département – Nation par le triptyque européiste canton – euro-région – UE, sur le modèle des États-Unis. François Asselineau fut le seul candidat, parmi les onze à l’élection présidentielle de 2017, à l’expliquer clairement aux Français.

     

    Laurent Cerino, REA

     

     

    Faisons nôtre ce conseil d’Étienne de La Boétie, dans son célèbre Discours de la servitude volontaire, publié en 1574 mais d’une actualité brûlante : « Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres. »

    vous avez encore un bulletin de vote, ils ne vous l'ont pas encore retiré, alors profitez-en avant qu'il ne soit trop tard, et votons UPR !

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  • Lisez cet article en lien :

    https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-police-justice/20150401.RUE8489/poisson-d-avril-des-mouchards-dans-vos-detecteurs-de-fumee.html

    attentivement.

    Et maintenant réfléchissons : oui, pour l'instant c'est un poisson d'avril, mais, souvenez-vous, en 1972 l'interdiction de fumer dans les cafés c'avait été un poisson d'avril  ça aussi .....

    http://www.bu2z.com/1-avril-1972-interdiction-fumer-lieux-publics

    ce qui montre en passant que souvent les faiseurs de poissons d'avril sont comme les prophètes, ils sentent le vent et l'ai du temps et ce qui vient, et comment l'impensable peut devenir le réel qui vous tombe dessus et ne se trompent pas, la preuve)

    De plus il est évident que ça entre tout à fait dans l'évolution actuelle, et que ces appareils sont une porte ouverte idéale pour cette pratique (et d'autres encore).

    Alors maintenant. Les paris sont ouverts : dans combien de temps ce poisson d'avril sera devenu une réalité ?

     

     
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  • Le supplice de la Grèce

    (L’éditorial est disponible sur le webmagazine http://www.les7duquebec.com  )

    La Grèce n'est que le premier supplicié

    Voici ce qui s’écrit dans les médias alternatifs à propos de l’odyssée de la Grèce en faillite:

     

    « Les contribuables européens ont versé 289 milliards d’euros de prêts à la Grèce lors de trois plans de sauvetage, la part française s’élevant à 40 milliards d’euros. La dette publique grecque s’élève à 180 % de son PIB et le système bancaire est en faillite puisque 98 milliards d’euros, soit 44,9 % des créances bancaires, sont douteuses. Le PIB grec a chuté de 23 % entre 2008 et 2017, tandis que le salaire minimum est passé de 794 à 684 euros, que les prix de l’immobilier ont brutalement chuté de 50 %, que les systèmes d’éducation et de santé se sont effrités, que les jeunes ne pensent qu’à quitter le pays, d’où une amélioration apparente d’un taux de chômage de seulement 20 %. Les créanciers de la Grèce (UE, BCE et FMI) ont usé d’un subterfuge honteux pour retarder la faillite inéluctable de la Grèce. Ils ont repoussé de dix ans, à 2032 au lieu de 2022, la date à partir de laquelle la Grèce devra commencer à rembourser sa dette. » (1)

     

    Cette dernière phrase est tendancieuse puisque les Grecs (prolétaires, petits-bourgeois et capitalistes nationaux) versent leur tribut aux banquiers et ils continueront de le faire sous le joug de leurs créanciers sauf que les montants de la rançon versée couvrent à peine les intérêts de la dette, qui ainsi se prolongera pour l’éternité. Ne riez pas, le « modèle » grec sera généralisé au monde entier – l’Italie est menacée de lui succéder, ce que doit préparer le parti des Étoiles.

    « L’Italie, c’est dix fois la Grèce, une situation économique, bancaire et financière catastrophique tandis que, depuis mars 2009, le Dow Jones et l’indice NASDAQ ont progressé respectivement de 300 et de 500 %, soit à un niveau plus élevé, respectivement, de 88 % et 55 % que celui d’avant la crise des « subprimes » (2007-2008). » (2)

    Et la France sera le pays suivant prétend notre correspondant (voilà une perspective drôlement plus menaçante que les humeurs de Nicolas Hulot ce pion politique):

    « Le déficit public français est de l’ordre de 3 % (…). La France, avec 56,4 % des dépenses publiques par rapport à son PIB, est devenue le pays le plus dépensier du monde (…) l’application complète du rapport CAP 22 nous ferait économiser à peine 30 milliards d’euros. La France, face à un déficit public de 59,7 milliards d’euros et de 67 milliards d’euros de sa balance commerciale, a besoin de réformes structurelles pour retrouver la compétitivité internationale et reprendre des parts de marché. (…) Le défi des dépenses publiques à réduire est donc, en réalité, de 200 milliards d’euros. » (3)

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  •  

    « L’affirmation de soi est de l’ordre de la butée » euh …. ça veut dire quoi ? Vous pouvez traduire ça en français ? Ben c’est le genre de choses Que Nizan a décrit en disant « chacun sait que sans les rochers jamais les vagues ne monteraient si haut » ;
    On ne grandit qu’en se heurtant à des oppositions, et tout ça. Mais voilà le discours du Monsieur qui a émis ces mots "est de l’ordre » du snobisme ! Et, plus important, plus important ! Les pépètes ! d’exprimer un fait somme toute assez simple par des paroles aussi « hexagonales tel qu’on le parle », aussi tordues, incompréhensible et allusives ça véhicule un message, moult important, 1° ça assure qu’on est « entre soi » dans le petit Ghetto (comme Auteuil, Neuilly, Passy) des gens d’en-haut, et puis surtout, ça transmet une information  : que celui qui a dit cette phrase a été payé très cher pour ça, infiniment plus cher que quelqu’un qui a monté un ordinateur dans un atelier à Pnomh-Penh ou posé un water chez vous, tandis que quelqu’un qui aurait exprimé le même fait en des termes clairs explicites et faciles à comprendre n’aurait rien eu. Et il tien à ce que ça se sache, c’est très important par exemple pour sa carrière (et ses futures rentrées d’argent, entre autres).
    Je regrette mais une analyse marxiste du monde (« un tout petit monde comme dit le romancier David Lodge) des « diplômés de l’université » est très importante, et qu’il faut faire.

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  • Jules Laforgue

    COMPLAINTE DE L'OUBLI DES MORTS

    Mesdames et Messieurs,
    Vous dont la mère est morte,
    C'est le bon fossoyeux
    Qui gratte à votre porte.

    Les morts
    C'est sous terre ;
    Ça n'en sort
    Guère.

