• chez les ******, de même que partout toute la France de maintenant on ne voit plus circuler aucune affection ni aucune tendresse ni entre les parents entre eux ni entre parents et enfants. Ce n’est pas une famille ; c’est un centre d’élevage de la prochaine génération ! et les parents dans cette fonction, ce sont des « partenaires », comme on dit si bien ! Je ne vois pas l’intérêt de fonder une famille comme ça, ce n’est pas une vraie famille.

     


    Partager via Gmail

    1 commentaire
  • pour voir encore la vie d'une région consacrée à l'industrie et sillonée de trains à vapeur il faut aller en Chine (dans le sud de la Mandchourie, province du Liao-Ning) :

     

     

     

    *

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • d'ailleurs prenez une photo officielles de responsables politique de ce pays et on a l'impression de voir une déunion de "parrains" !

     

    "les états-unis sont impliqués dans toutes les saloperies depuis leur création. Génocide des amérindiens, traite négrière massive, financement et exploitation commerciale des deux dernières guerres, déstabilisation et liquidation des régimes résistants, création d’un monnaie de singe, exportation de leur dette colossale, coups tordus et opération sous faux drapeau, guerres mortifères contre des ennemis fictifs (vietnam, laos, afghanistan, Irak...)"

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    http://www.irdc.ir/en/content/13734/print.aspx

    entre 1917 et 1919 la Perse a connu, à cause des agissements des occupants, principalement britanniques, la pire famine de son histoire, et peut-être de toute l'histroire de l'humanité. On estime le bilan à 10 millions de morts....

     


    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • *

     

     

    *

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    des exemples ? il y en a plein, on ne voit plus que ça. écoutez les discours, analysez les mesures, etc.

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    L’éthique d’« autrefois » considérait préférable de vivre mal à l’aise mais pas seul et aimé, que l’inverse.

    L’éthique actuelle, à l’inverse ne supporte pas de souffrir d’insatisfactions ou de contrariétés provenant de l’entourage intime (du reste du milieu par contre il le supporte très bien !) et trouve préférable de dépérir dans la solitude et le désespoir que de se trouver « coincé » dans des relations non pleinement satisfaisantes.

     

    Ça doit aussi trahir une évolution non seulement des idées et des idéologies, mais des tempéraments. Le deuxième schéma est plus convenable aux gens égoïstes insensibles et cyniques (« réaliste » on dit).

    Je crois que c’est effectivement comme ça que sont devenus les gens.

    Partager via Gmail

    1 commentaire
  •  

    *

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • *

     

    *

    VOILA CE QUI  NOUS ATTEND SI NOUS RESTONS DANS L' "EUROPE" :

    Goldman Sachs conseille une baisse générale des salaires de 30 % en France

    Interrogé par le Huffington Post sur une éventuelle solution pour sortir la France de la crise financière, Huw Pill, économiste en chef de Goldman Sachs en Europe, répond qu’il faudrait baisser la « moyenne salariale d’environ un tiers », précisant toute de même que ce serait « politiquement impossible à imposer ».

    Si cette proposition est appliquée, le salaire minimum équivaudrait à un peu moins de 1 000 € par mois alors que dans le même temps, on parle de centaines de millions de dollars de bonus chez les actionnaires de Goldman Sachs en 2012.

    Le PDG Lloyd Blankfein, lui, a vu sa propre rémunération augmenter de près de 15 % en 2011, atteignant la somme de 16,2 millions de dollars sur l’année.

    Le deuxième volet de la politique miracle à appliquer, d’après l’économiste consiste à « déplacer l’emprise de l’Etat vers le secteur privé. » Car le problème « chronique » de la France serait « incarné par un secteur public bien trop important » ayant pour conséquence une faible exportation. Donc « un manque de compétitivité et des déséquilibres dans ses comptes ».

    Mais l’économiste se veut également rassurant, au niveau européen : grâce à ses plans d’économie, l’Union devrait voir « une porte de sortie » de la crise d’ici 2015.

    Sources : Huffington Post / Le Journal du Siècle

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Comme dit cette dame :

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Une-ex-ministre-israelienne-sur-le-lobby-sioniste-en-Europe-et-aux-Etats-Unis-15103.html

    chapeau ! non seulement l'honnêteté, mais aussi le courage, bon elle n'est plus ministre (on le regrette !) ils ne peuvent plus la forcer à démissionner.