    Vous fumez dans vos bocks,
    Vous soldez quelque idylle,
    Là-bas chante le coq,
    Pauvres morts hors des villes !

    Grand-papa se penchait,
    Là, le doigt sur la tempe,
    Sœur faisait du crochet,
    Mère montait la lampe.

    Les morts
    C'est discret,
    Ça dort
    Trop au frais.

    Vous avez bien dîné,
    Comment va cette affaire ?
    Ah ! les petits mort-nés
    Ne se dorlotent guère !

    Notez, d'un trait égal,
    Au livre de la caisse,
    Entre deux frais de bal :
    Entretien tombe et messe.

    C'est gai,
    Cette vie ;
    Hein, ma mie,
    Ô gué ?

    Mesdames et Messieurs,
    Vous dont la sœur est morte,
    Ouvrez au fossoyeux
    Qui claque à votre porte ;

    Si vous n'avez pitié,
    Il viendra (sans rancune)
    Vous tirer par les pieds,
    Une nuit de grand'lune !

    Importun
    Vent qui rage !
    Les défunts ?
    Ça voyage....

     
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  • https://hdclips.top/hd-videos/3y2ifJBU24A/dieudonn%C3%A9-soutient-booba-et-kaaris

    ah avec lui on apprend à penser.
    "c'est par le raisonnement qu'il faut résoudre les problèmes, il n'y a qu'une voie pour le courage" (Parménide)

     

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  • Devant ce sinistre et mortifère phénomène :

    Julian Assange a bien compris la nature du monde actuel et de ce qui se passe !

    Julian Assange protectionniste ? C’est en effet ce qu’il paraît à la lecture de son dernier livre « Cyberpunks » et notamment d’un passage où il décrit l’émergenge d’un grand marché unifié mondial comme une catastrophe, parce que cela amènerait à la domination d’une élite ploutocratique transnationale et à la fin des démocraties.

    Ce petit livre – dont je recommande très fortement la lecture et qui a été publié en français sous le titre « Menaces sur nos libertés » rapporte des discussions entre Assange et d’autre militants pour l’Internet libre.

    En effet, si on crée un seul marché englobant toute la planète, il y aura une homogénéisation dans tous les domaines(économiques, politique, culturel) et l’émergence dans chaque secteur économique d’une ou deux entreprises multinationales titanesques à l’influence politique surpuissante. Il faut imaginer des versions encore plus grande et plus puissantes de Goldman Sachs, Google, Monsanto, Exxon Mobil, etc.

    Assange affirme qu’il préfère la diversité à un tel monde unifié par le marché, homogène et ploutocratique. Il défend implicitement un protectionnisme : on peut imaginer des protectionnismes nationaux (français) ou régionaux (européen version du temps de la CEE) qui défendraient la diversité socio-culturelle et politique, ainsi que les contre-pouvoirs économiques.

    Mais Assange est pessimiste sur ce pointet considère que l’émergence d’un marché unifié mondial est fort probable. Il présente une vision cauchemardesque de l’avenir : les élites nationales à force de collaborer dans les domaines politique, économique, militaire, de surveillance, etc, finiront par fusionner en une élite transnationale, s’entraidant à échapper aux contrôles démocratiques de leurs citoyens respectifs. Les grands médias, eux-mêmes sous le pouvoir de cette oligarchie mondialiste, manipulent l’opinion et pratiquent une censure subtile.

    Au-delà du protectionnisme et de l’appui des Etats d’opposition et d’équilibre (Russie, Vénézuela, Bolivie … un jour la France ? (si Asselineau est élu !), pour Assange l’espoir repose dans une petite cyber-élite de résistants qui, se protgeant de la surveillance, communiquant librement et révèlant les abus du pouvoir, seront les seuls à être véritablement libres...

     
    Et avant lui Pier Paolo Pasolini

    Ode à la diversité

    Le Divers, cher au voyageur Victor Segalen, s’est dilué dans les eaux plates d’une culture uniforme et incolore : celle du globish et des grandes marques qui infectent pareillement Séoul, Los Angeles et São Paulo – ce monde dominant, le nôtre, est celui que redoutait tant Pasolini. Celui de la note unique, sans saveur ni discordances. Le mode de production capitaliste, dans sa formulation contemporaine, arase les singularités en soumettant les peuples à la loi d’un marché transnational affranchi de toutes entraves historiques et culturelles.  Ce que le sous-commandant insurgé Marcos a nommé l’« homogénéisation culturelle du monde », dans un livre d’entretien paru en 2001.

    Pasolini s’étonnait, dans ses Lettres luthériennes (sous-titrée Petit traité pédagogique), de l’absence de réactions des communistes et des antifascistes, au cours des années 1960 et 70, face à l’hégémonie marchande et à la standardisation de l’espèce humaine – mutation anthropologique qu’il tenait pour historiquement unique. Cette évolution, que l’on prenait soin de nommer « développement », le répugnait à ce point qu’il alla jusqu’à utiliser, de façon polémique et nécessairement ambiguë, le terme de « génocide » afin de mettre en évidence le caractère criminel d’un tel système économique. Le torrent ultralibéral et productiviste charrie l’éradication des cultures, des modes de vie, des particularismes et des valeurs millénaires, transformant ainsi les humains en « automates laids et stupides, adorateurs de fétiches ». Il signe la mise à mort du petit peuple cher à l’écrivain – ce peuple des faubourgs et des champs, des nippes reprisées et des mains râpées, ce peuple qu’il conviait à sa table, autour d’une rime ou d’un tournage

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  • dans cette vidéo https://www.youtube.com/watch?v=C7WFVM3R1Rw  la blogueuse Exister en liberté se plaint de ce que plein de gens regardent des vidéos s'indignent, se dise "il ou elle a raison !" etc, mais et après ??? c'est pas comme ça qu'on va changer le monde !!!
    ni résister à toutes les menaces qui pendent au nez !!!!
    Il faudrait pour LE MOINS, que les gens se mettent à faire de actes EFFECTIFS ! des actes qui produisent des EFFETS !!!
    or il y en a plein, par exemple, si on fait simplement cette constatation (et QU'ON EN TIRE LES CONSéQUENCES ! )

    Il ne faut pas oublier que les commerçants ne vivent que du bon vouloir de leurs clients !
    Aussi les consommateurs,
    si ils le voulaient bien!!  (.....  ) , pourraient avoir une puissance extraordinaire pour changer la société!
    Il faudrait peut-être s'en servir non?

    Par exemple si on boycottait les produits issus de l'agriculture intensive et polluante, tous les agriculteurs seraient bientôt obligés de se mettre à l'agriculture biologique (dont on sait maintenant qu'elle est parfaitement capable de nourrir la planète). Et vous savez ça ?
    Pareil pour  l'exploitation des enfants des "zones économiques spéciales". Et savez-vous quel est le salaire minimum dans l'industrie du vêtement au Cambodge ? on ouvre les paris !

    le salaire minimum correspond à 36 € mensuels. On peut, paraphrasant Montesquieux, dire : "C'est à ce prix que vous avez des vêtements bon marché en Europe"


    Autre chose, il faudrait, dès maintenant  que tous les citoyens dignes décident de boycotter systèmatiquement les magasins qui mettent des caméras de vidéo-surveillance, c'est à dire non seulement les grandes surfaces  mais aussi les petits magasin qui font comme ça (il y en a de plus en plus). Ce serait  marquant pour la défense de la Civilisation devant le processus de Stalinisation de la société auquel nous assistons actuellement (et que Sarko a l'intention d'intensifier). Et après tout, il est normal qu'un clien ne remette pas les pieds dans la boutique d'un commerçant qui l'a insulté. Or mettre des caméras de vidéo-surveillance dans son magasin c'est insulter ses clients. Les gens n'ont pas l'air de en rendre compte. Une fois qu'on en a pris conscience on ne peut plus y entrer de même coeur, ni regarder le commerçant avec les mêmes yeux.
    Vous ne vous sentez pas insultés? vous devriez pourtant, car c'est tout à fait ça!

    "Qu'on me comprenne bien: Il s'agit d'un engrenage fatal. Nous mettons les pieds, sans vraiment nous en rendre compte, dans un engrenage fatal. Il commence à l'aéroport, lorsque nous acceptons d'être visualisés dans notre intimité,  pour prouver que nous ne sommes pas des terroristes.  Lorsque, aussi, nous acceptons les caméras de surveillance partout, vidéo-surveillance fallacieusement rebaptisée vidéo-"protection", nous nous soumettons implicitement au dépouillement de tous les aspects de notre vie."
    ("Dans un monde où l'humiliation est devenue tellement familière que l'on ne la reconnaît plus")

    En 1945 déjà, l’écrivain français Georges Bernanos dénonçait en ces termes l’accoutumance à la surveillance comme un recul des libertés face à la menace totalitaire du « Moloch technique » au service du contrôle social : « L’idée qu’un citoyen, qui n’a jamais eu affaire à la Justice de son pays, devrait rester parfaitement libre de dissimuler son identité à qui il lui plaît, pour des motifs dont il est seul juge, ou simplement pour son plaisir, que toute

    En 1945 déjà, l’écrivain français Georges Bernanos dénonçait en ces termes l’accoutumance à la surveillance comme un re

    indiscrétion d’un policier sur ce chapitre ne saurait être tolérée sans les raisons les plus graves, cette idée ne vient plus à l’esprit de personne. Le jour n’est pas loin peut-être où il nous semblera aussi naturel de laisser notre clef dans la serrure, afin que la police puisse entrer chez nous nuit et jour, que d’ouvrir notreportefeuille à toute réquisition. Et lorsque l’État jugera plus pratique, afin d’épargner le temps de ses innombrables contrôleurs, de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L’épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en serait grandement facilitée (4). »


    On s'y met ?
    victory.gif
    ça va faire des vagues!




    "il faut vivre comme on pense  sinon tôt ou tard on finit par penser comme on vit (1)
    http://vimeo.com/3925987
    http://vimeo.com/3925987
    http://vimeo.com/3925987
    http://vimeo.com/3925987

    (
    (1)
    regardez ce quie est arrivé aux bourges "socialistes"  )

     

    pour ce qui est de "consommer BIO, local, artisanal" ça commence; "Local" : http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=4707

     

     
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  • eble la plej bela kaj korŝira poemo de Waslawa Szymborska

    Kato en malplena loĝejo

    Morti - tion oni ne faras al kato.

    Ĉar kion farus kato

    en malplena loĝejo ?

    Ĝi surgrimpus vandojn,

    frotus sin al la mebloj.

    Nenio ŝajnas ja ŝanĝiĝinta,

    kaj tamen ĉio ŝanĝiĝis

    Kvazaŭ ne ŝovita,

    sed tamen aliloka.

    Kaj en vesperoj lampo jam ne lumas.

     

    Aŭdeblas paŝoj sur ŝtuparo,

    sed ne tiuj.

    Ankaŭ la mano, kiu metas fiŝon sur la telereton,

    ne estas tiu de la iama metinto.

     

    Io ĉi tie ne komenciĝas

    en la kutima tempo.

    Io ĉi tie ne okazas

    kiel devas.

    Iu ĉi tie estis kaj estis

    kaj poste subite malaperis

    kaj obstine forestas.

     

    Ĉiuj ŝrankoj estas jam enrigarditaj.

    La bretoj trakuritaj.

    Per enpuŝiĝo okazis kontrolo sub-tapiŝa.

    Eĉ estis rompita la malpermeso

    disŝuti paperpecojn.

    Kion pli multe oni ja povus fari.

    Dormi kaj atendi.

     

    Se li nur revenus,

    se nur li aperus

    Tiam li ekscios

    ke tiel agi kun kato ne decas.

    Tiam eblos aliri al li,

    sed kvazaŭ tute pretervole,

    malrapide,

    sur tre ofenditaj piedetoj.

    Kaj sen iaj saltoj aŭ pepoj komence.