     

    La bataille du discours c'est un livre d'Israel Shamir, il y dit en tre autres que :

    "Sur ce tank, photographié sur la terre irakienne, on peut lire le slogan : « Aujourd hui à Bagdad, demain à Paris ! ».

    Toutefois, quelques années plus tard, ce slogan est devenu la réalité : après la prise de Bagdad, Paris aussi est tombé aux mains des forces américaines. Pour installer un fantoche américain à Bagdad, les Américains avaient dû se battre durant plusieurs semaines. Mais le fantoche américain du Palais de l'Elysée y a été installé sans qu'on ait eu à tirer la moindre balle. En dépit de son look de Panthère Rose, Sarkozy restera comme un des personnages les plus sinistres de l'histoire de France. La France avait été le seul pays, au monde, qui eût réussi à se débarrasser de l'occupation yankee ; c'est désormais du passé. Le Président Sarkozy a décidé de détricoter le grand oeuvre de Charles de Gaulle...

     

    Quant à Israel Shamir :

     

     

     

     


    extrait de son livre "Notre-dame des douleurs" :


    (p.9-10) Avertissement

    Depuis des années, j'en appelle, dans mes écrits, à l'égalité totale pour tous les habitants de la Palestine, à un seul Etat et à l'égalité des droits pour tous ses citoyens, dont le droit de vote, que ce soit pour un juif ashkénaze de Ramat Aviv ou pour un Palestinien de Naplouse, pour un juif marocain d'Ofakim ou pour un Russe de Haïfa. J'exhorte à casser toutes les lois qui établissent une discrimination entre un juif et un non-juif, en particulier l'infâme loi des "propriétaires absents" qui a permis la confiscation des maisons et des champs des Palestiniens), Dans la page d'accueil de mon site www.israelshamir.net, il est écrit en toutes lettres: "Avec Edward Said, Israël Shamir prône l'instauration du principe "Un Homme - Une Voix - Un État" dans notre Palestine bien-aimée (la Terre d'Israël), entière et indivise, sans ligne verte ni ligne violette, ni Mur de sécurité. Un État pour nous tous, indigènes et fils adoptifs de Palestine, "Vous aurez une seule loi", dit la Bible. J'appelle à ce que soit étendu le droit de vote, dès les prochaines élections, à l'ensemble des habitants de la bande de Gaza et de la Cisjordanie et à incorporer ces territoires dans un État unique.

    C'est là l'essentiel de mon enseignement, tout le reste n'est que commentaires. Si ce à quoi j'appelle est du "racisme", alors la guerre éternelle s'appelle sans doute "paix et sécurité" et la redoutable Shabak (la police secrète israélienne) "Ministère de l'Amour"? Depuis des années, j'appelle les habitants de Sion à tendre la main à nos frères, les fils et filles de Palestine, et à vivre avec eux en paix et dans l'amour fraternel, comme nous le vivons, dans ma ville de Jaffa, sur la côte. Hélas, les directeurs des quotidiens israéliens refusent de publier cet appel.

    Ils fournissent une tribune à n'importe quel raciste. Ils servent d'amplificateurs à n'importe quel appel au transfert des Palestiniens et à la purification ethnique. Mais mes appels à l'égalité ne peuvent s'y exprimer.

     son site : http://www.israelshamir.net/

    Il ne s'agit pas seulement de mon opinion personnelle: un sondage du quotidien Ha 'aretz a montré que 30 % des habitants du pays sont en faveur de cette solution, car il n’y en a pas d'autre. Il n’y a aucune chance qu'un État palestinien puisse être créé dans des frontières telles qu'elles garantissent l'équité. Si c'était possible, il y a longtemps que cela aurait été fait. Tant qu'il n'y aura pas d'égalité pour les Palestiniens, il n'y aura pas d'égalité pour les autres communautés, ni pour les Juifs orientaux, ni pour les Russes. Le front électoral récemment constitué par l'alliance entre Russes et Palestiniens est le premier pas en direction de la nouvelle réalité: une Palestine pluraliste pour toutes ses communautés.