     

     

     

    Wislawa Szymborska

     

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  • Combien de temps j’ai passé (il y a bien longtemps maintenant ! 30 ans et plus) à parcourir des passages souterrains de grandes gares ! (à l'époque c’étaient des lieux conviviaux et faits pour les voyageurs, des lieux de la société, des services publics, et la France était encore un vrai pays, (plus pour longtemps) à regarder des tableaux indicateurs (eh oui, il y en avait encore à l’époque !) et des listes de trains au départ. Et dans les couloirs, tous les voyageurs, ils étaient libres à l’époque, et parmi eux des jeunes, négligés mais encore beaucoup plus élégants que les sinistres
    costumes actuels, des fois assis par terre, libres, comme des citoyens dans un pays normal, civilisé, ils n’avaient pas à avoir peur de se faire arrêter comme des délinquants !! Et les trains qu’on prenait durant la canicule, et les fenêtres ouvertes. Et les changements de train.


    la France actuelle est l'antithèse même, un cauchemar ignoble,  fabriqué par des gangsters, de ce qu'elle était alors. (tiens, relisez Boule et Bill vous comprendrez, et Mafalda)
    C'est une bien triste situation mais je ne me risquerait plus jamais à prendre le train dans cette France actuelle de merde (et je mets en garde tous les citoyens français contre le danger féroce qu'ils courent à parcourir ces lieux gérés par une société commerciale ex-service public, devenu spécialiste d'arnaques éhontées (plus le VOL caractèrisé de son billet non remboursé) et de violences ignobles envers leurs clients, pratiques de type mafieux absolument aberrantes et hallucinantes dans un pays censé être civilisé suivez par exemple ce lien : Isabelle Sylvestre )

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  • jeudi 28 novembre 2013

    11 signes pour reconnaitre une opération sous fausse bannière (false flag) 

     

    Tout au long de l'histoire, diverses versions d'attentats sous fausse bannière ("false flag" en anglais, terme que je garderai dans la traduction) ont été utilisées avec succès par les gouvernements pour diriger la force du peuple vers la finalité recherchée par la classe dirigeante. Selon les époques, la finalité peut être la guerre ou la restriction des libertés civiles privées et des droits humains basiques ou un agenda économique.

    En fait, les false flags peuvent prendre toute une variété de formes – nationales ou en rapport avec la politique étrangère, à petite ou grande échelle, économiques ou politiques, et avec de nombreux autres buts qui peuvent souvent se fondre les uns dans les autres. Chacun peut servir un dessein spécifique et peut être ajusté et adapté en vue de ce dessein spécifique selon ce qu'exigent les conditions de la communauté.
    Par exemple, l'attaque aux armes chimiques qui a eu lieu en août 2013 en Syrie peut servir d'exemple pour un false flag à l'étranger prévu pour stimuler la ferveur des américains vers la guerre, sur la base de laResponsability to Protect (ou R2P, le Devoir de Protection, établi en 2005 par les Nations-Unies, NdT) comme pour le golfe du Tonkin.

    Au plan national, un false flag à grande échelle comme celui du 11 septembre peut servir à susciter un soutien massif du public pour la guerre et une volonté populaire d'abandonner des libertés civiles, une procédure constitutionnelle et les droits humains. Les false flags économiques peuvent prendre la forme de "paralysies du gouvernement" fabriquées ou de "défauts de paiement du gouvernement" conçues pour créer une demande d'austérité ou autres solutions en faveur de Wall Street. Enfin, les false flags nationaux à petite échelle comme Sandy Hook ou Aurora, impliquent souvent la mise en place de mesures de contrôle des armes ou un état policier plus important.


    Il existe, bien sûr, de nombreuses versions différentes d'attentats par false flags et aucun ne correspondra exactement à un classement précis dans la rubrique "false flags". Comme exposé ci-dessus, certains false flags peuvent en fait contenir un élément de chacune des différentes versions listées précédemment, aussi bien en termes de méthodologie que de but.

    Cela dit, il est également vrai, malgré une possibilité constante d'attentats par false flags massifs, qu'on en voit se produire à petite échelle sous l'apparence de "tireurs" (le plus souvent la variété des "tireurs isolés" ou "tireurs fous"), que la classe dirigeante et ses porte-paroles médiatiques ont utilisé avec beaucoup d'efficacité ces dernières années. Bien que l'échelle des attaques ait diminué, leur fréquence a rapidement augmenté.
    Cependant, en raison d'une recrudescence de médias alternatifs et d'une communauté de recherche, au fur et à mesure du lancement des attaques, il se publie une volée de démolition des récits officiels. À côté de nombreuses critiques absolument non crédibles de la version officielle des événements, frisant la paranoïa et l'invraisemblance, on trouve des articles de chercheurs qui peuvent exposer le false flag pour ce qu'il est. D'ailleurs, c'est pour cette raison que les false flags ont dernièrement essuyé de sérieux revers en terme d'efficacité et que c'est toujours le cas.

    Comme l'attaque est prévue pour instiller la peur, la panique et une réponse téléguidée de la part du public, il est important de déconstruire le récit de cette attaque tel qu'il est présenté. Nous ne pouvons cependant pas passer simplement notre temps à tenter d'exposer et déconstruire toutes les attaques par false flag. Nous ne pouvons ignorer les grands problèmes, les batailles où l'on sort vainqueurs et les revendications qui doivent être faites simplement pour exposer tous les false flags. Nous ne pouvons ignorer le feu de forêt en éteignant un feu de broussailles occasionnel. Le false flag, après tout, n'est qu'un symptôme de la maladie.

    Il est important pour cette raison de permettre au public de reconnaître le false flag lui-même, pas uniquement les éléments contestables d'un false flag en particulier qui sera bientôt suivi d'un nouveau. Nous devons nous former et former le public à reconnaître les signes d'un false flag quand il se produit et ainsi rendre l'attentat neutre.

    Ce qui suit est une liste des éléments les plus courants d'un attentat par false flag auxquels on devrait prêter immédiatement attention dans le cas d'un nouvel accident qui jouera sur la corde sensible et les émotions des gens.

    1. Envergure de l'événement : 

    la première question à se poser sera "Est-ce un accident à haut profil ?" La réponse, bien sûr, est tout à fait évidente. Si l'attaque se passe au World Trade Center avec explosion et effondrement des bâtiments, ou à la Maison Blanche ou au Pentagone, c'est clairement un haut niveau. Donc le lieu peut être pris en considération. Dans d'autres circonstances, l'acte-même peut être un facteur majeur comme dans le cas de l'école primaire de Sandy Hook, endroit sans importance au plan national, mais acte horrible qui a fait néanmoins les gros titres nationaux. Le facteur le plus important est sans conteste l'attention des médias. Quel que soit le lieu ou l'acte, si les médias récupèrent l'histoire et la répandent en simultané sur toutes les grandes chaînes majeures, l'accident peut être vu comme un "événement à haut profil".

    2. Récits qui changent : 

    dans les cercles informés de recherche, il est bien connu que l'information qui sort peu après l'événement est en général la plus fiable. Il faut aussi tenir compte de la confusion qui règne à cause de l'affolement des témoins. Malgré tout, l'information primitive n'a pas été sujette à une révision complète des médias, ce qui se produira forcément quand l'histoire sera moulée pour s'adapter au récit mis en avant par les individus qui ont dirigé l'attaque aux plus hauts niveaux ou qui ont au moins des liens avec ceux qui peuvent contrôler le moyen de faire rapporter l'événement par les divers médias.

    Par exemple, au moment des attentats, les rapports initiaux peuvent signaler 5 tireurs. Très peu de temps après, on peut n'en mentionner que deux. Rien que quelques heures après l'attentat, toute référence à plus d'un tireur a entièrement disparu, il ne reste plus dans l'affaire qu'un "tireur isolé". On ridiculise toute mention ultérieure d'autres tireurs comme une "théorie de la conspiration".

    3. Manœuvres d'entraînement en simultané : 

    une marque de fabrique d'une opération false flag est le déroulement de manœuvres d'entraînement peu de temps avant ou pendant l'attaque. Ces manœuvres impliqueront souvent une séquence d'événements qui se passent pendant l'attentat proprement dit. Ces manœuvres d'entraînement ont eu lieu pendant des false flags à grande échelle comme le 11 septembre ainsi que pendant des attaques à plus petite échelle comme la tuerie d'Aurora.

    Par exemple, comme le documente Webster Tarpley dans son livre 9/11 Synthetic Terror : Made in USA(11 septembre, Terreur de synthèse, fabriqué aux USA), au moins 46 manœuvres étaient en cours dans les mois précédant le 11 septembre et le matin même de l'attaque. Ces 46 manœuvres avaient toutes un rapport d'une manière ou d'une autre avec les événements qui se sont passés le 11 septembre. De même pendant les attentats à la bombe du 7 juillet 2005 à Londres, des manœuvres étaient en cours avec exactement le même scénario que ce qui s'est produit exactement aux mêmes heures et aux mêmes endroits.

    Bien qu'un prétexte puisse l'emporter sur l'autre selon la nature et le but de l'opération, les manœuvres d'entraînement sont utiles aux créateurs de false flag pour au moins deux raisons. La première est de provoquer une confusion intentionnelle quand les manœuvres se passent pendant l'attaque réelle. L'autre, d'un aspect plus rentable, est de se servir des manœuvres comme d'une couverture pour programmer l'attaque ou même donner le "feu vert" quand c'est le moment de lancer l'événement. Qui plus est, elles fournissent aux auteurs du programme un élément de couverture, surtout avec la structure compacte de la chaîne hiérarchique de commande de l'agence de renseignements/de l'armée et le besoin de rester informé. Si un officier de l'armée ou un agent des services secrets tombe par hasard sur le planning de l'attaque, on peut toujours dire que ces individus n'étaient que des témoins du programme de l'exercice d'entraînement. Cette réfutation se poursuit jusqu'au "feu vert" des manœuvres. Après achèvement de l'attentat false flag, l'hypothèse de la coïncidence servira à expliquer les tragiques résultats.

    4. Cui bono ? 

    La question la plus importante à se poser immédiatement après un accident à haut profil est "cui bono ?" ou "à qui bénéficie le crime ?" Si on peut voir un évident bénéfice du gouvernement, d'une société ou d'une banque, l'observateur devient alors capable d'y voir clair immédiatement. On peut répondre à nombre de ces questions en regardant de plus près le comportement de ces organisations avant l'attaque et peu de temps après.

    Par exemple, la présence d'une loi qui n'aurait eu que peu de chance de passer avant l'attaque mais qui est vite passée (ou au moins lourdement suggérée) après, est un indice que l'attentat qui tombe à pic est en fait un false flag. La loi du type Patriot Act avait été en réalité rédigée avant le 11 septembre mais n'avait que peu de chance de passer au Congrès en raison du climat politique de l'époque aux US. Après le 11 septembre, le Patriot Act est rapidement passé sans virtuellement aucune discussion et avec la bénédiction du peuple américain.

    En parlant du 11 septembre, c'est un fait qu'au moment de l'attentat, beaucoup d'individus au pouvoir au sein du gouvernement américain voulaient désespérément envahir plusieurs pays du Moyen-Orient. Après les attentats, une psychose guerrière s'est emparée de la classe dirigeante des US et le public américain a suivi sans tarder.

    Après le "Underwear Bombing" (Le terroriste aux sous-vêtements piégés), nous avons vu l'inauguration des scanners corporels de la TSA (agence de sécurité des transports, NdT), technologie qui aurait été acceptée de mauvaise grâce avant l'incident et sa campagne de propagande. Les scanners avaient été pourtant achetés un an auparavant par une firme dont le propriétaire était l'ancien patron de la Homeland Security (département de la sécurité intérieure, NdT), Michael Chertoff.

    Dans le même registre, parlant de la fusillade de LAX (à l'aéroport international de Los Angeles, le 1er novembre 2013, où un employé de la TSA a été tué, NdT), la TSA a acheté en août 2013 pour 3,5 millions de dollars de munitions. Pourtant en août, la TSA n'était pas une agence armée. Après la fusillade de Los Angeles, le discours s'est orienté vers un armement de l'agence, indiquant donc que quelqu'un de haut placé dans la structure du gouvernement avait eu une connaissance préalable de l'événement.
    On peut dire bien sûr la même chose pour l'explosion de fusillades meurtrières par des tireurs fous qui se sont produites dans tous les US accompagnant la propagande qui poussait à des mesures accrues de contrôle des armes.

    5. Questions sans réponse : 

    une autre marque de fabrique d'une opération false flag est relativement évidente – la présence de questions sans réponse concernant les détails de l'attaque, les auteurs, le mobile etc. Bien que les récits des médias qui prennent forme peu après l'attaque veulent ignorer ces questions, elles subsisteront inévitablement si les observateurs peuvent réfléchir par eux-mêmes et se concentrer uniquement sur l'information. Un exemple de ces questions serait le bâtiment 7 pour le 11 septembre ou les questions des tireurs supplémentaires à Aurora et à Sandy Hook.

    6. Le dossier est rapidement bouclé : 

    une fois le choix fait par les médias d'un bouc-émissaire acceptable et d'un scénario de couverture, toute autre opinion ou question se voit refusée à l'antenne. Tout ce qui pourrait contredire légèrement l'histoire officielle est reconnu illégitime. Ceci fait, le bouc-émissaire, s'il est toujours en vie (dans de rares circonstances) est inculpé, poursuivi et reconnu coupable dans un vague procès à huis clos. Dans la plupart des cas, le suspect est tué dans l'affaire ou peu de temps après, ce qui réduit à néant toute contradiction de première main dans le récit officiel. Quoi qu'il en soit, le dossier est très rapidement bouclé après l'événement.