     

     

     

    NB: pendant ce temps-là les israeliens deviennent non seulement racistes, il l'ont toujours été, et anti-immigrés (alors qu'ils en sont) mais se mettent à se comporter exactement comme ..... les allemands durant la Nuit de Cristal !

    "Plus de 1 000 personnes ont manifesté à Tel-Aviv mercredi, demandant que les migrants africains soient déportés, dans un déchaînement de violence qu’un radiodiffuseur israélien a qualifié de « pogrom ».

    La foule des manifestants s’en est violemment prise aux ressortissants africains, fracassant les devantures de magasins appartenant à la communauté immigrée et pillant aussi d’autres commerces.Des poubelles ont été incendiées et la foule a attaqué un conducteur africain qui passait là, brisant les vitres de sa voiture."

     

     

    Vie et assassinat du Gavroche de notre siècle : http://www.lemague.net/dyn/spip.php?article493

     

     

    Maintenant, pour mieux connaître Israel Shamir, sa vie, beaucoup plus riche et beaucoup moins mystérieuse que ses détracteurs veulent nous le faire croie , son parcours, ses centres d'interêts, et là aussi un regard sagace iconoclaste et pertinent sur l'Union Soviétique

    "Mais l’élite soviétique choisit la voie de la trahison sans mélange, ce qui aboutit à faire du pays un pays du Tiers-Monde, ce qui est une véritable tragédie pour tout le tiers-monde : l’Union soviétique était une sorte de mythe pour les pays d’Asie et d’Afrique mais un mythe doté d’une existence réelle car elle constituait une fenêtre sur l’espoir. Désormais, cet espoir a disparu." oui, on en voit les effets tous les jours n'est-ce pas ....

    le lien : http://www.geostrategie.com/cogit_content/verbatim/QuestionsIsralShamir.shtml

     


    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    Avant de réussir dans le journaliste institutionnel et de devenir porte-parole de la pensée unique, Philippe Meyer avait été un jeune sociologue libertaire et critique.

    Il avait alors écrit, en 1977, les esprits étaient humanistes et critiques à l’époque, un livre qui semblait prometteur, « L’enfant et la raison d’État »,  dont le texte de présentation disait : « Mais le modèle familial, si pauvre qu’il soit, ne constitue-t-il pas désormais n obstacle à la gestion directe de la société par l’État ? Comme tel, n’est-il pas voué à son tour à l’extermination »

    Sujet plus que jamais d’actualité hélas, n’est-ce pas! Et qui aurait du être approfondi et pourrait être abondamment nourri à notre époque.

    À défaut en voici quelques extraits :


    « Le mouvement de l’intervention de l’appareil judiciaire est un mouvement constant d’extension tous azimuts : extension des modes de prise en charge et diversification (la prison, le quartier spécial, la colonie pénitentiaire, la liberté surveillée, pis à partir de 1958, l’assistance éducative en milieu ouvert), extension du champ de la prise en charge (le mineur seul, puis le mineur et sa famille, puis le mineur, sa famille et son milieu), extension enfin de la durée de cette prise en charge : durée fixe, puis durée indéterminée jusqu’à la majorité.

    …..

    Tout mouvement incontrôlé est corollairement proclamé suspect.

    …..

    Fixé institutionnellement, le temps où l’on vaque doit encore être contrôlé. Aux grandes migrations de jeunes vacanciers, il doit être répondu par de grandes migrations de C.R.S. plagistes, d’animateurs sociaux, de professionnels du temps « libre ».

    ……

    Entre celui qui s’inquiète que les vacances puissent signifier la liberté et celui qui propose une société de sycophantes, le mouvement est arraisonné. Comme il n’y a plus d’espace sans fonction, il n’y a plus de temps sans contrôle, ni de mouvement sans but. La vie sociale est finalisée : c’est tout le territoire, social et géographique, qui est devenu le lieu de l’aveu.

    (Philippe Meyer « L’enfant et la raison d’État » ch.II)

    « Dans la profusion sociale, il s’agit de tailler une cote uniforme, et de l’imposer : l’enfant est un moyen de cette imposition. Son retrait, temporaire ou définitif, ou la menace de son retrait, est l’arme entre les mains de l’État et des sociétés de bienfaisance pour imposer leur moralisation. …. Substituer à l’éducation à la fois pratique et particulière de son milieu une éducation uniforme, sophistiquée, universelle et rationnelle à la production. Mais il s’agit aussi de faire de la famille une unité stéréotypée, et donc réglementable et disciplinable.