    7. Lien des suspects avec la CIA, le FBI ou autre agence de renseignements

    un aspect-clé qui suggère un false flag à rechercher rapidement après l'attaque est une quelconque connexion du suspect ou du groupe de suspects avec des agences de renseignement. Un lien avec l'une de ces organisations et institutions peut rendre difficile une explication sur la manière dont l'attaque a été coordonnée, la motivation des participants, l'implication réelle (ou non) des suspects et l'auteur véritable de l'opération. Par exemple, le 11 septembre, les nombreux pirates de l'air supposés auraient eu de proches contacts avec le FBI, la CIA et autres agences de renseignement de haut niveau (autant intérieures qu'étrangères). De même, les frères Tsarnaev qui ont été accusés de l'organisation de l'attentat de Boston avaient des liens avec le FBI avant l'attaque.

    Dans de nombreux exemples, les connexions à certaines agences et communautés de l'armée devraient autant servir de signal d'alarme que les liens aux agences de renseignement car ces institutions ont été largement mélangées.

    8. Bouc-émissaire commode : 

    un indice conduisant un observateur informé à suspecter un attentat false flag est l'existence d'un bouc-émissaire commode. Toute opération de false flag comportera un récit soigneusement ficelé réalisé par le groupe d'individus mis en place pour la diabolisation. L'attentat d'Oklahoma City (1995) avait McVeigh et donc des "extrémistes de droite" et la "milice". Pour le 11 septembre, le groupe était les musulmans. Dans de nombreuses fusillades à l'intérieur du pays, la diabolisation se faisait sur des propriétaires d'armes. Avec le récent attentat de Los Angeles, "l'auteur" était un "théoricien de la conspiration opposé au gouvernement." À l'occasion d'un false flag, un "pigeon" facilement identifié montrera tous les aspects du groupe ou du moins la plupart, ainsi que l'environnement démographique social à diaboliser.

    9. Les médias encouragent des récits en défaveur des groupes de bouc-émissaires, et/ou un agenda qui confisque les libertés :

    un indice qui suggère un false flag est qu'immédiatement après l'attentat et après "identification" des auteurs par les "officiels" et les médias, la corporation médiatique commence non seulement à diaboliser le groupe démographique auquel appartient "l'auteur", mais commence aussi à promouvoir des "solutions" pour empêcher qu'une telle attaque ne se reproduise un jour. Ce récit comportera toujours l'érosion des libertés, une plus importante mise en œuvre d'un état policier, une politique économique spécifique ou une marche vers la guerre.

    Dit simplement, les médias mettent en avant le PROBLÈME, autorisent et guident une RÉACTION et ensuite fournissent une SOLUTION déterminée à l'avance.

    10. Le gouvernement commence à "passer à l'action" contre le bouc-émissaire ou s'oriente dans le sens du récit des médias :

    après une saine dose de propagande des médias dominants qui repassent en boucle l'attentat pour entretenir la terreur, montrent l'auteur et présentent les solutions de l'état policier, le gouvernement commence alors à passer à l'action. Des discours politiques sont faits pour capitaliser la peur et l'angoisse ressenties par le public et pour renforcer l'idée que le gouvernement est là pour le protéger. On offre ensuite des solutions sous forme de lois, d'ordres d'exécution ou de mandats politiques, en vue soit d'une réduction du 4ème amendement, un contrôle des armes ou des frappes militaires dans un pays étranger.

    11. Indices dans les médias populaires

    les indices dans les médias populaires, qu'on peut définir plus précisément de programmation prédictive, sont plus facilement identifiés après coup. Cela implique souvent de mettre en scène un incident qui apparaîtra dans un film ou dans une émission de télévision. Dans d'autres cas, des détails fortuits de l'attaque sont insérés de manière visible ou même moins visible dans des films et à la télévision. Par exemple, le scénario d'un épisode de The Lone Gunman (en français "Au cœur du complot", NdT), une série dérivée de X-Files, montrait un avion piraté par contrôle à distance qu'on envoyait dans les tours du WTC. Dans The Dark Knight Rises (film de 2012, série Batman 3), il y avait une très curieuse référence à Sandy Hook avec une carte de Newtown, Connecticut, sur le mur.

    Conclusion
    Bien qu'il soit extrêmement important d'éduquer le public quant à la nature et au but des false flags, l'éducation ne peut être un but en soi. Le public a besoin non seulement de connaître la vérité autour des événements spécifiquement false flags lorsqu'ils apparaissent, mais il a besoin de comprendre la méthodologie pour les identifier par eux-mêmes et en temps réel.

    Créer une culture où le public est capable de reconnaître une attaque false flag sans recourir à l'aide des sources médiatiques, des chercheurs ou des activistes, est la première étape pour rendre la tactique inutile et rassembler la force des gens vers une action réelle ou en dernier ressort, créer une culture dans laquelle cette force ne peut être rassemblée par la classe dirigeante.

    Bien que devant aborder les attentats false flag, nous ne devons pas nous permettre d'être si facilement détournés d'une voie d'action politique, d'une mobilisation de masse et de formuler de vraies demandes réalisables.

     

     

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  •  

    Pour revenir sur la question que tous se posent devant la diabolisation et l’interdiction du tabac : quel va être le suivant ? qui va prendre la suite dans les plaisirs de la vie destinés à être éradiqués par les « calotins » modernes ?

    Je pense que dans la chasse aux traces, aux odeurs, et aux « coupables » révélés par cette traque, ça va être le parfum. Oui les parfums de femmes. Le MLF et tous les bien-pensants vont répéter à satiété, (surtout aux collégiennes bien sûr, comme pour le tabac) que les parfums sont des instruments d’asservissement de LA Femme, que celles qui en portent sont des « femmes soumises », que c’est une « violence » etc., etc. La vente sera d’abord interdite aux mineurs, puis de plus en plus, on va bien entendu en interdire l’usage dans les lieux de travail, et tous les lieux publics (on dira que c’est pour préserver la santé des collègues qui peuvent éventuellement être allergiques), puis on les couvrira d’injures sur les forums Internet où on dira que « ça pue !», que les femmes qui mettent ça sont des « cochons », des « demeurées », etc, et on finira par faire la chasse aux traces d’odeurs sur les vêtement, etc, pour prouver que unetelle en a fait usage. Dans ce cas, une petite différence d’avec le tabac, ce n’est pas elle qu’on enverra en prison, mais son mari, qu’on accusera d’être un « porc machiste » et sur qui on mettra toute la faute. Elle, on lui proposera gentiment de l'«aider» en lui faisant faire une cure de rééducation dans un hopital psychiatrique.
    Et bien sûr on lui retirera ses enfants, « pour les protéger ».


    On parie ?

     

     

    J'ai gagné !

    http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2005082905

    http://www.lepost.fr/article/2010/03/20/1996667_apres-le-tabac-le-parfum-interdit-dans-une-ville-des-etats-unis.html

    (et bien évidemment c'est dans les pays anglo-saxons que ça commence : http://miiraslimake.over-blog.com/article-1550802.html )

    et une fois de plus j'avais raison ! http://miiraslimake.over-blog.com/article-637912.html

    tu vois dans ce domaine comme dans tous les autres du même genre, les imaginations voltairiennes qui hier encore pouvaient sembler les plus délirantes deviennent en peu de temps réalité. Vous verrez mes autres prédictions, mêmes les plus sinistres vont hélas se réaliser ....

     

    et ceci :  L'Union Européenne veut interdire le port des talons aiguilles (+ montres + bagues) dans les salons de coiffure (!!) pour des mesures de... hygiène et de sécurité. Cherchez l'erreur. Ensuite ce sera dans toutes les autres boutiques? Depuis 150 ans cela n'a dérangé personne, mais il a fallu qu'une dinde ou un crétin de l'UE décide du contraire... Les salons devront fournir des chaussures Ă  talons plats anti-dérapants et procéder à toutes sortes de changements qui coûteront rien qu'en Angleterre 3 millions de livres: "The National Hairdressers Federation warns the plans will cost the UK industry 3 million a year in waste http://www.jovanovic.com/blog.htm

     
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  • l'humaniste intelligent courageux serein et équilibré Jacob Cohen :


     

    *
    remarquez, comme disait Emile Brehier "l'étude de l'histoire est une véritable libératrice", si on relit l'histoire on s'apperçoit que le phénomène Dieudonné, "l'humoriste préféré des français" et en même temps bête noire persécutée du pouvoir, n'est pas nouveau :
      Dans un sens c'est normal ! mais ça nous ramène à la France de Louis-Phillippe (où l'humoriste le plus populaire était celui qui avait dessiné Louis-Phillippe sous la forme d'une poire et fut condamné à une lourde amende, que ses admirateurs ont payée, déjà ! en achetant sa caricature) ou celle de la Restauration, là l'humoriste préféré des français était Béranger, et il a été 2 fois en prison (Dieudonné pas encore, quoi que je sens que c'est ce qu'il souhaite !) et à chaque fois sa popularité en a été accrue, (lui aussi "il tient à être jugé et condamné") une fois même des vignerons de Bourgogne se sont cotisés pour lui envoyer une caisse de bouteilles de bon vin dans sa cellule, il en a fait une chanson (2 chansons!) et là aussi une souscription est ouverte pour payer l'amende à laquelle il est condamné.
    http://criminocorpus.revues.org/2594
    Bref Dieudonné c'est toute la tradition française !
    Enfin, que la France retombe deux siècles en arrière c'est pas bon signe quand-même !

    et puis on se dit sur les "médias" : C'est hallucinant de se dire que s'ils mentent sur les autres sujets comme avec l'affaire Dieudonné on doit être dans la désinformation totale !

    revoyons Dieudonné il y a un an :

    https://www.youtube.com/watch?v=E-geus9Ohaw

    « aucun citoyen ne peut être soumis à des peines pour ses discours » 

    Robespierre (Maximilien de)

    eh oui ! Robespierre a dit ça ! quand on vous disait qu'on nous fait croire des choses et qu'on diabolise qui on veut déconsidérer parce qu'ils "gênent" !

    et ça, la technique du pouvoir harceleur, on reconnaît les attaques à son égard :

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  • Vive la liberté, la démocratie, le bonheur la vie !

    Libertés les plus élémentaires contre une société de plus en plus punitive.

    On savait depuis longtemps que ce qu’il est convenu de nommer « l’extrême droite » a toujours eu le sens de la fête et de la convivialité. Cela se vérifie une fois de plus en Autriche, là où le FPÖ « populiste » participe à la coalition gouvernementale et vient de faire appliquer l’une de ses principales promesses de campagne : pouvoir, dans des zones prévues à cet effet, à nouveau fumer dans les bars et les restaurants.

    Le vice-chancelier Heinz-Christian Strache, chef du parti en question, lui-même fumeur invétéré, affirme ainsi : « Il faut en revenir avec la liberté de choix pour tous. Les gens devraient décider eux-mêmes s’ils veulent s’asseoir dans la zone fumeurs ou non-fumeurs. » Et d’invoquer à ce propos le nécessaire « esprit de libre entreprise ». Aussitôt, le camp du bien et de la bonne santé fait bloc et part en guerre contre la « tschick » – soit la « cigarette », comme on dit en langue vernaculaire.

    Le patron du FPÖ, connu pour ne pas donner dans le light et le sans-filtre, dénonce en retour les « fétichistes de la santé » et adopte, pour cri de ralliement : « Vive le Tschickistan libre ! » À entonner à pleins poumons, SVP. On notera encore que, là-bas comme ici, la délationnite se répand comme un cancer, avec une pétition déjà signée par 540.000 Autrichiens dénonçant cette mesure gouvernementale.

    Si cette dernière atteignait les 900.000 signataires, Heinz-Christian Strache prévient toutefois que cette loi pourrait être « repensée », estimant que « la démocratie directe doit rester gagnante ». Non contente de prôner la jovialité, « l’extrême droite » est donc respectueuse de la voix du peuple ; cela, encore une fois, se savait un peu déjà. Ce qui n’est pas tout à fait le cas de ses opposants locaux qui, non contents de titrer leur pétition en anglais, « Don’t smoke! », utilisent de plus une forme impérative propre à dresser les uns contre les autres, pour reprendre la formule désormais consacrée.