    …..

    la législation nouvelle vient officialiser deux points décisifs : l’abandon moral de l’enfant est une présomption et non un fait, et cette présomption se fait non d’après la conduite de l’enfant – « il pourra se faire qu’elle soit à l’abris de tout reproche2 » - , mais d’après celle de ses parents.  …..

    La notion d’enfant « en danger » n’a d’autre contenu que celui donné dans la pratique par les policiers ou les travailleurs sociaux qui assurent l’essentiel des « signalements », ou des juges des enfants qui estiment devoir se saisir d’office. Les critères d’intervention sont tout entiers aux mains des appareils d’État, seuls producteurs des critères …..

    les justiciables de la justice de « protection » sont tous, majeurs ou mineurs, présumés irresponsables..

    ……

    L’enfermement perd sa valeur en même temps que la famille devient l’ultime satellite de l’État ; il est remplacé par l’assistance éducative en milieu ouvert, dont la fonction est tout à la fois d’intimider, de redresser, d’apprivoiser et de modeler la famille. C’est alors le règne de l’enquête sociale, de l’expertise médico-psychologique, de la prise en charge des conduites économiques par le biais de la tutelle aux prestations sociales, jusqu’à ce que la famille soit soumise ou démise.

    ……

    L’aléatoire et l’intempestif n’ont plus lieu, et le citoyen « protégé » est réputé ne pas avoir l’intelligence de lui-même, ni d’aucun lieu d’où il pourrait tirer des arguments de résistance. Le drame d’Antigone se vit désormais à l’envers : l’interprétation prime et terrorise le fait, et l’Etat-Sphinx, ogre et augure, en détient la clef.

    En résistant à ce placement à durée indéterminée, pour des raisons affectives (la séparation), économiques (la perte d’un salaire), ou de l’ordre du réflexe (le maintient des traditions qui leurs sont propres), les familles achèvent de rentrer dans le champ de l’intervention judiciaire : s’opposant aux « bienfaits » de  l’action publique, elles sont suspectées et jaugées

    ….

    Pour les enfants, au nom de qui cette réforme a été faite « afin de leur éviter la soumission à l’arbitraire de la « patra potestas », il y a , plutôt que la libération d’une tutelle, le passage d’un tuteur à un autre. (auquel contrairement au premier on ne peut échapper, ni jamais)

    Dans le dernier quart du siècle, les lois sur la « protection des enfants maltraités » et sur les « violences et voies de fait envers les enfants », pour généreuses que soient leurs intentions, aboutiront à une pratique de plus en plus affirmée de vérification – et donc de standardisation – de l’ éducation populaire ; qu’il y ait des enfants battus dans les familles ouvrières justifiera que toutes les familles ouvrières soient inspectables pour voir si les enfants n’y sont pas battus

    …..

    La famille ne doit pas être un asile, mais un lieu à découvert !

    ….

    toute défense commune aux parents et aux enfants face à l’appareil judiciaire est « hyper protection pathogène », toute distance, de fait ou imposée par les conditions de vie et de travail entre parents et enfants, est « rejet  générateur de frustrations et de déstructuration de la personnalité ».
    Chaque fait concret de l’attitude réciproque des parents et des enfants est justiciable d’une interprétation réversible, englobante et à double tranchant. 

    Par ailleurs quand les faits concrets manquent, le recours au symbolique y supplée. Enfin, et ce n’est pas sans importance, l’investigation psychologique exclut le mineur et sa famille de toute possibilité de répondre, d’insérer leur propre discours sur eux-mêmes dans le processus d’investigation judiciaire.

    (Philippe Meyer « L’enfant et la raison d’État » ch.III et IV)

    ….

    Certes il reste encore une famille, du moins formellement, et aussi longtemps que la réunion d’un homme et d’une femme sera nécessaire à la conception d’un enfant. Mais cette fonction génitrice semble être à terme la seule que lui laisse le maniement direct des individus par l’Etat.

    Partager via Gmail

    1 commentaire