    De plus, on remarquera que la même « extrême droite » incarne ici une indéniable forme de résistance, tandis que la coalition du beau et du vrai se contente de lâchement baisser les bras, déplorant seulement que « l’Autriche s’entête à rester le dernier bastion fumeur dans une Europe presque entièrement dénicotinée », même s’agissant d’un antique fantasme hitlérien, le défunt chancelier étant aussi connu pour son anti-tabagisme militant. Comme quoi l’esprit munichois n’en finit plus de gravement nuire à la santé. À propos de santé, il va de soi que les experts en la matière se liguent en force contre les fumeux projets gouvernementaux ; logique, les experts ont toujours raison et campent immanquablement du bon côté de la barrière. Autrement, ce ne seraient pas des experts dignes de ce nom.

    ….

    source : Nicolas Gauthier

    Vive la liberté, la démocratie, le bonheur la vie !

    Libertés les plus élémentaires contre une société de plus en plus punitive.

    On savait depuis longtemps que ce qu’il est convenu de nommer « l’extrême droite » a toujours eu le sens de la fête et de la convivialité. Cela se vérifie une fois de plus en Autriche, là où le FPÖ « populiste » participe à la coalition gouvernementale et vient de faire appliquer l’une de ses principales promesses de campagne : pouvoir, dans des zones prévues à cet effet, à nouveau fumer dans les bars et les restaurants.

    Le vice-chancelier Heinz-Christian Strache, chef du parti en question, lui-même fumeur invétéré, affirme ainsi : « Il faut en revenir avec la liberté de choix pour tous. Les gens devraient décider eux-mêmes s’ils veulent s’asseoir dans la zone fumeurs ou non-fumeurs. » Et d’invoquer à ce propos le nécessaire « esprit de libre entreprise ». Aussitôt, le camp du bien et de la bonne santé fait bloc et part en guerre contre la « tschick » – soit la « cigarette », comme on dit en langue vernaculaire.

    Le patron du FPÖ, connu pour ne pas donner dans le light et le sans-filtre, dénonce en retour les « fétichistes de la santé » et adopte, pour cri de ralliement : « Vive le Tschickistan libre ! » À entonner à pleins poumons, SVP. On notera encore que, là-bas comme ici, la délationnite se répand comme un cancer, avec une pétition déjà signée par 540.000 Autrichiens dénonçant cette mesure gouvernementale.

    Si cette dernière atteignait les 900.000 signataires, Heinz-Christian Strache prévient toutefois que cette loi pourrait être « repensée », estimant que « la démocratie directe doit rester gagnante ». Non contente de prôner la jovialité, « l’extrême droite » est donc respectueuse de la voix du peuple ; cela, encore une fois, se savait un peu déjà. Ce qui n’est pas tout à fait le cas de ses opposants locaux qui, non contents de titrer leur pétition en anglais, « Don’t smoke! », utilisent de plus une forme impérative propre à dresser les uns contre les autres, pour reprendre la formule désormais consacrée.

    De plus, on remarquera que la même « extrême droite » incarne ici une indéniable forme de résistance, tandis que la coalition du beau et du vrai se contente de lâchement baisser les bras, déplorant seulement que « l’Autriche s’entête à rester le dernier bastion fumeur dans une Europe presque entièrement dénicotinée », même s’agissant d’un antique fantasme hitlérien, le défunt chancelier étant aussi connu pour son anti-tabagisme militant. Comme quoi l’esprit munichois n’en finit plus de gravement nuire à la santé. À propos de santé, il va de soi que les experts en la matière se liguent en force contre les fumeux projets gouvernementaux ; logique, les experts ont toujours raison et campent immanquablement du bon côté de la barrière. Autrement, ce ne seraient pas des experts dignes de ce nom.

    ….

    source : Nicolas Gauthier

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  • Alors même que les femmes bénéficient de perspectives professionnelles qui n’ont jamais été aussi bonnes, que ce soit par les postes occupés ou pour la rémunération, la revendication de la nouvelle génération de féministes se fait de plus en plus hystérique et exigeante. C’est notamment le cas au Royaume-Uni où des groupes comme UK Feminista s’activent dans les écoles et au sein des troupes de guides pour apprendre aux jeunes filles à « traquer le sexisme » partout. Cela se fait naturellement au détriment des hommes et des garçons, toujours plus exposés à l’hostilité de l’autre moitié de l’humanité.

    Deux groupes de pression, End Violence Against Women et l’Everyday Sexism Project Coalition, ont lancé des pétitions de leur côté pour imposer le point de vue féministe dans les programmes scolaires : un féminisme « troisième vague » qui part du point de vue qu’une fille a toujours raison et qu’il lui appartient de participer à la censure anti-hommes à tous les niveaux de relations, publiques et privées.

    Traque du « sexisme » : les hommes sont tous coupables

    Cette traque systématique du « sexisme », nouvel avatar du combat féministe, intervient à un moment où les jeunes filles sont déjà privilégiées à l’école où elles affichent de meilleurs parcours que le"s garçons. C’est parce que les formes des enseignements et des examens sont plus favorables aux filles, privilégiant le travail de groupe et la restitution des cours, plutôt que la « prise de risque, l’excellence et la compétition » où les garçons brillent davantage. Ce n’est pas un homme qui le dit : c’est Virginia Hale, journaliste à Breitbart.

    Le nouveau combat féministe traque aussi le « harcèlement sexuel » qu’il voit comme la « norme » au collège, dès 11 ans – ce qui n’empêche pas un tiers de plus de femmes de poursuivre des études universitaires. Et ce au sein d’universités qui elles-mêmes traquent les « inégalités de genre » au détriment des hommes afin que ces dames puissent mieux progresser dans les études scientifiques. Un groupe féministe réclame carrément qu’à l’université, tout homme accusé d’agression sexuelle soit exclu – même s’il est reconnu non coupable.
    Le fondamentalisme féministe s’en prend aux activités masculines

    Le combat féministe s’attaque aussi aux loisirs, aux bandes dessinées, aux jeux vidéos et autres clubs qui ont longtemps attiré davantage d’hommes que de femmes. On apprend ainsi leur satisfaction que les clubs d’ornithologues, longtemps « dominés par les mâles », comptent désormais plus de la moitié de cadres féminins, preuve d’une « diversité de genre » bienvenue. « Quel est donc le pourcentage optimal de diversité ? 75% de femmes ? 100% ? » demande Virginia Hale.
    Un totalitarisme hystérique

    Le nouveau fondamentalisme féministe n’a finalement pas grand-chose à envier aux autres totalitarismes. Tout le monde en pâtit – y compris les femmes elles-mêmes.""

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